Sōji Okita [U.C.]

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Prénom :
Allez voir un Shakespeare…

Age :
14 ans (et demi)

Expérience RP :
Environ 3 ans

Un avis sur Bleach Shinigami Age :
Très beau design, contexte assez intéressant par rapport à Bleach.

Comment vous avez connu ce Forum :
Secret Défense

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Nom & Prénom :
Sōji Okita (Né sous le nom de Sōjiro Harumasa)
Un nom qui fut connu dans des temps reculés... Un nom réputé, craint et respecté de tous, autant que par les hors-la-loi que par les autres...

Age :
165 ans
Non, il n'a pas été réduit à l'état de squelette, ni de poussière... du moins, pas encore. Au contraire, Sōji a l'apparence d'un homme encore dans la vingtaine.

Sexe :
Masculin

Rang/Grade désiré :
Ichi Ban Tai Fukutaisho | Happy Murder

Description Physique :

On ne peut admirer à la fois la lune, les fleurs et la neige... Chacun d'entre nous a sa définition de la beauté humaine. Aussi, certains compareront Soji à un laideron, d'autres le verront comme une merveille de la nature. Mais, la plus grande part d'entre eux se dira, en le croisant pour la première fois, que ce sourire sur ce visage d'adolescent inspire la sympathie. Ils auront raison de penser ainsi. Le sourire de Soji, voilà sa beauté. Un sourire chaleureux et honnête, sur un visage d’adolescent, presque celui d’un enfant innocent. Un visage blanc et souriant, voilà la première chose que l’on remarque chez lui. La seconde, sont ses yeux bleu foncé, presque violets, indigos. Des yeux qui n’ont pas beaucoup pleuré, mais une âme qui, elle, a traversé beaucoup d’épreuves. Les larmes ne coulent jamais sur ce visage plein de fossettes, sans une ride, sans une cicatrice. Soji est la personnification de la joie de vivre. Ses cheveux ont une couleur qui varie entre le noir et le bleu foncé. Ils sont extrêmement longs, surtout pour un Shinigami : les pointes parviennent jusqu’au pas du dos de Soji. Pour ne pas que sa longue chevelure ne le gêne pendant les affrontements, il les relève en longue queue à l’aide d’un ruban blanc dont les pans sont relâchés derrière lui. Un autre ruban, plus foncé, lui passe sur le front, dégageant sa vue de deux mèches qui lui couvrent les oreilles et une bonne partie des joues. Certaines personnes lui ont déjà fait remarquer que, lorsqu'il relâche ses cheveux, il ressemble à une femme, ce qui le fait beaucoup rire. Ses sourcils, surmontant ses yeux violets, ne se froncent que lorsqu’il prend un air préoccupé, la plus grande partie du temps, ils sont arqués vers le haut, lui donnant un air tranquille et joyeux. Cependant, il arrive, à ce visage sans tache, dans certaines situations, de devenir cruel. Ses yeux deviennent froids, voir glacial et se réduisent à deux fentes, où l’on voit à peine la pupille. Ce sourire joyeux devient celui d’un meurtrier, un sourire carnassier, qui fait froid dans le dos. Nul n’oserait s’opposer à lui lorsqu’il affiche cette expression-là. C’est de cette façon qu’il a su se faire un nom lorsqu’il était encore « vivant ». D’autres fois, ce visage enfantin prend un air sérieux et préoccupé. Peu de gens n’ont eu l’occasion de voir l’accablement et le désespoir prendre possession de lui. Lorsque cela arrive, il prend soin à ce que personne ne le voit… un homme dévoré par le remord et la tristesse n’est jamais agréable à voir.

