Sakazuki Mystogan

Derrière
l'écran.

Prénom •.-» Ma mére m'a toujours dis de ne pas annoncer mon nom en public.

Age •.-» Heu, connais pas.

Un avis sur le forum •.-» Bah il est beau graphiquement, j'ai bien aimé l'idée du scénario et ... j'ai des amis dessus, ça suffit ?

Expérience Rp •.-» Quelques années.

Comment avez-vous connu le forum •.-» Je le connais depuis son ouverture par le fondateur lui même, Sly…

Votre
Personnage.

« Celui qui ne meurt pas une fois par jour ignore la vie.. »

Nom •.-» Sakazūki.

Prénom •.-» Mystogan.

Sexe •.-» Masculin.

Race •.-» Shinigami.

Siège & Division •.-» Ni Ban Tai Taîsho.

Occupation(s) & Rêve(s) •.-» Mystogan est ce qu’on pourrait définir de « Peace Maker ». C’est le type d’individu qui cherche toujours la paix. S'abstenant aux échauffourées surtout d'antagonismes et ainsi évitant de se faire érafler. Tourment menant à une désolation intense causée de couardise. Préférant largement des moyens de sérénité . Or, quand il le faut, il ne peut pas se permettre d’éviter le combat, question de dignité d’un titre de capitaine et d'un âge substantiel.

Camp •.-» Le camp de la paix, le camp des Shinigamis.

Réside •.-» Soul Society ; Seîretei.

Virium
Effigies.

La beauté de l'apparence...
est seulement un charme de l'instant...
l'apparence du corps n'est pas toujours le reflet de l'âme.

L'aspect, un physique particulier, la première chose qui définie un vrai être vivant. Une partie, de notre jugement, nous les humains sur les autres. Plusieurs philosophies s'imposent sur le fait que les apparences sont trompeuses... mais pas toujours. Mystogan est le rare genre de personnes si faciles à déterminer, qui, seulement le faite de regarder à travers leurs yeux suffit de connaître leur caractère. Et c'est certainement à travers ses yeux si brillants et si innocents qu'on peut connaître le gentil qu'est ce prodige.Ses yeux si magnifiques qu'on peut à travers facilement distinguer ce majestueux capitaine. Décrire quelqu'un comme lui serait plus simple que de décrire un joli paysage dont on ne connaît même pas ce que cache derrière lui.

D'une stature imposante s'empare ce capitaine très remarquable, un mètre et quelques centimètres, une envergure si parfaite. Un corps certainement très fructueux lors des antagonismes et surtout des tauromachies approchées. Conciliant, un grand avantage pour lutter contre la rage de ses ennemis. C'est primordiale-ment à ça à quoi il ressemble.
Commençant par le plus remarquable qu'on peut voir, ses habits bien entendu ; Comme l'impose l'habitude ; Une tunique blanche, aux longues manches cachée par un long kimono noir lui arrivant jusqu'aux bottes. Un sobre ruban blanc enserre sa taille et maintient en guise de ceinture son arme.

Beaucoup de Shinigamis en plus de leurs habits, ont des cheveux très particuliers ou des accessoires inhabituels. Ainsi, une apparence peut distraire, voire impressionner l'adversaire. Ce qui s'avère être surprenant en considérant Sakazuki. Ses longs cheveux arrivant en mèches ondoyantes jusqu'à la base du cou et le front parfois. Seulement, tout ça se cache par un bandeau métallique et une écharpe noire qui sur la tête ronde, a savoir qu’il est timide, et ne veux jamais qu’on voit son visage. Malgré tout, sa nature se reflète toujours... Une nature bien particulière, dans ce visage sévère et pourtant doté d'une certaine élégance et finesse. La forme de ce visage est légèrement allongée, parfaitement en accord avec sa taille et entourée de cheveux d'un noir brillant. Tout dans ses traits, de son nez droit et ses lèvres délicatement manquées, jusqu'au long menton rasé. Sous des fins sourcils qui semblent êtres éternellement froncés, ennuyés par un certain détail qui lui échappe, son regard brun, teinté de bleu, est toujours mi-clos...à contempler silencieusement, avec cette même lassitude apparente... ou plutôt à cause de son manque de travail. Mais sous ce regard et cette attitude nonchalante, bien des sentiments peuvent se jouer sans que l'on puisse en discerner ne serait-ce que les contours.

Simulacrum
Intimus.

Le comportement borné des hommes en face de la nature conditionne leur comportement borné entre eux.

Mystogan est le genre de personne qu'on ne peut pas décrire facilement, c'est un individu très mystérieux, malgré son sourire très charmant et attirant. On pourrait le qualifier d'un être qui change rapidement d'état moral, allant du gentil et aimable homme à l'état sérieux. On l'a d'ailleurs vu à plusieurs reprises sourire pendant des combats, très à l'aise quel que soit son ennemi. Vous vous dites que c'est un signe d'imbécillité de prendre à la légère le combat, mais pas du tout ; Il est seulement sûr de lui, ou peut être confiant. Le capitaine de la deuxième division a été toujours quelqu'un qu'on aime rapidement, qui peut attirer d'une façon extraordinaire et ce malgré son masque qui cache quasiment tout son visage, ce qui peut faire peur à des personnes faibles d'esprits. Il pouvait depuis son très jeune âge, connaître la nature psychologique d'un interlocuteur dès la première rencontre, c'est une qualité et un défaut au même temps, d'étudier tout ce qui se passe à l'intérieur de quelqu'un en face de lui. Malgré son âge et son titre, il ne se montre pas à la hauteur parfois ; il traite même ceux moins gradés que lui, tel que sièges et lieutenants avec bonhomie et bénignité ainsi qu'une prévenance non d'une condescendance et de supériorité mais, de courtoisie, bienséance et fraternité absolue. C'est parfois bien pour ces gens qu'il les traite de cette façon, mais pour d'autres capitaines cela leurs pose un problème : En faisant ça, Sakazuki humilie d'une façon indirecte le titre de capitaine de division, un rang qu'on prend pas à la légère.

Sa lame est rarement employée par son propriétaire, certainement la moins tachée de sang, n'est que le dernier instrument après l'exhorte. Non efficient avec les personnages et adversaires intransigeants et inflexibles et qui optent pour la lutte d'armes très déplorable. C'est une nature en lui, etant le fils d'une famille assez noble au sein du Rukongai, il n'avait jamais de haine dans sa lame, seulement cette haine est obligatoire pour pouvoir mieux maitriser son zanpakuto, quant à Mystogan c'est un assassin, de la deuxième division, qui n'a pas tellement besoin de force brute, mais d'une vitesse et d'une froideur de sang. C'est pour cela qu'il a appris à être patient aux combats et à ne pas foncer dans le tas, ce qui s'avère la plus grande faute qu'un combattant pourrait faire. Quant à être indigne de ses subordonnés, il ne l'a jamais été ! Ce n'est pas le genre de Taisho qui encourage les membres de sa division à s'entrainer le plus ou à faire le plus de combats, mais juste mener la belle vie, tout en respectant l'honneur de shinigami.

