Jun Hanae 75%

Commençons par la tête de cette jeune fille avec en premier ses cheveux. Les cheveux de Jun, sont si parfait qu’il est assez dur en faites de les décrire avec nos simples mots humains, ils sont en faites divin. Déjà par leur couleur, qui elle se rapproche d’une pureté jamais égalé, d’une pureté intouchable, utopique, les cheveux de Jun sont entre une teinte blonde et les cheveux blanc, en fait c’est une sorte de mix entre la beauté du blond et la sagesse du blanc. On peut voir aussi que chaque cheveux est de la même couleur il n’y a aucune impureté dans ces derniers. Maintenant qu’on a parlé de la couleur passons à la matière : ses cheveux sont avant tout soyeux, d’une douceur exutoire, satiné. Ils sont brillants, ils luisent au soleil et sont un parfait miroir pour ce dernier. Il sont lisses, jamais une bouclettes, d’une raideur absolue, ce qui de temps en temps n’est pas toujours pratique en soit. Ensuite, sur ce point ils sont, tout le contraire de la peau, d’une finesse incroyable et donc malheureusement d’une fragilité sans égard. La longueur de ses cheveux est assez … imposante, ils arrivent à peu prés jusqu’au fesse, environ. Ensuite la deuxiéme chose remarquable chez cette jeune fille ce sont ses yeux. Brillants, somptueux, étourdissants, que dire d’autre, ces deux saphir placé au milieu d’un visage angélique sont les atouts principaux de Jun. Lorsque les soleil les éclaire, ils illuminent toute la pièce, ce sont bien plus qu’une partie de son anatomie, ce sont des bijoux. Certains disent que ses yeux seraient capable d’hypnotisé d’un regard l’âme la plus droite, incommensurable. Les pupilles de Jun sont d’une couleur si pure d’un bleu océan, cyan, turquoise, magnifique. Les courbes des cils, si long qui mettent en valeur les yeux sont d’un noir ténèbres, et le contraste et si beau que l’on dit de Jun qu’elle a les yeux les plus somptueux de tout le Hueco Mundo. Mais pas seulement elle a aussi une bouche extraordinaire. Les lèvres de Jun sont pulpeuses, attirantes, rouges, elles sont en total contraste avec son teint de peau si blanc. Les reflets de la lumière sur sa bouche lui donne un volume, et une esthétique encore plus importantes. Par contre en regardant attentivement on peut remarquer une petite entaille au niveau de sa lèvre supérieur, qui vient d’un ancien combat. Certains hollow ont peur de sa bouche ils disent que Jun serait capable d’étouffer quelqu’un rien qu’avec un baiser à cause de « ses grosses lèvres », mais pourtant ses baisers seraient décrit comme fantastique, alors tenterez-vous ? En parlant de la bouche, le sourire de Jun est magnifique avec des dents parfaitement alignées, des mignonnes petites pommettes, et un je ne sais quoi, qui lui donne tout son charme, tout son sex-appeal. En résume son visage est somptueux, il ressemble étrangement à … Blanche Neige en blonde et en plus jeune et bien moins prude. Une peau douce, si blanche, un teint si pure, rien qu’avec juste une éraflure de celle-ci chaque poils du corps se dressent, tel un frisson, ou une sueur froide. Mais ce qui fait le charme de ce visage est le contraste entre cette peau blanche, et les yeux si bleues ou encore avec les lèvres rouges vives. La simplicité est le mot d’ordre de ce visage si pur, avec des traits si fins.