Maintenant que la partie de l’enveloppe charnelle du lieutenant de la première division est achevé, il est temps de passer au reste : c’est-à-dire à ce qu’est son corps en réalité, et non pas l’impression qu’il donne. Une simple énumération de ce qu’est l’ancien membre du Shinsen Gumi. Pas très grand, il mesure un mètre soixante-quatorze, pour seulement cinquante-deux kilos. Ses membres et son torse sont finement musclés, blancs, et durs comme le marbre. La seule partie de son corps qu’il n’aime pas beaucoup sont ses longs doigts fins. « Des doigts de femme » râle-t-il de temps en temps à l’adresse de son reflet « pas celle d’un guerrier… ». Sa condition physique peut paraître excellente… mais elle ne l’est pas vraiment. En effet, il arrive, de temps en temps à Soji d’être en proie à de violentes crises de toux qui le font cracher du sang et l’affaiblissent considérablement. Heureusement, ces crises ne surviennent qu’en hiver, lorsque la température baisse et que l’humidité et le gel rongent tout ce qu’ils trouvent. Mais, mis à part ce défaut, Soji reste un combattant émérite, spécialiste en kenjutsu, et pour qui le Kidô est un allié aussi sûr que puissant. Même le Hakuda ne lui pose que quelques rares problèmes, car sa vivacité et sa jeunesse lui permet d’asséner les coups vite et bien. C’est aussi l’inventeur du coup « Sandantsuki » le triple coup d'estoc frappant très rapidement la gorge, l'épaule gauche puis l'épaule droite. Cette technique découle du fameux « Hiratsuki », coup d'estoc avec la lame à l'horizontale, créé par Hijikata Toshizo, dernier commandant du Shinsengumi...

Maintenant, je sais ce que se disent les petits plaisantins : « Et il se promène tout nu ? » Non, heureusement pas, car sinon, toute la gente féminine du Gotei 13 lui courrait après. En plus de son shihakushō de Shinigami, il porte un haori, quelque peu semblable à celui des capitaines, sauf que le sien est bleu et qu’il lui descend juste au-dessus de ses genoux. Les manches ont des pointes blanches à leur extrémité, ainsi que le bas de la veste. Le symbole (le chrysanthème) de la première division est dessiné en blanc sur le dos du kimono. Il porte également des mitaines noirs, qui montent jusqu’à ses poignets. Ces gants lui permettent d’avoir une meilleure prise sur son Zanpakutô, un katana de soixante-douze centimètre, dont la description sera faite plus tard. Est-ce tout ? Eh bien, oui. Arpès tout, ce qu'est Soji Okita, vous seul pouvez le voir à travers vos propres yeux. C'est aussi vrai avec son profil psychique... bien qu'il soit lui aussi difficile à cerner lorsqu'on ne le connait pas vraiment.

Description Psychologique :

Comme le rocher est modelé selon les vagues qui le frappent, le caractère d’un homme se forge en fonction des évènements auxquels il doit faire face…

En réalité, pour ceux qui connaissent suffisamment Soji, son caractère est tout à fait compréhensible. Mais comme vous n’êtes pas sensés le connaître, il faut d’abord que nous fassions une bref esquisse de son mode de fonctionnement. Tout d’abord, comme le pré visualise son apparence physique et son sourire indécrochable, Soji est quelqu’un de très joyeux, qui passe son temps à plaisanter et à s’amuser avec les enfants du Rukongai. Oui, Soji ressemble à un très jeune adolescent pourrait-on dire en le voyant pour la première fois. Lorsqu’il faisait encore partie du Shinsengumi, contrairement à la plus grande partie de ses collègues, il gardait un esprit positif qui remontait le moral de tous. Ses supérieurs et maîtres, Hijikata Toshizo et Kondo Isami, le considérait comme leur petit frère. Un petit frère expansif et très câlin, qui adorait faire des blagues et qui se plaignait lorsque l’on ne jouait pas assez souvent avec lui. Enfin bref, ceci est ce que l’on peut percevoir de lui en le rencontrant pour la première fois. Personne ne pourrait se douter que ce jeune homme resplendissant de bonne humeur et de joie de vivre a été l’un des plus sanguinaires membres des Loups de Mibu.

