Jaag Akanawa

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Prénom : jean-Charles ! Mais vous pouvez m'appeler Rémi
Age : 18 ans =D
Expérience RP : heu... trois ou quatre ans... Et je rp' toujours comme une brêle
Un avis sur Bleach Shinigami Age : Bah il m'a direct tapé dans l'oeil ! En plus y'a Godmichetwarth dessus alors bon obligé que c'est un super forum
Comment vous avez connu ce Forum : Je suis modo' sur OP RPG, l'un de vos partenaire

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Nom : Akanawa
Prénom : Jaag
Age : 50 ans
Sexe : Masculin

Race : Quincy
Rang / Grade désiré : "El Manchot"

Description Physique :

la première chose que l'on remarque lorsque l'on croise Jaag ce n'est pas son accoutrement ou son odeur. La première chose qui frappe lorsque cet homme se tient en face de vous ou qu'il vous croise dans la rue c'est sa taille impressionnante. Du haut de ses deux mètres vingt-sept, notre quincy domine un monde à lui tout seul. En revanche, il n'est pas bien large. Cassant avec le mythe du géant à l'apparence titanesque, certain le traite même d'asperge. Mais il ne faut pas s'attacher à ce que l'on voit car il a beau avoir un carrure peu impressionnante, sa puissance physique dépasse pourtant largement les capacités des humains normaux.
Tout en haut de cette tour d'ivoire se juche une tête couverte par une longue chevelure brunâtre couronné d'un chapeau de cow-boy autrefois jaune et maintenant usé par les intempéries et les combats. Sur cette face craquelé par le temps et lardé d'une cicatrice profonde et amer brillent deux yeux d'un vert qui n'a, quand à lui, rien perdu de son éclat. Souvent, quelques mèches tombent devant ce regard puissant et, dans l'ombre projeté par cette coiffe, on croit souvent apercevoir l'étincelle de la dignité. Le nez de notre homme est fendu de deux narines sombres et humide tandis qu'en dessous trône une large bouche qui tient souvent un cigare entre ses mains rosées. La voix qui sort de cette grotte ne s'entend pas souvent. Pourtant, elle est belle. C'est d'ailleurs la seule chose de beau chez lui. Douce, calme, apaisante, elle roule dans l'air jusqu'aux oreilles de son auditoire, y déposant un baiser de tendresse. Lorsque ses paroles s'envolent tandis que les écris restent, son visage se met en marche comme une vielle machine immobilisé par la rouille. Ses joues et son mentons recouvert par une barbe de trois jours bougent et se déplacent, faisant danser la cicatrice qui traverse cette face d'homme de guerre.
Le crâne du quincy est relier à un buste fin et puissant par un cou que l'on peu qualifié de "normal" pour une personne de son âge. Le poitrail de Jaag paraît faible. Mais lorsque tombe la veste troué et la chemise délavée, apparait alors une musculature sur-développé ainsi que des traces de coups et blessures multiples. Le dos est lardé par la marque du fouet, du bâton et du martinet tandis que ses longs bras ainsi que ses cuisses portent les baisers des griffes des hollows. [en cour]
[en cour]

Description Psychologique :

Jaag Akanawa.

Histoire :