Le capitaine commandant est la personne qui a le plus d'influence sur Mystogan, ce dernier l'a toujours considéré comme un mentor et on a vu qu'il avait beaucoup appris de lui, tel qu'idiosyncrasie et idéologies qui mènent dans une mer impénétrable et insondable. La justice est la chose la plus importante pour lui, quelque chose de très délicat qu'il faut respecter quel que soit les circonstances, mais à sa façon bien sûr ; malgré son profond respect pour l'ordre et les lois établies, par la Soul Society, il n'hésite jamais à remettre ces derniers en cause, s'il définie ces dernières qui ne vont pas avec ses principes ; ce qui est un problème parfois, quand il s'agit de prendre des décisions de punitions obligatoires à ses subordonnés ou moins gradés que lui, puisqu'ils sont tous ses amis. Il essaye alors toujours de parler et de convaincre les autres de ce qu'il pense, pour mieux gérer ses relations, surtout avec le capitaine commandant du gotei 13.

Notant aussi que Sakazuki est très expérimenté et donc par conséquent, très mature. Il est patient et ne fonce pas dans le tas même si son état moral l'oblige comme déjà dis et il est doté d'une bonté inégalable, mais fait -dans certaines conditions et situations - preuve de cruauté ! Oui en effet, il cache un redoutable sadique derrière son air excessivement gentil : Il peut être très atrocité quand il le faut, face à des ennemis faibles et hâtifs par exemple, tel que des enfants, avec qui il n'arrête pas de rire d'une façon d'abomination, qui bien sûr, provoque un sentiment de nervosité chez les autres, puisqu'il les prend à la légère. Pourquoi ? Cet être âgé n'accepte pas de faire face à quelqu'un de beaucoup moins âgé que lui, ou même combattre devant elle ! Question de noblesse apparemment, comme pour le fait de ne pas faire un combat, en deux contre un. Mais quand il est temps d'une tauromachie, les masques tombent et il devient un Shinigami qui n'a pour but, que de tuer son adversaire sans répit !

Curriculum
Vitae.

«.- Genèse -

La mémoire de la plupart des hommes...
est un cimetière abandonné...
où gisent sans honneurs des morts qu'ils ont cessé de chérir ~

Prémices d'une vie sibylline et précaire ; Un cri, un pleur et un gémissement. Un début pour chacun et pour tout. Le premier visage qu’il vit n’était, réellement, ni celui de sa mère ni celui de son père, mais celui de la vie. Un mot beaucoup plus simple que complexe. Après tout, comment est ce qu’il aurait plusieurs explications pour en expliquer qu’un seul dont le sens est devant nous ? La vie, n’est outre que le bonheur, ou la misère. Nul ne peut exister sans l’autre, tant que la joie de quelqu’un signifie toujours la misère d’un autre en quelque sorte. C’est lors de la naissance qu’on saura, que deviendra cet enfant. Oui, que et non pas qui, parce qu’on est tous les mêmes, ce qui fait nos différences, n’est que le destin ou le hasard pour ceux qui ne croient pas aux termes fantastiques. Le hasard, est ce que ça existe vraiment, tout comme le destin ? Quelle chance avez-vous de naître au sein d’une famille qui vous donne tous vos besoins, ou une qui ne fera qu’aboutir à votre malheur en fin de compte. En tout cas la chance de Mistgun était plus que jolie. Une mère, une famille aristocrate, tout un manoir et des personnes pour vous servir tout au claquement du doigt. C’est certainement meilleur que de naître, sous un arbre, d’un père inconnu, et d’une mère irresponsable et sans aucun moyen de vie. Il naquit alors, confortablement dans une maison, élevé par une vraie famille. Seulement, rien et personne n’est parfait, ainsi la vie n’est pas parfaite, quelque soit les circonstances. Son père les quitta au beau milieu de son enfance pour rejoindre la ville intérieure de la Soul Society ; le Seretei. Ainsi la mère fut le seul parent qui lui restait, jouant à la fois le rôle d’un père et de la mère. Et comme c’était pour eux un enfant « exceptionnel », étant le seul fils et héritier de cette descendance de la noblesse, il était obligé d’apprendre tout ce qu’il y avait à apprendre ; Arts, littérature, philosophie et toutes les bonnes manières. Une routine chaque jour, qui devint rapidement de la haie pour ses professeurs. Ce qu’il cherchait malgré son âge assez, jeune, était un peu plus d’action et de condition physique. Tous ces livres qui ne servaient qu’à savoir l’histoire et ce les nos ancêtres et ceux qui vécurent avant lui n’était pas du tout intéressant. Le plus important était de tracer son propre futur, non pas apprendre des fautes des autres. Ainsi il ne montrait aucune envie d’étudier, et rejeta tout ce qu’on lui donnait. Un vrai désastre pour sa mère et toute la famille qui, reposait tant d’espoir au fils unique, qui devrait plutôt être quelqu’un qui suis ses études pour prendre les choses en main dans la futur. La situation devenait de plus en plus mal, et l’état de santé de sa mère devenait encore plus inquiétant. Jusqu’au jour, quand les médecins annoncèrent qu’elle était en dépression et que ça aggravait sa maladie une cœur ; Elle mourra dans quelques jours.