Lorsqu’il se retrouve face à un adversaire, Arrancar ou autres, Soji perd en général son sourire. Enfin, pas tout à fait. Disons plutôt que lorsqu’il se retrouve face à un adversaire devant lequel il est sûr de remporter la victoire (comme devant un Hollow) il affiche un sourire froid et cruel, le sourire de celui qui a soif de sang et qu’aucune supplique n’arrêtera. En revanche, devant un adversaire plus « consistant » il devient aussitôt très sérieux. Son sourire disparaît totalement pour laisser place à un visage froid et concentré. C’est un excellent combattant, mais aussi, ce que l’on pourrait appeler un démon. Il se bat toujours jusqu’à ses dernière forces, quitte à risquer de perdre une nouvelle fois la vie. Quant à son comportement devant ses ennemis, il ne montre aucune pitié : il a déjà torturé, tué et massacré. Il n’attaquera en revanche jamais quelqu’un seulement pour satisfaire sa soif de combat : il attend juste qu’on lève un katana contre lui pour répliquer… et tuer. Il porte une grande affection envers ses subalternes qui le craignent et l’admirent en même temps : il parait étonnant qu’un si jeune garçon, ayant tué pour la première fois vers l’âge de douze ans, puisse encore sourire de la sorte et se comporter comme un enfant. Un enfant qui peut se trouver quelques fois très impatient et qui perd rapidement son calme si on le cherche un peu trop (en général le « on » se rapporte à des soldats d’autres divisions qui sont jaloux du succès de Soji et qui le trouve bien trop frivole pour être vice-capitaine). Cependant, lorsqu’il arrive à reprendre le contrôle de lui-même, c’est-à-dire, une fois qu’il a déjà bien corrigé l’opportun, il s’excuse toujours auprès de lui.

Pour revenir à comment se comporte Soji lorsqu’il ne se bat pas, il semble important de dire que le jeune vice-capitaine n’a pas vraiment le sens des responsabilités, bien qu’il s’acquitte toujours de son travail de lieutenant (en ronchonnant et en pestant contre la paperasse, bien trop abondante à son goût). Il n’est pas non plus très ordonné d’ailleurs. Il aime beaucoup les feux d’artifices, les bonbons et le thé vert. Il est d’ailleurs l’un des meilleurs clients de l’épicerie du Gotei 13, où il est toujours bien accueilli. Il arrive parfois à Okita de jouer des tours à ses camarades lieutenants, parfois même à ses capitaines, mais à force de le menacer, on a réussi à le dissuader de mettre des bonbons fondus sous la chaise du commandant en chef ou de mettre en place des stratégies (la plupart du temps, foireuses) pour découvrir à quoi ressemble le capitaine de la deuxième division derrière son masque…

Soji a, lui aussi, un masque. Derrière son sourire franc et chaleureux, se cache une grande tristesse qu’il ne parvint pas à faire disparaître. En effet, bien que la plupart des humains débarquant au Rukongai pour la première fois, oublient tout de leur vie passée, Soji, quant à lui, se souvient de toutes les horreurs et les souffrances qu’il a connu dans sa vie d’humain. Et elle n’a rien de joyeux, il faut l’avouer. Bien qu’il ait aussi des souvenirs heureux, comme les nombreuses journées d’été passée avec ses presque frères, il a du mal à les oublier. Le fait de les savoir morts, l’attriste régulièrement, et il espère les retrouver un jour… Concernant sa « maladie » il garde, et a toujours gardé, son sourire, minimisant les effets que cette saleté a sur lui. C’est quasiment sa seule faiblesse. Son unique peur, quant à elle, est de perdre à nouveau ses amis. Il devrait essayer de se lier le moins possible avec les autres, pour ne pas éprouver la douleur de perdre à nouveau un être cher. Mais, c’est plus fort que lui : il a toujours été doté d’un tempérament curieux et sociable. C’est pour cela que, malgré les bonnes relations qu’il entretient avec les autres Shinigamis, il essaye de ne pas trop s’attacher à eux. Il peut se montrer très dur et intransigeant quand la situation l’exige, mais il est en général très « cool » envers ses subordonnés.

De plus, il respecte toujours le Bushido, le code du samurai. Mais, sous ordre du commandant lui-même, on lui a interdit de faire seppuku, quelque soit sa faute. Cependant, il va sans dire, que si sa faute est très grave, Soji préfèrera se faire hara-kiri que d’être jugé et condamné à l’exécution. Son sens de l’honneur est le même que celui de l’époque Meiji, sous le shogunat. On comprendra donc assez bien qu’il n’aime pas beaucoup aller dans le monde réel, où la décadence et le désordre règnent en maitre. Mais il y va quand même, rien que pour se réapprovisionner en bonbons et sucreries, bien moins chers qu’à la Soul Society… et pour jeter un œil aux musées concernant le Shinsengumi.

Cette description est très incomplète. Mais qui peut retracer le portrait d’un homme qui est sensé être mort il y a plus de 100 ans ?

Histoire :

En cours

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