Jaag Akanawa. Un nom presque oublié de tous. Quincy autrefois célèbre pour sa violence, sa sauvagerie et tous les bains de sangs qu'a vomi son arme.
Cet homme qui ne bouleversa pas l'ordre établi fit irruption dans ce monde il y a de cela une cinquantaine d'années. Sorti d'une femme qui mourut lors de l'accouchement, on du ouvrir le ventre de cette pauvre âme pour en extraire le petit être déversant toute sa peine et toute sa haine sur un univers qu'il maudissait déjà. Les poumons en feu, les yeux à moitié ouvert, le cordon ombilicale s'était enroulé autour de sa gorge, l'étouffant sans prendre de gant ni de précautions. Incapable de crier, incapable de survivre seul, les médecins le sauvèrent tout de même et son cris plaintif résonna alors dans cette salle, sur ce canapé, rebondissant tout autour des personnes qui avaient vu mourir un proche, et naitre l'assassin de cette personne aimé. Enfant mort-né, la vie commençait difficilement pour ce petit être. Heureusement, le père de Jaag n'avait aucune haine envers son fils qu'il voyait comme une bénédiction du ciel. Dieu lui avait prit sa femme pour lui donner un garçon. Ce grand monsieur aurait très bien pu prendre les deux. Fier de cette victoire, fier de sa chaire, monsieur Akanawa attrapa l'enfant et le porta au-dessus de sa tête comme un trophée, comme un défi à la vie. "Fils ! Tu arrives juste sur cette terre et déjà la mort est dans ton sillage ! C'est un signe du Seigneur ! Bientôt, tu seras le bras armé qui exterminera nos adversaires !" Bushidara Akanawa ne savait pas à quel point ces paroles allaient être vrai...
Cette journée ensoleillée était bordé d'un ciel azur qui admirait l'effervescence en dessous de lui et les nuages passaient, portés par le vent qui chantait une mélodie d'oiseau des mers. Le quartier qui avait vu naître ce futur quincy était un bidon-ville et la maison une simple baraque faites de taules et de déchets. Le cadre était posé, et la nature accueillait un nouveau visage avec amour tandis que le béton de la route, les briques des immeubles et les constructions artificielles semblaient trembler devant une part d'ombre qui voilait encore le destin de cette petite chose.

Choyé par son père, adulé par la famille comme le survivant d'une guerre épouvantable, le nouveau-né grandit pour devenir ce bébé rondouillard gueulant pour avoir sa nourriture. Dans ce berceau cerclé de fer et d'argent reposait un revolver. Un six coup pour être exacte. Ce fut le premier cadeau que Jaag reçu pour sa première année sur Terre. Son nom gravé sur la poignet, la phrase "L'enfant des morts, des morts et Hollow" incrusté sur le canon montrait bien la folie de Bushidara. Surnommé "Le Busher", ce fanatique psychopathe voyait en son fils l'incarnation du Dieu de la mort. Pas l'un de ces foutu shinigami mais le véritable. Celui qui juge et qui emporte ou non les âme dans son sanctuaire sous-terrain. Oui, ce père était fou. Fou de sang et fou de guerre, de pouvoir et fou d'amer. L'enfant qu'il adulait serai sont arme, sa source de pouvoir grâce à laquelle il regagnerai la seule chose qui le poussait encore à vivre...

Et la vie passe si vite que déjà il était devenu un enfant capable de marcher, de courir et de parler. Habitué à la présence de son arme, elle ne le quittait jamais. Si lourde et si grosse pour un si petit gosse... Et pourtant rien ne pouvait les séparer. Elle faisait parti de lui, et lui d'elle. Dormir sans elle était impossible, de même pour boire ou manger. Même les besoins les plus naturels comme uriner ou déféquer ne pouvait se faire sans ce long instrument de mort fait d'acier et de bois.
Apprenant à se battre, à frapper, à haïr, l'école ne lui était pas autorisé. Seul comptait sa force. Ne sachant ni lire ni écrire à sept ans, il savait briser des coups et trancher des corps à la place. Maniant le sabre avec une certaine dextérité, le but ultime n'était pas loin. Juste quelques années en plus et la mise en marche de la machine de mort serait terminé. Mais pour le moment, la vie du petit Jaag se réduisait à combattre, manger, boire, dormir mais aussi à recevoir les coups et prières de son père. Gosse endurci à coup de bâton et de gifle, il ne voyait le soleil que lors des entrainements extérieurs. Et quelle joie lorsque cela se produisait ! Il faisait beau ! Il faisait chaud ! On pouvait sentir le vent caresser les peaux et les arbres qui dansaient sous ce souffle de vie menaient un balais de toute beauté. Le reste du temps, Jaag restait à l'intérieur, le plus souvent dans le noir. "Un bon combattant n'a pas besoin de voir son ennemi !" Lui disait son père. "Il a seulement besoin de le sentir !". Il ne le savait pas encore, mais le Mort-né était en train d'apprendre une chose essentiel à un quincy. La précision, même sans voir son adversaire. Et dans cette obscurité grandissait un monstre qui dévore le cœur et l'âme : la haine.