Jun a une taille plutôt normale ou peut-être un peu grande, 1m72 environ, pour un poids de plume, sa maigreur fait presque peur à voir, elle n’est pas non plus anorexique mais s’en rapproche dangereusement. Elle a sinon une poitrine assez petite (=P), ce n’est pas son atout majeure . Ce corps est recouvert d’une peau magnifiquement blanche et douce, sans aucun poil. Elle a de longues jambes, étendues. Son trou de hollow est au assez mal placé, il est placé entre la poitrine de Jun, il est assez petit. Son masque d’hollow est situé sur sa tête, il est sous forme d’antenne d‘escargot, comme un sert-tête, il n’est pas très discret et Jun préfère le cacher sous une capuche, car elle est habillé d’une robe faisant penser un peu au robe des gothique lolita, elle est noir avec des dentelles rouges sang. Celle-ci est très légère, fluide, douce et caresse parfaitement ses courbes. Mais cette robe s’arrête au niveau du bas de ses fesses, et au Hueco Mundo il fait assez froid, c’est pour ça qu’au dessus de sa robe, Jun porte un manteau tendance et parfaitement assortie. Ce long manteau rouge et noir, comporte une capuche que Jun met tout le temps sur sa tête afin de cachet son masque. Et au niveau de son dos on peu voir son zanpakuto : caracol. Au manche vert et à la garde épineuse, et lorsque qu’elle fait appelle à caracol vient sa resureccion tout ses habits disparaissent pour laisser place à une fille à moitié nue ave une énorme carapace d’escargot dans le dos et de tout petit habits ne cachant que ce qu’il faut être caché.




Hors-combat voilà à quoi ressemble Jun : discréte, gentille, supérieur, et observatrice. Jun est avant tout une fille qui déteste se faire remarquer elle préfère rester sur le côté ne pas se mêler de ce qu’il y a autour d’elle, pour elle tu gardes tes problèmes pour toi. Elle ne parle presque pas, sauf avec ceux avec qui elle est à l’aise, c’est parce qu’elle est discrète qu’on dit d’elle aussi qu’elle est obéissante et serviable en général lorsqu’on lui demande quelque chose ou qu’on lui ordonne elle s’exécute sans demander trop pourquoi car elle se dit toujours : « parler changera vraiment quelque chose à ce qu’on vient de me demander ? ». Elle aime rester seule ou alors avec ses quelques amis qu’on compte sur les cinq doigts d’une main. Par contre lorsque quelque chose ne lui plaît pas elle le fait savoir en une phrase directe, droite et concise. Mais ce n’est pas parce qu’elle ne participe pas aux conversations qu’elle ne rit pas à ce qu’on dit, en effet elle a néanmoins une joie de vivre à toute épreuve et aime rire, et lorsqu’elle est à l’aise elle va jusqu’à se moquer. Elle aime les situations gênantes, pour les autres, c’est là où elle trouve le plus de bonheur. Et par contre elle a un petit truc qui la fait rire aussi c’est d’avoir les hommes à ses pieds, pouvoir les commander. Par contre elle n’ai jamais vraiment tombé amoureuse depuis qu’elle est devenue arrancar car elle ne trouve plus d’utilité à l’amour. Cependant sa discrétion lui donne un avantage incroyable sur les autres : l’observation en effet elle observe analysé et se sert de cela en combat où même hors-combat pour clouer le bec de ceux qui l’énervent. Elle ne dit pas grand-chose mais écoute.

Par contre en combat la plutôt douce personne qu’est Jun se transforme en un monstre décapiteur et sadique à un tel point que la souffrance lui donne presque du plaisir. Au début de chaque combat elle propose toujours de faire un accord « Si tu pars, je ne te tuerai pas » mais bon tout le monde sait que si elle a dit cette phrase c’est qu’elle compte te tuer même si tu acceptes. Ce qu’elle aime par-dessus tout c’est de découper les membres de son adversaires, le regarder crier, hurler, souffrir, et elle reste devant lui, elle, rigolant, jouissant. C’est incroyable elle a toujours en combat sur elle un petit sourire sadique et énorme et à chaque coup donner il se ragrandi jusqu’à devenir terrifiant, les yeux si bleu se remplissent de sang et deviennent noirs, rouges, foncé, horriblement effrayant. Ce qu’aime aussi Jun c’est de laisser le sang jaillir des blessures de son adversaires et d’en goutter une goutte car elle pense que le sang représente l’espoir et elle souhaite capturer les dernières gouttes d’espoirs de son adversaires pour lui montrer que sa fin est inévitable. Mais ce n’est pas parce qu’elle est méchante qu’elle est idiote, elle sait aussi très bien analyser son adversaire pour appuyer sur ses points faibles et lui faire mal deux fois plus fortement. Et il faut savoir que sa cruauté se démultiplie si elle se blesse ou s quelque chose ne lui plaît pas chez son adversaire, chaque blessure multiplies sa rage, son désir de tuer de faire souffrir. Et à chaque fin de combat elle aime regarder son adversaire et lui ordonner de dire ces quelques mots, contre une mort lente : « Les shinigamis sont une race inférieur », mais bien sûr, très peu d’entre eux ont dit cette phrase, trop fier disent-ils, trop bête pense Jun. En fait Jun est vraiment une personne complexe, on pourrai même la voir comme une personne avec une double personnalité : gentille lorsque tout va bien mais lorsque il y a un problème où quelque chose qui lui déplaît elle devient cette personne horriblement sadique et méchante, sans compassion.