Elle demanda alors de voir son petit fils, afin de lui parler avant de passer à l'autre monde. Et avant qu'il ne soit trop tard, il fut devant elle. Elle ne pouvait s'empêcher de verser des larmes de tristesse, quand elle se souvint que Mistgun n'aura aucune chance de tenir le nom de sa grande famille, les Sakazuki. Ce dont elle était certaine, c'est que ce petit enfant, aura quand même une chance de venir quelqu'un d'important, même si ce n'est pas un poste d'aristocratie. On ne sait jamais ce que nous cache l'avenir, c'est le seule raison pour laquelle cette femme se retenait de mourir. Il s'agenouilla à coté du lit, et prononça quelques mots ; « Désolé ... Je suis votre seul fils et je te fais tant de peine, pardonnes-moi! ». C'étaient les seuls mots qu'il pût dégager de son coeur rempli de malheur. Une étrange sensation lui transperça le cœur, une sensation si froide … Si froide qu’il frissonna un moment puis soupira lentement, dégagent de l’air, emportant ainsi le mal qui résidait au plus profond de lui …
La dame, décidant de tout dévoiler à son fils, fit ; «L'aristocratie ? Je ne connais pas ça, ton père non plus... » Ces mots venant de sa mère, celle qui insistait toujours sur le devoir de la noblesse, choquèrent Mistgun. Elle continua alors son discours ; « Ton père, tu lui ressembles tant, fils ... On ne t'as jamais dis où était-t-il passé n'est ce pas ? Il n'aimais pas sa vie ici dans le manoir, et il a été recruté par le Gotei 13. C'est un organisme militaire qui agit directement sous les ordres de la chambre des 46. Je sais que tu n'as pas d'amour pour les arts et l'écriture, qu'il en soit ainsi alors, suis ta propre voie, et cherches ce qui te semble plus plus parfait pour toi... Je t'aimes ». Il ne pouvait plus se prononcer, après ce qu'elle lui avait dis, elle n'avais certainement plus de chagrin, car il savait que cet être devant lui, resterait à jamais dans son esprit, et qu'il mourra jamais

Qu'est-ce que signifie la mort pour vous ? L'âme qui quitte le corps malheureux? ou le corps qui quitte volontairement l'âme qui le réside ? Des questions qui erraient dans le vaste esprit du petit enfant. Une larme s'écoula lentement, qu'on aurait pu croire que le temps agissait contre sa faveur. La petite goutte lacrymale tomba délicatement sur le doux visage d'une femme, qui touchait la fin. Une fin qu'aucun enfant ne pouvait accepter facilement. Etait-ce la crainte de se retrouver orphelin ? D'hériter de ce dont il était incapable de gérer ? Ou simplement... Une fin qu'il ne pouvait pas accepter... par amour ?. Enfant de la famille Sakazuki, une famille qui disposait une partie, non négligeable, des terres saintes des nobles. Les huit premiers districts au moins, représentaient les territoires de l'aristocratie et la plus grande partie était réservée aux quatre familles nobles. Le reste était divisé en bouts de terres pour les autres habitants de cette zone et celle des Sakazuki en faisait partie. La ville au marbre blanc, où repose les âmes des plus riches, un banlieue céleste qu'on pourrait définir de paradis par rapport aux quartiers ayant des indications beaucoup plus élevées. Des grandes maisons et dojos, en bois vernis, ainsi que des rivières et ponts, entourés de murailles. Ainsi, toutes ces propriétés revenaient au petit, qui n'avait que huit bougies, ou puis-je dire, des bougies avec des flemmes qui ne pouvaient plus illuminer sa misérable vie . Le fils tendit sa main vers le corps de sa mère pour apprécier les derniers moments, à sentir la présence d'un être cher à ses yeux. La femme ferma les yeux enfin, délivrant son âme, laissant l'enfant pleurant. La fin d'un individu signifie parfois le début d'un autre et c'était le cas de Mistgun, qui, après ces évènements il décida de commencer sa vie un peu tôt, tournant le dos à son enfance, grandissant plus vite qu'il ne l'aurait du. Il vendit tous les hectares et les terrains qu'il avait eus quelques semaines plus tard comme première étape, puis il ne tarda pas à s'aventurer dans les quartiers les plus dangereux du Rukongai. Il ne voulait plus vivre dans un manoir qui lui rappelait en quelque sorte sa famille ou sa mère. Son nouveau but ? Chercher une information concernant son père, la seule famille qui lui restait. Les derniers souvenirs qu'il avait en mémoire, étaient quelques images floues de lui, quittant la maison avec des hommes habillés en noirs, venant de la ville intérieure de la Soul Society ; le Seiretei. C'était ainsi qu'il s'installa dans le quartier numéro soixante dix sept et il fut rapidement intercepté par quelques hommes qui chassaient tout ce qui bougeait pour pouvoir vivre ; C'était le cadre de vie de ces lieux, ce que Mistgun ne savais pas encore. Haine, cruauté, misère, faim... tous ces mots pour décrire une seule personne de ceux qu'on voyait ici. Ils remarquèrent son kimino en soie, chose à laquelle ne s'attendaient pas ces visages assoiffés pour le vol. Une silhouette d'une carrure relativement grande, apparut derrière les criminels, pour les assommer à coups de sabre rapides. Malgré sa taille, cet individu n'était qu'un simple vieillard qui dépassait la soixantaine d'apparence, qui ne tarda pas à inviter Mystogan à le rejoindre. En effet, dans ces lieux, ne pas savoir se défendre, est du pure suicide. Le petit enfant, ému de voir quelqu'un de cet âge aussi agile et puissant, il ne pût refuser l'invitation de cet étranger. C'était alors à ce moment là, que cette vieille personne devint l'âme gardienne, et l'entraineur du futur shinigami.

- The Fearless Child .-»

La sagesse des vieillards, c'est une grande erreur...
Ce n'est pas plus sages qu'ils deviennent...
c'est plus prudents.