Les années passent et se ressemblent. Entrainement, encore et toujours plus. La force physique de notre jeune homme est maintenant extrêmement développe pour un adolescent de douze ans. Aujourd'hui, tous fêtent son anniversaire. Il y a un modeste gâteau qui trône en plein milieu d'une modeste table dans une pièce de cette modeste demeure. Dehors il tombe une petite bruine et les chant des oiseaux accompagnent l'arc-en-ciel qui se lève, fatigué mais fier de se montrer aux yeux de l'Homme qui l'admire car il est intouchable. La bougie soufflée, l'initiation peut commencer.
Le clan Akanawa était réuni autour de ce jeune farouche dont le visage est lacéré d'une grande cicatrice. Tous sont des quincys. Des quincys ratés à vrai dire. Incapable de former l'arc habituel de leur race, ils furent rejeté car trop faible. Alors, dans l'ombre, ce groupuscule a créé des armes permettant de faire comme leurs congénères. Ils devinrent alors des combattants et, pour prouver qu'ils étaient au même niveau que les autres. Dans cette quête au respect, la plupart devinrent des boucher, des fou de guerre qui tuaient un peu tout ce qui passé. Shinigami, hollow, parfois d'autres quincys même. Les humains n'étaient pas épargnés. Lors de ces combats, les dommages collatéraux étaient courant et un peu oubliés par ce clan. Une guerre se lança alors et les Akanawas furent massacrés. Humiliés, écrasés, le but de chaque homme et chaque femme Akanawa était de regagner leur honneur et leur rang de Quincy. Et Jaag était l'un des maillons principaux de ce plan car il était le seul enfant du clan. Les autres membres ayant été castrés ou éliminés. Ce génocide fut le premier et le dernier de l'histoire des quincy jusqu'à aujourd'hui. On lui raconta alors l'histoire de son clan, ses défauts, ses forces, et pourquoi il devait devenir quelqu'un de fort. Sa réaction fut étrange. Il ne bougea pas, ne broncha pas et ne parla pas. Il acquiesça simplement. Les anciens apposèrent alors le signe du clan sur sa peau à l'aide d'un fer brûlant.
Le lendemain, on son père commença à lui apprendre à se servir de son revolver. D'abord à le tenir correctement puis à tirer avec. L'apprentissage fut long et difficile car Jaag n'était pas une lumière en ce qui concerne le reiatsu et l'énergie spirituelle. Quasiment incapable de se servir de son arme, il se fit battre encore et encore et encore jusqu'à ce qu'enfin il réussisse à détruire un arbre d'une simple pression sur la gâchette. Le visage fier, le corps dur, Bushidara admirait cet enfant qui serait la clés de la renaissance de son clan. Enfin, c'est qu'il croyait. Car Jaag le haïssait, lui et tout les autres. A cause d'eux il n'était rien d'autre qu'une arme, qu'un instrument. Il n'était même plus humain. Enfin... Il ne l'a jamais été.