» Histoire «

En cours

L‘arrivé de Jun en tant qu’arrancar c’est fait en plusieurs étapes, d’abor bien sûr sa vie en tant qu’humaine, sans pouvoir, une simple humaine comme toutes les autres. Puis il y eut sa mort, et donc sa vie en tat que fantôme, ensuite sa vie en tant qu’hollow horrible et cruelle, et enfin son parcoure jusqu’au niveau suprême de arrancar.
Tout commença avec la naissance de Jun, de mère japonaise et de père américain deux personnes incroyables. Sa mère était la beauté incarné, des yeux bridée, une taille de guêpe, et un prénom charmant : Kaori, et d’une gentillesse et d’une générosité incroyable elle donnait sa vie entière pour les autres, elle participait à un nombre incroyable d’œuvre de charité, d’association, autant pour les jeunes gens sans logement que pour les pauvres animaux abandonnés. Alors que son père était plus du genre : riche et à fond dans son boulot le stéréotype du mec toujours au téléphone en train de faire joujou avec la bourse, il maniait des millions par téléphone s‘appelant John. Pourtant lorsqu’ils étaient à deux il se transformait, en fait je pense que la mère de Jun avait une aura qui faisait que tout les gens autour d’elle était contant, heureux et gentil. Dès son plus jeune âge ses parents lui apprirent à parler japonais, et anglais, bilingue à l’âge de 5 ans. Jusqu’au 10 ans de Jun la famille vivait au japon, dans une coquette maison achetée grâce à la bourse. La famille disposait d’une femme de ménage qui faisait tout chez eux jardinage, ménage bien sûr, et aussi garagiste à ses heures perdues ou encore un peu de construction de meuble. Elle était di douce et discrète mais pourtant très attentionné avec la famille car elle était hébergée là-bas et payé gracieusement, tout le monde l’aimait elle s’appelait Haiko. Lorsque les parents de Jun n’était pas là c’est elle qui s’en occupait, elles s’aimaient bien, durant ce genre de moment, Haiko sortait un énorme livre de sa chambre : « Les Aventures de Ken », ce livre racontait les aventures épiques d’un jeune guerrier aussi beau que les dieux, puissants que les torrents, et ardant que les feux des volcans. Jun adorait ses histoires, et une en particulier celle où Ken va sauver la princesse, et pour cela il devait gravir mille dangers. Jun aimait bien les trucs de filles mais préférait le sports les histoires épiques, s’habiller avec un pantalon, elle était un peu garçon manqué, mais était pourtant déjà très mignonne. Elle était alors en CM2.