Vénération abyssale, d’un juvénile à un pédagogue. Pendant des années, le « vieux » - le nom par lequel Mistgun appelle son sensei – n’a pût trouver une meilleure solution que d’entraîner le jeun adolescent, afin de pouvoir vivre dans ces villages pleins de dangers. Pour cela, il commença à lui enseigner les arts martiaux, le Kung Fu et le Wung Chun. Il appris en première étape que les vrais guerriers ne sont pas ceux qui ont le plus de muscles ou de techniques, mais de cerveau, « Un vrai guerrier, est celui qui sait utiliser tout ce qui l’entoure comme source d’énergie… Héhé, tu penses que ce que je dis n’est que les hallucinations d’un vieillard ? Il est vrai que tu ne peux pas comprendre ce que c’est maintenant ». Il appris aussi qu’avant de devenir un guerrier, il y a ce qu’on appelle, le code d’honneur. C’est un code avec des dizaines de règles, L'honneur, la mort, le sacrifice de soi, le dévouement au maître et la piété filiale ainsi que beaucoup d’autres. Le plus important aux yeux de son maître était de ne jamais blesser un enfant ou une femme, et ne jamais, surtout, sous-estimer un adversaire. C’est un code que beaucoup de gens ne comprennent pas rapidement, c’est un comme un mécanisme, si on fais un mauvais pas, on devient en quelque sorte « Hors la lois ». Car apprendre ces arts n’a pas pour but, de tuer et l’utiliser pour des raisons personnelles, comme la vengeance ou la haine. On apprend tout ça, pour pouvoir se défendre, et défendre ceux qui ont besoin d’aide. Ce sont les mots que le vieux répétait sans cesse, et qui résonnaient même après des siècles dans les oreilles de Sakazuki. Après avoir bien cerné ces lois, il passa à la deuxième étape de l’entraînement ; S’unifier avec la nature. « Cette étape est aussi importante que la précédente fiston, il faut la comprendre avant de l’utiliser, c’est une technique spirituelle, il faut donc … » l’enfant n’entendait plus les mots de son idole, il en avait marre de ces entraînements qui ne servaient à rien pour lui ; « Mais … Je veux plus de ces trucs spirituels, j’ai passé des années à étudier le code d’honneur et maintenant tu me demandes d’autres années pour faire un union avec la nature ? C’est quoi ça … Je veux des techniques que je peux utiliser contre la rage de mes ennemis ».
La précipitation, le plus grand défaut qu’un être peut commettre quand il fait un entraînement, la patience est la clé de la réussite dans certains cas, car c’est celle qui nous guide, et nous donne la raison de continuer jusqu’au bout. Sous les rayons du soleil magnifiques qui illuminaient la salle d’entraînement - très efficace malgré sa simplicité ; Pas de bois, juste une chambre qui tenait à peine ses murs. Ce sont ces conditions qu’il faut avoir quand on veut devenir plus puissants, car ces conditions difficiles sont celles qui vous rencontreront lorsque vous serez dans une situation mal espérée- le vieux soupira puis fit ; « Tsh … Soit tu écoutes ce que je vais dire, soit j’annules immédiatement l’entraînement… et tu quittes immédiatement ma salle ! Compris ? ». Malgré la sévérité de son ton, c’était les mots d’un très bon entraîneur, ou plutôt d’un un père désormais. L’adolescent se dirigea vers la porte, d’un air attristé mais sûr et remercia son sensei, une larme aux yeux et quitta les lieux.
L’impatience de ce petit enfant était encore plus grande qu’on aurait cru, il se retrouvera encore une fois dans la gueule du loup ; au milieu d’un quartier plein de regards qui ne semblaient pas du tout amicales. Il savait que sa fin était proche désormais ; sans quelqu’un pour le protéger, et sans avoir même appris les bases du combat il était comme une cible fraîche à manger ici. Ce n’était pas déjà une longue marchée vers les quartiers les moins dangereux qu’une bande de vilains - composée d’au moins de quinze personnes, gigantesques, avec des muscles apparentes dans tous les corps - surgit de nulle part. Est-ce la fin de ce parcours ? Il n’a pas encore terminé sa mission ; retrouver son pére et effacer ses fautes du passé, celles d’avoir tuer sa propre mère à cause de ses comportements, et il n’avais même pas montré un peu de respect au vieux entraîneur, qui malgré son page, ne cessa de lui apprendre tout ce qu’il savait et plus. L’un des hommes sauta sur lui, comme s’il était un animal sauvage, un cannibale qui voulait manger sa chair et ses os. Mystogan ferma les yeux, et les battements de son cœur retentiront encore plus vite. Une seconde … deux … trois … Qu’est ce qui se passe ? Etait-il déjà mort ? Mais il n’avait pas senti les dents de l’homme qui avait surgit sur lui. Des centaines d’idées tournèrent dans sa petite tête, et il ne savait plus quoi faire. Ouvrir ses yeux ? Oui c’était la meilleure solution ; « Utiliser la force de l’adversaire pour la retourner contre lui, est le plus important quand celui qui est en face est trop fort, physiquement, je t’ai pas appris ça hein ? Ca m’est échappé, gamin ! »

Ebahissement, béatitude et désolation, tout au même temps. Un sentiment qu’on ne peut pas exprimer quand il voyait son maître lui sourire tout en tenant les mains de l’adversaire. Puis d’un mouvement rapide, il le poussa sur un mur à coté qui s’écrasa. Deux autres camarades de la première victime sautèrent sur lui, avec des couteaux et des bâtons, croyant que cet un homme qui avait un peu de chance avec le premier coup. « Tan sao : réaction sur le bras à une impulsion ne croisant pas la ligne centrale ». Il envoya ses deux adversaires balayés par un simple coup de main puis, cette fois, c’était toute la bande qui l’attaquait ! « Si la force adverse est trop grande, cède et utilise ton système de déplacement pour te restructurer » Il se déplaça d’une façon très rapide, tellement que même son élève ne pouvait plus rien voir. C’était le Shunpo, l’art de se déplacer de la vitesse de la lumière. Il esquiva alors toutes les attaques dangereuses puis il assomma quelques uns à coups de son bâton de bois, qui l’aidait – normalement – à marcher. Puis il dégaina son sabre, caché sous son kimono « Approchez encore une fois de mon fils et je vous tue, gamins ! ». Les yeux de Mistgun brillèrent de satisfaction ; il venait de l’appeler « fils ». C’était certainement la première fois qu’un homme l’appelle fils, ce qui l’avait touché au plus profond du cœur. Ceux qui avaient encore conscience, au nombre de trois, se mirent à courir de l’autre direction, afin de pouvoir s’échapper rapidement. « Si l'adversaire recule, suis-le et maintiens la pression ; ne le laisse pas reconstruire de nouveaux plans ». Il les assomma avec la garde de son sabre afin de se débarrasser d’eux. Pour le petit garçon à ce moment, c’était non seulement un sauveur ou un père ; c’était devenu comme un exemple, une référence de la puissance, tel un idole !