Jaag à seize ans. Marchant d'un pas sûr et puissant, il se dirigeait vers une porte de bois bancale et dépeinte à cause du temps qui dévore petit à petit ce bout d'arbre. La défonçant à grand coup de pied, l'homme qui se tenait dans un vieux lit miteux se releva d'un coup mais il n'eut pas le temps de faire ou dire quoi que se soit. Un projectile venait de lui faire exploser le buste. Le sang avait giclé de partout, refaisant l'intérieur de la pièce. Cette nouvelle couleur mettait un peu de bonne humeur sur ces murs ternes et glauques ! Le rouge leurs allait si bien ! celui qu'on surnommé "El Manchot" venait d'exécuter son propre père, dans sa propre maison. Mais cela n'avait pas été assez. L'action n'avait pas durée assez longtemps, le visage de cette crevure n'avait que peu exprimé la douleur et sa mort fut rapide. Non, ce n'était pas assez... Jaag décida tout de même de le décapiter. Mettant le crâne dans un sac en peau de bœuf, le sang imbiba bientôt ce cuir de mauvaise qualité et quelques gouttes perlèrent pour s'écraser lourdement sur le sol telle une larme qui meurt dans une éclaboussure ou d'un revers de main.
Quelques heures plus tard, le crâne de Bushidara était posé sur une table et trois hommes d'un certain âge le regardaient avec dégoût. Mais Jaag ne s'arrêta pas là. Il chassa et extermina tous les Akanawas. Pourquoi ? Pour les voir mourir dans la douleur, la merde et le sang. Pour voir crever à ses pieds ceux qui avaient fait de sa vie un enfer. Et quand tous furent morts, ce ne fut toujours pas assez. Il en fallait plus. Encore plus. Plus de mort, plus de terreur, plus de combat ! C'est ainsi que le dernier du clan maudit se fit un nom parmi les quincys. Tous avaient peurs de lui. Il se lançait toujours dans des combats ravageurs, fous et dangereux sans se soucier de ce qu'il se passait autour. L'excitation de l'affrontement le plongeait dans une transe guerrière qui ne devait en aucun cas être rompu, au risque de se retrouver avec une balle entre les deux yeux.
Sa puissance physique surpassant largement celle de ses congénères, il arrivait à compenser son manque de réflexion et de capacité à maitriser l'énergie spirituelle.
Lors d'une confrontation avec un groupe de hollow, Jaag faillit perdre la vie. En difficulté, plusieurs blessures sur le corps, en totale hémorragie externe, il allait mourir. Enfin ! Et puis, il vaut mieux mourir de la main de son ennemi que de celle de son fils non ? Mais l'espoir ne meurt jamais et même dans sa folie combative, "Le Manchot" continuait d'espérer et de se battre pour sauver sa vie. Et soudain, comme un ange tombé du ciel, elle arriva. Une belle brune élancé aux formes et courbes parfaites écrasa les hollows en un instant. Son regard était une caresse et son visage un nuage d'amour et de bravoure. Après cet incident, les deux devinrent petit à petit amis. Jaag se calmait et était de moins en moins violent. Devenu inséparables, le duo faisait preuve de courage et de puissance dans la défense des humains contre les hollows. Toujours en train de tuer les démons, une alchimie s'était formé entre ces deux jeunes personnes et celui que l'on prenait pour un monstre tombait petit à petit amoureux de cette déesse qui veillait sur lui, à l'image d'une mère. Mais le pauvre se faisait des idées et la jeune fille, même si elle l'aimait comme un ami, n'envisagerait jamais une relation amoureuse avec ce type un peu bizarre.
Et un jour, lors d'une de ses promenades solitaire, il entendit un bruit. La voix d'une femme. Pas n'importe laquelle. La sienne ! Croyant qu'elle était en danger, Jaag ne s'attendait pas à découvrir une telle scène... Celle qu'il avait tant aimé était en train de copuler avec une sous-merde dans les buisson de la forêt où ils avaient l'habitude de se retrouver. Il ne put retenir un flot de larmes. Cela faisait dix ans qu'il n'avait pas pleuré. Les yeux embrumé par le liquide salée, sa main se porta à son armes et doucement, il la braqua sur les deux protagonistes qui commençaient à avoir peur. Peur de mourir, et surtout de souffrir. Elle se mit alors à pleurer et à implorer. Mais rien n'y fit. Le coup parti. Sec, direct, le projectile bleu traversa sa peau si blanche et si douce, déclenchant un océan de sang. Le mec hurla alors aux meurtres et toutes les insultes imaginable sortirent de sa bouche encore pleine de la salive du cadavre qui s'étendait sur lui. Une volée de balle le fit taire à jamais, et Jaag pleurait toujours. Ceci mit fin à son activité de chasseur de hollow. Se sentant trahis, pitoyable, le monstre se rangeait et disparu bientôt dans la nature sans donner aucun signe de vie. Les carnages et massacres furent oubliés et seul deux mots restèrent : "El Manchot".

Trente ans plus tard, dans la ville de Karakura, on raconte avoir aperçu un homme habillé comme un cow-boy portant un six coups et une bible à la ceinture. Enfin, ce ne sont que des rumeurs. Quoi que...