Cependant derrière ce bonheur permanent qui régnait sur la maison, une ombre arrivé de loin et Jun l’avait sentie venir, depuis quelque temps ses parents haussé le ton à chaque fois qu’ils se parlaient. La petite enfant comprenait à peu près ce qui se tramait, pourtant dès qu’une dispute explosait elle courrait dans sa chambre et appelait Haiko. Et ensemble elle se mettait sur le lit, sous les couettes et avec une simple lampe de poche, lisaient les aventures d’une princesse au cœur braves ou bien les aventures de Ken. Haiko lisait avec un ton amusant afin de faire rire la petite fille afin que cette dernière oublie les disputes, et rigole, durant cette période de mauvais ménage Haiko et Jun se rapprochèrent énormément. Pourtant un jour, à l’école, un jour comme un autre en plein cour de mathématiques, la directrice rentra dans la classe de Jun car ses parents l’attendaient dehors. Lorsque la jeune fille arriva elle trouva ses parents devant une voiture dos à dos sans se parler, dans la voiture se trouvait Haiko. John avança doucement vers Jun et la regarda droit dans les yeux et lui expliqua ce qui allait se passer, derrière on pouvait voir Kaori qui avait presque les larmes aux yeux. C’est alors que durant le discours de John que Jun n’écoutait que d’une oreille, apparut le mot divorce. La jeune fille comprit tout de suite ce que cela annonçait et c’était mauvais. Ils montèrent alors dans la voiture et furent amener à un tribunal où les parents allèrent voir un juge pour la garde de l’enfant pendant ce temps Haiko consolait la petite Jun. Elle l’a serrait dans ses bras, lui susurrer à l’oreille des mots réconfortants, gentils puis au bout d’une heure d’attente et trois magazines luts les parents sortirent de la salle, Kaori pleurait toutes les larmes de son corps, et John avait un tel sourire aux lèvres il s’avança doucement vers Jun et lui dit qu’ils allaient déménager dès demain qu’ils allaient prendre l’avion pour les États-Unis. A ces mots les larmes coulèrent des yeux de Haiko qui, elle, comprit ce que cela voulait dire : Jun et elle n’allait plus jamais se revoir. Tous ensemble ils prirent une voiture, Kaori et Haiko pleurant et Jun perdue ne comprenait plus rien du tout. John fit les valises et laissa la femme de ménage avec la petite fille.

« Tu sais Jun, murmura Haiko, il faut te montrer forte, car nous deux nous n’allons plus nous revoir avant longtemps, soit toujours gentille, attend ici je veux t’offrir quelque chose. »

Lorsque Haiko prononça ces quelques mots Jun comprit que la famille était cassait que c’était la fin, que sa mère et elle n’aillaient plus se revoir, c’est alors qu’elle pleura, crié, lorsque soudain Haiko revient avec le livre des aventures de Ken en main

« Ne pleures pas, je te l’interdit ne pleure plus jamais tu dois sécher tes larmes, je t’offres ce livre afin que tu te souviennes de moi jusqu’à la fin de ta vie. »

C’est alors que Jun serra dans ses bras sa deuxième mère, Kaori vint et les rejoint dans un triple-câlin, elles restèrent comme cela dix minutes sans, parler, sans pleurer, jusqu’à ce que John arracha Jun des bras de ses mères et l’embarqua dans la voiture, la jeune fille cria pleura.


7 ans se passèrent, mais durant tout ce temps pas un jour passa sans que la jeune Jun ne pensait à sa mère et à Haiko. Son père et elle vivaient dans une immense maison, avec piscine, jacuzzi, le top du top, tout y était luxueux pourtant il manquait quelque chose d’essentielle : l’amour Son père le lui en donnait pas une miette il n’existait entre eux qu’une tension et aucun dialogue. Jun avait bien grandit elle avait alors 17 ans, c’était une adolescente, jolie, magnifique, et aussi très intelligente elle comprenait pourquoi son père avait eut la garde : l’argent rien de plus, elle trouvait que son père était l’homme le plus cupide du monde. Elle détestait être chez elle, c’est pour ça qu’elle dormait la plupart du temps chez sa meilleure amie Jennifer, dit Jen, elle était un blonde, athlétique et pompon-girl elles s’entendait parfaitement l’une et l’autre. Leur vie était amusantes elle allaient le soir dans des fêtes, en boîte, ou alors en concert. Elles étaient très populaires à leur lycée. En 7 ans le monde avait changé pour Jun mais elle gardait pourtant dans son sac le livre de Haiko afin qu‘elle soit près d‘elle à tout moment. Dans ses études la jeune adulte avait de très bonnes notes, une très bonne littéraire avec un écrit et une plume incroyable. On disait d’elle que c’était un rat de bibliothèque où elle passait des heures entières à lire, et à rêver.