« Apprenez moi tout sensei, tout ce que vous savez, je veux devenir aussi fort que vous, je vous supplie ! » C’étaient les premiers mots qu’il fit à l’égard de son maître. C’était après ces événements qu’il découvrit ce que signifie vraiment la patience. C’est une qualité qu’il doit avoir pour devenir fort. Un grand sourire sur le visage du vieux se dessina rapidement ; « Tu veux alors qu’on fasse la fusion avec la nature et d’autres trucs spirituels ? ». C’était comme un test ; le maître ne voulait en aucun cas apprendre à l’enfant toutes ces choses, car ce sont des leçons qu’ils doit découvrir tout seul au cours de la vie. Mais ce qu’il voulait faire vraiment, c’est de voir à quel point est ce que ce petit enfant a la volonté de s’entraîner. Sans vouloir vraiment réussir l’examen, Mystogan accepta tout ce lui disait son nouveau « père ». Enfin ! C’était à ce moment-ci que l’élève allait commencer son vrai entraînement physique ; « Bravo, dans ce cas, on va commencer à connaître l’art de Kung Fu et et l’art martial »…
Des heures, jours et mois, ou plutôt dire ; deux années d’éducation ! Des longues marches, allant du premier quartier du Rukongai jusqu’au dernier, et parfois même dans la forêt. L’entraînement au combat à main et à distance. Mais celui qui intéressait plus Sakazuki était celui d’utiliser du sabre, ou plutôt du Katana. « Un katana est une vraie arme Mistgun, il faut bien la manier pour mieux trancher, tu peux même tuer avec si tu vois la nécéssité, mais tu connais déjà le code d’honneur hein? Pour commencer, je veux que tu tiennes toujours le katana à deux mains, car c’est comme ça qu’on pourra mieux changer de direction. Et n’oublies pas deux choses ; Dans un sabre il y a pas que la lame, mais aussi la garde et le fourreau ! Tu peux les utiliser à ta guise quand tu en a besoin pour se défendre ! Et la deuxième chose ; On peut couper avec la lame ET la pointe, l’estoc». L’enfant, aux yeux brillants répondit ; « Mais sensei, moi je veux devenir un guerrier qui utilise deux sabres ; un katana et un wakizachi pour former un Daisho ! C’est cool ça. Et heu en faite, quand est ce que je serais un capitaine du gotei 13 ? Je veux porter l'haori blanc, et je veux ... faire régner la paix, dans le Rukongai! ». Ces mots peuvent vous sembler simples, mais ils eurent un effet brusque pour le vieil homme;« Que ?… Qu’est ce que tu viens de dire ? »

Flash Back

« Sakazuki Morito, enchanté ».
L’homme tendit sa main pour serrer celle du capitaine en face de lui. Un haori blanc, tant de charme, cette veste qui donnait à son porteur, le respect éternel ! Marchant sous les toits des couloirs de l’académie, tout le monde semblait curieux de savoir, ce que le capitaine de la seconde division avait en tête. C’était rare qu’un taîsho vienne voir cette école, par manque de temps et accumulation. Mais ce qui était encore plus inquiétant, c’était que le capitaine de la seconde division, normalement chargé de missions d’assassinats et d’infiltrations, soit un … vieillard ! Une tache comme celle-ci, demande une souplesse et une agilité ce qu’un vieux shinigami comme celui qui marchait devant eux difficilement, ne peut avoir jamais. « Ils doivent être cinglés, ces mecs, pour avoir choisis un vieillard en poste de capitaine, de la seconde division en plus.. Tsh, et dire que le Gotei13 est en train de tomber encore plus bas, je serais beaucoup plus mieux que lui dans ce poste, putain ces vieux ! » Ces voix comme celles-ci sonnèrent de plus en plus dans le couloir qu’il traversait. Mais il ne donnait aucune importance à tout ce qu’il entendait, seulement celui qui marchait à coté de lui, Sakazuki Morito devenait de plus en plus énervé par les paroles de ses collègues de l’académie, devant un homme tel qu’un capitaine ! Arrivant à la salle du directeur de l’école, le capitaine demanda la permission au responsable d’emmener avec lui Sakazuki, pour des raisons qui le concernaient.

Une fois arrivé aux quartiers de sa division, il s’installa confortablement, sa tasse de thé à la main. Quand brusquement le jeune académicien fit ; « Pour quoi ? Tu les as entendu n’est ce pas ? Tu as entendu ce qu’ils disaient de toi ! Mais tu n’as rien dis ! ». Le vieux lança un rire sadique en disant ; « Je suis un vieux ! Mes oreilles me laissent tombé parfois, cruel hein ? ». Morito savait parfaitement qu’il se moquait de lui, un homme de sa carrure, aurait pût entendre une plume tomber sur le sol. Il repris son air sérieux et fit au petit ; « Tu sais pour quoi je t’ai invité ici, gamin ? Tu sais que tu es encore en deuxième année de l’académie, mais je t’ai déjà recruté dans ma division ». Quelle personne ne rêve pas d’intégrer au Gotei 13 ? Et quelle est la chance d’intégrer le Gotei13 avant même d’avoir son diplôme ? La vérité c’est que cette chance est de un sur mille, et un sur million si c’est la seconde division. Etant donné que les taches de cette compagnie demande une grande expérience, et elle très importante au sein du Seiretei, parce qu’elle maintien l’ordre et la justice ! C’était alors des mots que Morito ne pût croire, « Mais … Je ne connais rien du combat ! Pendant ces années, on nous a appris le Kidoh et un peu d’entraînements avec des sabres en bois ! Si je vais intégrer la division pour vous servir le thé, oui, mais pour être vraiment un membre, ça m’est impossible ! ». Ces mots sortaient d’une bouche, sincère. Il savait qu’il n’avait pas le niveau, tout simplement ! Il est à des années de lumières du niveau d’un vrai Shinigami, avec un vrai zanpakuto qui se respecte. Le vieux but une autre gorgée de sa tasse puis reprit; « Hmm... Bien sûr que non, jamais de la tu seras un membre... Tu es dorénavant mon vice capitaine, gamin! ». Déjà que l'idée d'être un membre de cette division était inacceptable, celle de venir le second d'un capitaine, était dans sa tête; impossible. La différence entre inacceptable et impossible est vaste, ce qu'on accepte pas, peut être possible, mais dans le cas de l'impossible, c'est une idée qui nous ai jamais venue à l'esprit. Le poste d'un vice capitaine est normalement réservé pour l'élite des officiers, tout comme les capitaines.« Tu as vraiment perdu la tête le vieux ! Je retourne à l’académie, on dirait que mes collègues avaient raison, tu es devenu fou ! ». Ce n’étaient pas les mots de gamin qui pouvaient provoquer un tel homme. Il resta tranquille, impassible et sans aucune réaction. Il savait juste Morito avait raison. Pour le moment il pouvait pas accomplir cette tache, il essaya alors de le convaincre ; « Il est vrai, que je suis un vieux sénile, ayant perdu la tête, mais je ne joues pas quant à ma division et la sélection de ses membres. Tu ne l’as pas senti ? Tu sais que tu es d’origine noble ! Ta force spirituelle dépasse largement … La mienne ! ».
C’était comme une blague en fin de compte, au début le pauvre académicien, avait entendu des propositions pour être membre de la deuxième division, puis d’un vice capitaine et maintenant il lui dit que sa force spirituelle dépasse celle d’un capitaine ? Il ne pût s’empêcher de rire en ce moment même, qui normalement, était très important. Dans la Soul Society, ceux qui sont nés d’une mère et père shinigamis ou même simples âmes, sont directement considérés comme de la noblesse, ou de l’aristocratie. Ces individus, rarement trouvés, sont ceux disposant le plus de force spirituelle, maintenant qu’il se souvint, Morito commença à comprendre le sens des mots de son capitaine. Il n’était pas en train de mentir mais de lui dire la vérité. Qu’est ce qui peut pousser une personne comme lui à lui dire des blagues ? Après tout, s’il est capitaine, c’est qu’il a le potentiel nécessaire. Il revint alors pour s’asseoir, commençant lentement, mais sûrement à accepter ces faits. « On va dire que ce que tu dis est vrai … Qu’est ce que je gagne si j’ai une force spirituelle plus élevée que la tienne, quand je peux pas tenir dans un combat en face à face avec toi deux secondes ? Si je ne sais pas gérer et utiliser cette force, elle est inutile, c’est la loi de la nature n’est ce pas ? ». Il répondit « Il est vrai, que dans notre société, le plus important c’est de savoir utiliser la force qui réside en nous, pas la disposer, c’est pour cela que je vais t’entrainer fiston ! »

Etre entraîné par un capitaine est ce qu’on pourrait définir de ; miracle. Surtout, quand c’est une vieille personne qui a appris de la vie ! Avec son expérience, et la force spirituelle, ils devraient certainement s’entendre en entraînement. Celui de Morito, le père, ressemblait à celui du fils, Mistgun. Les deux étaient impatients, toujours à foncer et à vouloir apprendre les touches finales au début. Ce qui inverse complètement le schéma de l’éducation. Mais on apprend de nos fautes, car celui qui n’a jamais fais de fautes, est une personne qui n’as pas encore mis le pied sur la vie. Mais il ne faut pas apprendre le contraire ; le principe n’est pas de faire les fautes, sinon ce serait facile. Le plus important c’est d’en tirer les leçons et c’est ce qu’on appelle l’expérience d’un être humain. Sans cet élément, le shinigami est comme un « aigle sans ailes ». Sakazuki, le père, était du type attentif, intelligent et très simple d’esprit ; son cœur et son cerveau sont ouverts pour tout le monde, il est rapidement devenu un centre d’intérêt de qui lui poussait encore plus à devenir fort pour protéger ceux qui l’aiment et qu’il aime. Et c’était à seulement deux cents ans – ce qui indique vingt ans d’apparence- qu’il atteint le Bankai. L’aide de son capitaine était une très grande source d’informations, de techniques etc. Cinq ans plus tard, ayant accompli le dernier stade d’un Zanpakuto, le capitaine commandant proposa au vieux capitaine de la seconde division de dire à Morito qu’il pouvait avoir le rang d’un capitaine à la neuvième division, mais le sensei refusa rapidement et préféra ne pas du tout dire ça à son élève, qu’il considérait comme son propre enfant, tout comme Mistgun.

Le lendemain, c’était Sakazuki qui entendit parler de la promotion qu’il a eu de la part du capitaine commandant, et su que son maître l’avait refusée. Il parvenait certainement pas à cerner le pour quoi de ce refus du poste dont il a toujours rêvé ! Et comme ça le concernait lui tout seul, il parla au capitaine commandant lui-même, pour lui dire qu’il était prêt pour porter l’Haori blanc et qu’il savait parfaitement ce que c’est et qu’il assume toute la responsabilité.
Envoyé en mission ce jour même pour enquêter sur des appariations étranges de hollows dans la même zone du Rukongai, il choisis deux de ses meilleurs amis pour l’emmener et se dirigea sur les lieux. Tout cela se déroulait sans que le capitaine de la seconde division ne sache … ou presque.
La lumière de la lune donna aux lieux une fraîcheur… excessive si on peut dire. Le calme qui résidait toute une forêt était suspicieux, Miroto signala à ses deux compagnons de s’arrêter pour être sur de la sécurité de la place, avant d’y pénétrer. Sans même avoir l’occasion de bouger le doigt, il retrouva un katana sous la gorge « Nani ? … ». D’autres corps apparurent d’entre les arbres, marchant silencieusement tout en fixant le regard au jeun capitaine. « Oooh, un capitaine ? Tu as baissé ta garde, taisho-san ». L’un d’eux attaqua rapidement les deux shinigami avec Miroto, égorgeant le premier d’un coup rapide de son sabre, et frappant le deuxième au niveau de la poitrine, le laissant mourir dans son bain de sang. C’était désormais le tour de Miroto qui eu un coup qui lui découpa complètement la main. Le capitaine déchaîna rapidement son sabre de l’autre main et se débarrassa de celui qui le retenait par derrière. Il cria … ou plutôt disons qu’il pleurait sur ses deux amis, des innocents qui n’auraient pas dût payer leurs vies, prix, pour la stupidité de leur capitaine. « Vous allez pas sortir d’ici vivant …. Je vous le promets, je vais les venger tous les deux… Ban…Ka-…»
Etant entouré par plusieurs ennemis, il ne pût voir que l’un d’eux lui avait déjà planté son sabre son le dos. Déjà qu’il avait un bras en moins, il tomba à terre, tenant fermement son ventre découpé par l’arrière. Une voix retentit derrière lui ; « Bankai … ». Miroto ne vit qu’une seule lueur blanche devant lui, qui balaya tous les hollows, en quelques secondes. Tout s’était passé en quelques secondes, avant qu’il s’était évanoui, pour mourir…

« Sen…sei… Je voulais devenir capitaine, pour protéger les plus faibles, je voulais juste ... faire régner la paix dans le Rukongai, c'est ma SEULE volonté. Adieu, et merci ...»

Flash Back Off

C’était quoi déjà, ton nom ? »
« Sakazuki, c’est Saka Zuki sensei, je te l’ai dis plusieurs fois, non mais oh, ta mémoire, héhé »
« Impossible … »
Le vieux resta figé sur les yeux du petit Mistgun, qui continuait à essayer les diverses techniques qu’il avait apprises de son maître. Il y a déjà dix ans exactement, il était le capitaine de la seconde division et le père de Mystogan était son élève, lui aussi. Juste après la mort de ce dernier, il sentit qu’il était coupable de la mort de son subordonné. Il démissionna alors de son poste de capitaine et décida de faire le rêve d’accomplir le rêve de Morito ; faire régner la paix dans le Rukongai. Là où personne ne peut vivre tranquillement, sans être tué.

«-. March Of The Death .-»

L'expérience est dans les doigts...
et dans la tête...
Le coeur n'a pas d'expérience.