Un jour, Jun travaillait à la bibliothèque il était tard environ 10h su soir, et elle devait finir son devoir de biologie pour demain , c’était un devoir sur la grenouille et son aptitude à bondir et à marcher sur les nénuphars, en gros un sujet chiant, bâclé à la dernière minute mais bon, on sait que ça lui rapportera une super note comme toujours. C’est alors que vers 10h30 elle eut enfin finit, elle regarda sa montre, rangea ses affaires, sur le chemin jusqu’à la sortie de cette pièce remplit de livre Jun entendait des bruit bizarres, alors elle se mi à marcher plus vite, pourtant les bruits se rapprochaient. Soudain une fois qu’elle fut sortie elle ferma vite la porte avec sa clef personnelle que la surveillante lui avait offert pour qu’elle puisse travailler le soir. Et au moment où la porte fut fermait quelque chose se claqua dedans, une chose invisible, enfin Jun pouvait presque percevoir des forme par le trou de la serrure, une sorte de grosse bête avec un truc blanc sur le visage, cette apparition était très flou à ses yeux. C’est alors que, de peur que cette chose revienne, la jeune adulte se mit à courir jusqu’à la sortie du lycée, mais une fois dehors elle entendait des bruits bizarres, des pas se rapprochant vers elle, ces pas venaient de derrière les arbres et soudain alors que, tremblante Jun rassemblait ses forces, une silhouette apparut, Jun se jeta sur elle. Lorsque soudain elle se rendit compte que ce n’était que Jeff, le mec pour qui elle craquait de puis tellement longtemps. Elle s’excusa, il fit de même puis ils rirent tout deux devant le lycée, lorsque Jun demanda ce que Jeff faisait ici.

- Voilà, hésita-t-il, en fait je te chercher, parce que j’aimerai bien que tu viennent avec moi j’ai quelque chose à te montrer

- Quoi, mais où ça se trouve, il pleut des cordes et il fait froid et je suis pas habillé pour ce genre de situation t’as vu ma robe ?

- Allez, viens ! Suis-moi c’est une surprise.

Comment pouvait-elle dire non, c’était le plus beau garçon, du lycée ou même du monde, et c’est donc comme ça qu’ils partirent, sur le chemin Jun ouvra son parapluie et tout les deux en dessous se donnant la main petit à petit. C’était donc dans ce froid, et cette pluie tombante qu’ils arrivèrent devant une pancarte « Maison de l’horreur »


Soudain Jun s’arrêta net devant le panneau, tout le monde ici connaissait cette maison c’était une ancienne maison d’épouvante, on racontait des histoire comme qui cette maison serai hanté et tout le tralala habituel mais Jun était superstitieuse c’est alors que plantée là comme un piquet la pluie tombant le vent soufflant et Jeff la tirant vers la maison qu’elle ne savait plus quoi faire. Devait-elle le suivre et avoir peur ou bien renoncer à lui ? C’est en croisant son regard si doux si gentil si précieux qu’elle eut sa réponse. Elle comptait le suivre après tout ce n’était que de simples rumeurs. C’est donc pas à pas qu’elle avança vers ce lieu d’épouvante. Arrivée au bas de la porte Jeff sortit une clef et ouvrit cette dernière puis la poussa, elle grinçait. Lorsque les deux petits amoureux rentrèrent le plancher faisait un tel bruit qu’on croyait entendre un homme se faire torture, tout était sombre, recouvert de poussière. Jun serrait de plus en plus fort la main de Jeff, puis elle commença à se coller à lui, elle tremblait elle avait peur, elle sentait dans son dos, la goutte de sueur descendre jusqu’à sa cuisse. Le jeune homme regarda la jeune adulte droit dans les yeux essayant de la réconforter, et lui dit qu’il allaient monter les escalier. Chaque marche faisait battre le cœur de Jun encore plus fort et plus vite. Les palpitations de ce dernier pouvait s’entendre à travers toute la maison. Soudain Jeff, pour rigoler lâcha la main de la jeune fille, puis courut jusqu’en au des escaliers, elle n’eut pas le temps de crier avant de le voir au sommet, c’est alors que de peur elle paniqua et courra jusqu’en au haut. Les cheveux au vent dans son montée elle se prit une marche et essaya de se retenir à la rambarde. Mais celle-ci était à deux doigts de lâcher, c’est alors que Jeff essaya de courir afin de rattraper la jeune fille accrocher avec une main à la vie et le corps dans le vide, et au moment où la main du jeune adolescent aller rattraper la sienne elle tomba et fit une chute d’environ 4 mètres en tombant sur la tête, elle se cassa les cervicales et mourra sur le coup, vêtue de sa robe et avec son sac au dos.