La nouvelle l’avait abasourdit, mais la surprise n’était pas aussi longue ; la porte de la salle fût complètement défoncéz pour faire apparaître deux shinigamis. Mistgun se retourna pour voir de qui s’agissait-t-il et encore plus, qui avait osé entrer brusquement de cette façon. En faite, le petit adolescent et son maître étaient très populaires dans les alentours, et nul ne pouvait rivaliser avec eux. « Hatake Adachi, vous êtes en état d’arrestation, pour le meurtre du capitaine de la neuvième division, Morito Sakazuki, ainsi que deux autres siéges de la même compagnie. Vous êtes aussi coupable d’avoir utiliser vos forces spirituelles en dehors du Sereitei. Veuillez vous rendre, sinon nous utiliserons la force. ». Il semblait qu’ils étaient des envoyés de la chambre des 46 pour arrêter le Hatake, le vieux maître. Mistgun entendit pour la première fois le nom de son entraîneur ainsi que le nom d’un certain capitaine ayant le même nom que lui ; Sakazuki. Mais il ne comprenait rien de ce qui se passait. Le plus étrange dans la situation, c’était les paroles simples d’Adachi ; « Oui, vous pouvez m’emmener ». La tête de son subordonné tourna mille fois à l’intérieur, et sa vision était troublée. Il ne pût voir que la petite silhouette de son sensei sortir par la porte. Les larmes aux yeux, il se précipita pour attaquer celui qui tenait fermement les mains de l’ancien capitaine de la seconde division tout en hurlant « Sensei n’a tué personne ! ». Il prit un katana sur son chemin, de l’étagère sur le mur quelques mètres avant la double porte. Ce qu’il ne savait pas à cet instant, c’est qu’il avait affaire à deux vices capitaines, mais, véritablement, même s’il le savait il aurait fait la même chose de toute façon. Le vieux savait parfaitement la sentence de quelqu’un qui dérangerait deux shinigamis en mission d’arrestation, ce qui fait que c’était lui-même qui arrêta son élève ; «Ce qu’ils disent est la vérité, j’ai tué un homme auparavant. Maintenant que tu ne vas jamais me revoir, puisqu’ils vont m’exécuter, je veux que tu vas à l’académie des Shinigamis, c’est là bas que … » Il fût soudainement frappé par l’un des deux hommes en noir. Ils n’avaient pas le temps pour qu’un sénile donne ses conseils à un petit enfant, les ordres étaient claires ; l’emmener au Seiretei pour le juger le plus rapidement possible.
Mistgun n’allait certainement pas les laisser le prendre, quelque soit ce qu’il avait fait dans le passé. Tuer une personne ? C’était la dernière chose qu’il aurait cru ! Un homme tel que son maître, n’aurait jamais fait ça, et il le savait.

Aveuglé par la haine, la souffrance et l’incapacité d’admettre les faits de Hatake, il commença par donner un coup sec au premier qu’il avait devant lui, ce dernier esquiva assez facilement en bougeant de quelques centimètres à droite, malgré que Mistgun était dans son point mort !
Le deuxième continua à marcher avec le vieux, sans vraiment retourner la tête pour voir. Quant à celui qui venait d’être attaqué, il tendit la main et la mit sur la partie supérieure de la lame tout en souriant ; « Un enfant ne doit pas tenir en mains ce genre de chose, gamin ! ». A ce moment-ci, soit Mistgun n’avait pas entendu son interlocuteur, soit il était complètement dans un autre monde, là où il ne pouvait plus entendre, car leva le sabre une seconde fois pour l’abattre d’une façon cruelle sur la tête du vice capitaine qui lui donna un coup de pied au ventre pour le mettre à terre. ; « Je n’ai pas le droit de te tuer, mais j’aurais bien aimé le faire. Heureusement que je ne t’ai pas cassé une cote. Rooh. ». Ce qu’il avait fait n’avait fait que de donner encore plus de motivation pour le petit de refaire une nouvelle attaque. Il en profita pour une troisième fois de l’imprudence de son adversaire qui retourna le dos au novice, et fonça sur lui. Cette fois, on plaisantait plus, trêve de sourires, l’homme déchaîna son trancheur d’âme d’une façon assez lente, pour bloquer celui de Sakazuki ; « Hmm… Tu as un très bon esprit combatif, et si je t’emmenait avec moi, petit. Bien sûr si tu survis aujourd’hui. ». Ses mots étaient en quelque sorte un défi ; Je t’emmène si tu survis. Le vieux regardait ce qui se passait tout en continuant à marcher avec celui qui l’accompagnait. Il tombait, se relevait, une fois, deux et trois. Le vice capitaine frappait aussi dur à chaque fois, pendant un quart d’heure, sans que l’enfant arrêter ses tentatives en vain. Le maître regarda celui qui l’accompagnait et fit ; « Je veux retourner parler à mon élève … s’il vous plait ». L’autre, répondit cruellement ; « Contentes-toi de marche, cet imbécile va être tué dans quelques minutes, et non, tu vas pas retourner, compr… ». « Dans ce cas.. ».
Du sang, encore du sang, les blessures sur son visage et tout son torse nu, un spectacle qui faisait mal au cœur. Même inconscient il continuait à se relever à chaque fois, protégent ce qui lui restait de son honneur et de celui de son maître. Hatake arriva enfin pour arrêter l’impitoyable homme, en lui attrapant la main ; « On t’as jamais appris de ne pas frapper un enfant ? ». Dire ces mots à un vice capitaine n’étaient et s’opposer à deux d’un si haut grade, n’était pas du tout simple. L’autre shinigami était déjà à terre, abattu par le vieux et le deuxième se retira pour prendre ses mesures d’attention ; Le prisonnier venait de gagner contre son camarade, chose attendue de la part d’un ancien capitaine.
« Je te l’ai dis, oublies-moi, continues ta vie, ne regardes jamais derrière toi. Morito est ton père, c’était l’ancien capitaine de la neuvième division et … Il est mort au combat, il y a quelques années. Tout est de ma faute, j’avoue que … Si je suis venu un peu plus tôt ! ». Père ? Non, pour lui, ce n’est plus un parent ! Mistgun avait un seul et unique père ; Son maître, celui qui l’avait éduqué, avec qui il a sourit et avec qui, il se sentait en sécurité, pour quoi est ce qu’il compterait son père biologique comme étant le vrai ? Pour quoi l’avait t-il laissé un petit enfant avec seulement une mère, s’il l’aimait vraiment !? Sakazuki leva la tête difficilement, et essuya les yeux de son sang puis rétorqua ; « Non ! Tu es mon seul père ! ». le vieil homme laissa tombé deux larmes de ses yeux ridés, sur le visage de son enfant, puis se retourna rapidement pour faire face aux deux vices capitaines qui étaient désormais préparés pour la suite de la bataille. Logiquement un capitaine était de leur niveau, malgré qu’ils étaient à deux. Le sensei sortit son zanpakuto du fourreau et commença un combat acharné, pendant lequel Mistgun essayait de se relever, mais en vain. Il ne sentait plus la partie inférieur de son corps ; ses pieds étaient paralysés de fatigue et de blessures. Quant aux deux shinigamis, ils libérèrent leurs Shikais respectives, contre le seul shikai de leur adversaire. Alors que l’ancien capitaine avait un bankai dans son atout, et tenait contre eux seulement en première libération, eux étaient à bout ! Heureusement pour eux, un capitaine était en route pour les supporter, étant donné que leurs plans ne s’étaient pas déroulés correctement, avec le petit enfant qui avait tout bouleversé. Quelques minutes plus tard, ils sentaient que la fin était tout prête, puisque les renforts n’étaient pas encore là, l’un d’eux essaya alors de gagner un peu de temps et s’attaqua au Mistgun blessé. Hatake balança un sort de Kidoh sur le premier pour rapidement se mettre entre la lame du deuxième et son subordonné. Il fût alors transpercé au cœur, mais donna quand même un coup de pied au lieutenant.
C’était à ce moment précis que le capitaine de la sixième division arriva, pour demander à ses alliés de se retirer et lui laisser le reste. Et ce n’était que cinq minutes que le vieux tomba à terre, mort. Sakazuki perdu alors conscience sous l’effet du choc. Quant au capitaine, il décida d’emmener le petit adolescent aux quartiers de la quatrième division ; Là où se trouve l’hôpital
militaire.