Jun se réveilla, au bout d’un moment, elle avait la vison trouble, mais ne sentait plus le froid, la pluie s’était arrêtée de tomber, elle avait mal à la tête. La première chose qu’elle fit, fut de regarder tout autour d’elle, il y avait le village, avec d’un côté le lycée d’autre le cimetière, elle se demanda alors ou elle était et c’est alors qu’elle se souvenu de où elle était « La Maison de l’horreur », il n’y avait qu’ici que l’on pouvait avoir une telle vue, car elle était située sur une haute colline, vallonnant le village. D’où on pouvait tout voir même la maison, car en plein centre du paysage se trouvait sa maison, avec les bais vitrées énormes laissant voir tout l’intérieur. Ensuite peu après, elle essaya de se relever mais toute s force ne lui était pas revenue, alors elle sentie un truc bizarre venant de sa poitrine, petit à petit elle baissa la tête et vit alors une chaîne brisée lui sortant du cœur. C’est alors que la jeune adulte poussa un grand cri d’effroi et de surprise, c’est alors que la peur la pénétra et s’empara d’elle. Jun essaya alors de tirai sur cette chaîne, mais impossible elle était fixée, c’est lorsqu’elle comprit cela que les larmes commencèrent à couler de ses deux saphirs radieux. C’est alors que soudain elle se souvint de ce qu’Haiko lui avait dit « Soit forte », Jun se leva donc d’un coup essuya ses lèvres et tenta de marcher lorsqu’elle vit autour d’elle et autour de son ventre et tout autour d’elle, elle était littéralement enchaînée à cette maison, elle tira donc de toute ses forces sur ces liens, mais impossibles de bouger, alors à bout de force, Jun se recroquevilla et pleura comme elle ne l’avait jamais fait. Durant environ une heure elle resta à croupis en sanglot, lorsqu’elle se reprit et décida de trouver une solution. Elle observa ce qu’il y avait autour d’elle, elle observa une fenêtre et regarda à travers cette dernière, à ce moment précis elle poussa un crie, le crie le plus perçant jamais prononcée par sa personne.

Ce qu’elle vit à travers cette lucarne dépassait de loin tout ce qu’elle imaginait, jusque là elle pensait à quelque chose d’horrible mais pas à cela, elle pensait à un bizutage ou encore, qu’un malade l’avait accrochée au toit, et qu’il l’observait. Mais avec ce qu’il vit elle préférait cela à la vérité. Car à travers cette fenêtre Jun se vit elle-même, non elle ne voyait pas son reflet, elle vit son corps gisant par terre. Elle saignait, le sang coulait à flot sur le plancher, il se mélangeait à la poussière, il se teintait de noir. A la vue de cette image, Jun comprit ce qui se passait : elle était morte. Là sur le toit, vêtue de sa robe, son sac dans le dos, toutes émotions avaient disparues sont visages était blanc, on ne pouvait y voir que du vide, rien ! C’est vrai quand on y pense que ressentait-elle à ce moment, elle s’apercevait qu’elle était morte et pourtant elle était enchainée à une maison, sur un toit, elle devait se poser des milliers de questions, comment ? la première et ensuite pourquoi ? La seule chose qu’elle savait était qu’elle avait perdue toute sensation, elle n’avait ni faim, ni soif et surtout n’avait pas froid, dehors le soir en simple robe. Qu’était-elle devenue ? Elle ne savait pas, mais avait des centaines de théories. Et lorsqu’elle revenu à elle, elle n’avait pas beaucoup d’alternatives, elle essaya de se libérer, de détruire les chaînes, de passer au travers de ces dernières, mais impossible. Elle essaya toute la nuit, sans jamais ressentir aucune fatigue.
Soudain apparut sur le visage de la tendre Jun un rayon de soleil, et alors le monde se mit en effervescence, elle vit son père sortir de la salle de bain avec une serviette autour de la taille, la jeune adulte cria à s’en décoller la mâchoire pour qu’il entende mais impossible à environ un kilomètre. Les premiers élèves arrivèrent au lycée et là devant la maison passa une jeune fille, un peu délaissé étant dans la classe de Jun, cette dernière cria, hurla, mais rien n’y faisait elle ne l’entendait pas. Le monde extérieur ne l’entendait donc pas, et ne la voyait surement pas, parce que une fille en robe rouge assise sur le toit d’une maison qu’on voit à des kilomètres ça se remarque et pourtant personne ne l’avait encore remarqué. La journée se passe, Jun regardait posément son école, on avait bien l’impression que personne ne la cherchait même pas sa meilleure amie Jen, qui avait l’air de l’avoir vite remplacée. Par contre le soir même dans la maison John avait l’air de faire les cents pas peut-être s’inquiétait-il ? Pourtant cela ne l’empêcha pas d’aller dormir tôt. Waouh durant sa première journée de décès personne n’avait l’air de se soucier d’elle. A moins que, Jun n’avait pas vu Jeff de la journée d’ailleurs qu’était-il devenue ? C’est sur cette question que la jeune fille passa la nuit.

Le lendemain matin il y avait un regroupement bizarre à la maison, des policiers à la porte, John avait donc signalé la disparition de sa fille, Jun sur son perchoir observait la suite des épisodes en suivant à la trace la police. Leur première destination fut bien sûr le lycée où ils durent interroger bon nombre d’élèves jusqu’à environ 17h30, en effet Jun avait vue sur l’église avec son horloge immense, la voiture de police quitta le lycée et se rapprocha de la maison de l’horreur. Soudain elle se gara juste au niveau de la pancarte. Et alors sortie de la voiture Greg le meilleur ami de Jeff, qui expliqua aux policiers que c’était là que Jeff eut l’intention d’emmener Jun. Il rentrèrent alors tous dans la maison, Jun les regardait par la petite lucarne, bien sûr elle criait mais eux ne l’entendait pas. Et au moment où ils rentrèrent dans la maison ils virent le corps de la fille étendue sur le sol, le sang autour d’elle, soudain un policier cria

« Appelez une ambulance, et faites un avis de recherche pour Jeff Doe soupçonné du meurtre de Jun Hanae »

Jun assise sur le toit rigolait à pleine bouche, Jeff s’était donc enfuit et maintenant commence les choses sérieuses voyons comment réagissent ses amis et sa famille. Le soir même la police annonça à John la triste nouvelle, et c’est alors que mollement il répondit :

« Ah, je vois c’est vraiment triste »

Ensuite il ferma la porte continua son train train quotidien comme si de rien était, sa fille venait de mourir et il s’en fouttait complètement peu lui importait son sort, c’est alors que le sang de Jun bouilla, et la chaîne qu’elle avait à la poitrine lui fit si mal, une douleur insupportable. Était-ce la colère, le fait de ressentir quelque chose. Le fait d’avoir encore des sentiments humains, qui attisait cette douleur. Jun passa la soirée en colère, horrifiée attendant avec grande impatience la police qui va annoncer la nouvelle au lycée. Le soleil se leva une fois de plus, la fille de la classe de Jun passa près de la maison sans rien voir ni entendre, et tout à coup la police vint au lycée annoncer la nouvelle auprès de Jennifer, ils lui dirent devant une fenêtre Jun pouvait donc voir la tête de sa meilleure amie, mais cette dernière ne changea pas au dire du décès de son amie elle restait de marbre. Jun se posa alors des milliers de questions : Avait-elle de vrais amis, des gens qui l’aimait, est-ce que sa mort va toucher quelqu’un ? Et alors de la colère Jun passa à la haine, elle haïssait ce monde pourrie dans lequel elle a vécue tant d’année. Des journées passèrent, où Jun criait et détestait de plus en plus la ville, les gens. Et alors un jour elle décida d’arrêter de regarder la ville et observa le cimetière, presque tout les jours il y avait un enterrement, gens était triste et Jun se di qu’alors le monde n’était pas si pourri et là elle ressentit tout à coup du bonheur de se dire que certaines personnes sont gentilles et que le monde portent des bonnes personnes. Et lorsqu’elle ressentit ceci sa chaîne lui brûla les entrailles, chaque sentiments, ou émotions que ressentait Jun venait un mal horrible provenant de cette chaîne.