Mistgun se réveilla après une longue hospitalisation et le premier mot qu’il avait dit était le nom de son maître. Il se souvint alors difficilement de ce qui s’était passé l’autre matin devant la salle d’entraînement. Il se releva du lit et franchit la porte quand il vit le même capitaine de l’autre jour devant lui ; « Retournes dans le lit, je vais te parler ». Voir le meurtrier de son sensei lui approfondit les blessures de son honneur, mais il ne fit rien du tout. Il voulait tout simplement entendre de ce que ce haut gradé voulait lui dire. « Ecoutes, on sait tous que ton maître n’a tué personne, c’était même un idole pour moi avant. Ca me fait la même peine d’avoir fait ça, mais ce sont les ordres de la chambre des 46 mon petit. J’ai appris que tu es le fils de Morito, c’était un ami à moi à l’académie, c’était un grand homme. ». « Un grand homme ? Qui laisse derrière lui sa femme et son enfant ? Non, je l’ai déjà dis, mon vrai père est mon sensei, lui est un grand homme par contre ! Et sois en sur qu’un jour je le vengerais, je te tuerais de mes propres mains quand j’aurais le niveau ! ». Ce qu’il avait dit était plein de haine, mais aussi de courage ! C’était amusant, lui dire qu’il le tuerais quand il aurait le niveau, le capitaine aurait pût le tuer en ce moment même sans aucun problème, mais il lui répondit ; « Hm… Je veux juste te dire ça ; Hatake-senpai est beaucoup plus fort que moi, s’il le voulait il aurait pût me tuer, ainsi que les deux autres vices capitaines. Alors que moi j’étais au bankai, il combattait à l’aise avec son Shikai. Il faut avouer qu’il s’étais littéralement ; Suicidé ! Il m’avait laissé lui porter un coup qu’il pouvait éviter facilement et il tomba sur terre, souriant, les larmes aux yeux. C’est pour ça que j’ai décidé de t’emmener, je pense que ce qu’il avait fait a une certaine liaison avec toi. ». Mistgun s’en foutait de ce que son interlocuteur disait, le plus important pour lui, c’était qu’il avait tué son maître. Il retourna le visage à la fenêtre pour voir ce qui se passait dehors, d’un air attristé ; Une cour pleine de Shinigamis, souriants, taquinant les uns les autres. L’image de son sensei lui vint à l’esprit et il se retenu de pleurer, car s’il l’avait fait, il n’aurait pas arrêté pendant des jours.
Quelques jours plus tard, il commençait à récupérer ses forces, et essayait d’oublier petit à petit le passé, comme l’avait dis son maître. C’était alors le début de son entraînement solo, dans le seul but de se venger et tuer le capitaine de la sixième division. Il cherchait tout le temps les points faibles de chaque technique, et la rendait un point fort. C’est une astuce dans un combat, de toujours changer la nature d’un mouvement ; Quand ton adversaire trouve le défaut de ton maniement de Katana, il faut rapidement changer de tactiques et prendre de nouvelles décisions et ceci pourra alors perturber l’ennemi. Comme le rêve de Mistgun était d’avoir le style du Daisho – se battre à l’aide d’un Katana et d’un Wakizachi au même temps – il étudia l’utilisation du sabre court afin de l’intégrer dans son style ; Il faut toujours utiliser le court pour des attaques rapides, pour prendre l’avantage et attaquer en puissance avec le long. Il améliora alors tout ce qu’il avait en tête et saisis les bases, il était donc temps de passer aux choses sérieuses ; Découvrir le nom de son Zanpakuto. Le nom d’un Zanpakuto est celui de l’esprit qui réside dans le shinigami, ainsi sa puissance est similaire à son propriétaire. Ce qu’il savait aussi, était qu’un Zanpakuto est unique, avec des pouvoirs uniques. Ce qu’il fallait c’est que l’esprit l’accepte, et qu’il ne le trouve pas à la hauteur. La première étape était de faire une communication profonde avec son sabre afin de créer la relation entre eux deux. Une semaine d’essai répétitif, jusqu’à ce que son sabre répondit à son appel ; Il s’appelle Migoto Shikaku. Ou plutôt « ils », puisqu’ils sont deux formes spirituelles. Un homme et un petit enfant représentant, chacun, un sabre.
C’était alors à ce moment qu’il s’intégra au Gotei 13 en tant que membre de la deuxième division. Au fil des années il fût promu en vice capitaine et quand il acheva le bankai, il passa un test devant plusieurs capitaines pour devenir sur la tête de sa division. Il oublia alors sa haine envers le capitaine de la sixième division et décida d’atteindre son rêve ; Faire régner la paix au Rukongai.

Voila, j'ai terminé Wink

Plop, bienvenue =)
J'aurais aimé un "Bonne chance pour la lecture" T.T
Mais bref... On va délibrer en ZA Wink

Bon courage & Chance pour la lecture, comme je l'ai eu pendant la rédaction. tongue

Yeah Yeah YEah ! Bienvenudo dans la casa de la folie toussa toussa.

Tu es accepté en tant que Capitaine de la seconde division =) Félicitation.

Je te souhaite un bon RP toussa, et j'te laisse t'occuper de ta Fiche Technique et ta Relationship.