Le 6 avril fut enterrée Jun Hanae, cette dernière attendait cet événement avec tellement d’impatience et c’était aujourd’hui, c’était un jour de soleil, un jour de canicule, une dizaine de personnes étaient présentes, des amis pour la plupart mais nul trace de sa mère ou de Haiko. Tout les gens étaient de noir vêtues et écoutait attentivement le prêtre, lorsque le portable de John sonna et au lieu de raccrocher il prit l’appelle, prit sa voiture et partit de l’enterrement de sa fille, l’ambiance fut détruite et tout le monde petit à petit partait ou ricanait, personne ne se souciait de Jun Hanae. A la fin de l’enterrement il ne restait que le prêtre qui partit sans une larme, d’ailleurs aucune larme ne fut versé sur la tombe. La haine était si intense en Jun qu’elle lui détruisait le corps de l’intérieur sa chaîne la faisait souffrir à tel point qu’elle en venait à se griffer le visage. A ce moment très précis une chose bizarre arriva, une jeune fille était postée devant la maison avec au cœur la même chaîne que Jun, cette fille lui souriait bizarrement et se mit enfin à parler :

« Salut, à la chaîne que tu as à la poitrine je vois que tu es aussi un fantôme, personne ne te vois ni t’entends. Je m’appelle Saria, et je suis là parce que je dois t’expliquer certaines choses. Tu vois tu es attachée à ce bâtiment et rien ne pourra détruire ces chaînes, en fait, afin de sortir de ta situation il faudrait un shinigami, pour qu’il te libère mais ils se font rares ce sont les seuls capables de te libérer et c’est leur devoir. Bientôt si un shinigami ne vient pas t’aider ta chaîne se brisera et tu deviendra un hollow et c’est alors que tu mangeras des gens surtout ce que tu as aimé. Bon je crois que mon devoir est finis je m’en vais au revoir jeune fille »


Saria s’en alla sans même que Jun ne put rien lui demander, c’était étrange cette fille semblait en savoir tant. Jun réfléchis alors durant des heures sur ce que venait de dire la jeune fille. Soudain un flash lui vient, elle ouvrit son sac à dos sorti le livre des aventures de Ken et le feuilleta ce livre fut sa seuls source de distraction durant des jours, des semaines, elle le connaissait presque par cœur. A la page 53 se trouvait un mot similaire à ce que venait de dire la fille : hollow. En observant le dessin Jun comprit ce qu’elle allait devenir et cette idée lui déchira les entrailles. Mais soudain il y eut du mouvement du côté du cimetière une femme devant la tombe de Jun Hanae avec une fleur blanche à la main. Elle parlait, la fantôme l’observait et se rendit compte soudain qu’elle ressemblait à Haiko en plus vieille, soudain un bonheur si intense remplit Jun mais ce bonheur lui brûla corps et cela ne se stoppait pas, d’habitude ce genre de chose ne durait que quelques secondes mais cette fois cela dura des minutes entières jusqu’à ce que Jun put lire sur les lèvres de Haiko

« Je suis désolé mais Kaori, ta mère, est morte »

A ce moment précis la rage emplit tellement Jun que sa chaîne se brisa et qu’elle devenu un hollow.

La suite est à venir

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