Kandô Kayba, L'Ombre Lunaire

-_- Nom : Dankô -_-
-_- Prénom : Kayba -_-
-_- Age : 260 ans -_-
-_- Sexe : Masculin -_-

Race : Arrancar

Rang / Grade désiré : Non défini

- La date de votre Naissance : Le 1 Juillet 1750
- La date de votre Mort : Le 26 Février 1775

- Début de la vie en tant que Hollow : Le 15 Janvier 1890

- La date d'évolution en Gillian :
- La date d'évolution en Adjuchas :
- La date d'évolution en Vastos Lordes :
- La date de votre Arrancarisation :

-_-DeScRiPtIoN PhYsIqUe -_-

Les nuances du noir profond mêlées aux flammes de mon cœur embrasé… la puissance de la lune, scintillante sans peine dans les cieux. Le reflet même de la perfection dans deux étroits petits globes oculaires. Mes yeux sont scintillants comme la lave et étrangement sombres. Le front dégagé par moment, les cils finement dessinés. Le nez comme vous aimeriez en avoir un : allongé en accord avec les dimensions de mon visage et légèrement relevé. L’odorat éveillé en tout temps par les effluves qui n’ont plus de mystère pour moi. Une chevelure noire, lisse aux reflets d’argents. Une coupe mal entretenue qui déambule le long de ma nuque et de mon visage, voletant au grès des vents et dissimulant quelques fois mon regard. Mon dos est le témoin d’une œuvre d’art noir et des stigmates de mon Arrancarisation. Symbole des flammes de ma haine, représentées par un crâne ailée et d'une rangée d'os fins, bordant mes deux omoplates… Une peau brillante, toujours propre est bien hydratée recouvre mon corps. Ma figure est soignée, accompagné de lèvres qui n’expriment aucun sentiment. Parfois un sourire s’égare sur ce visage d’humain civilisé, mais c’est tout bonnement rarissime et éphémère. Un choix qui ne dépend que de moi et que nul ne peu influencé d’aucune manière. Un torse sans poil, musclé naturellement. Des abdos à la puissance insoupçonnée, d’une belle forme. Par tout temps, je porte une chemise grise sans cravate. Le tout assorti d’une petite veste de costume à la teinte sombre. Les deux plus hauts boutons de ma chemise sont constamment ouverts, pour que le doux parfum de mon corps vous soit accessible. Le bas de mon corps, vous aimeriez le découvrir pervers que vous êtes mais une ceinture, tout ce qu’il y a de plus banal, monte la garde. Par souci de pudeur, je n’en dirais guère plus... Par contre, mes jambes elles, sont biens fournies. Toujours couvertes d’un pantalon noir assorti à ma veste. Cela rend mon fessier très attrayant. Du moins ce sont les ouïs dire que l’on me rapporte. Je suis également chaussé de bottes montantes d’un cuir à la teinte ébène, dissimulé sous le tissu noir de mon pantalon. Le tout faisant secrètement office de protège tibias. Autrefois, j’étais habillé d’un kimono blanc. Je ne le porte désormais qu’au Hueco Mundo… Evidemment, ce n’est pas dans mes habitudes de traîner par là-bas et dans pareil accoutrement. Mes mains, elles aussi sont recouvertes mais par des bandes noirs et blanches mêlées… derniers vestiges de mon ancienne tenue d'humain.

Avec cette courte description, vous arriverez sans peine à me reconnaître… Mais attention à vous, je n’aime pas vraiment me sentir épié, ça me rend nerveux. Et quand je suis nerveux, il arrive parfois des choses très fâcheuses, qui échappent à mon contrôle.

-_- DeScRiPtIoN MeNtAlE -_-

J’étais autrefois aussi calme et pacifique qu’un moine. Je fleuretais avec le vent et courrais dans les prairies avec ma sœur Lyala, que j’aimais tendrement... infiniment. Je passais mes nuits à observer les étoiles en me disant que l’avenir s’écrivait toujours dans les astres. Je ne me souciais pas du lendemain, et jouissais d’une vie tranquille. Une vie seulement habillé par le désir de vivre chaque jour une aventure nouvelle. Autrefois, j’étais bon vivant. Attiré par les arts, la peinture et tant d’autres activités ravivant la flamme de mon âme. Mais les ravages de la mort causent bien des distorsions dans le faible esprit humain et lorsque mon père fut atrocement assassiné sous mes yeux et ceux de ma petite sœur… tout changea d’une manière irréversible et radicale. J’étais toujours aux petits soins pour la seule survivante de ma famille, mais elle s’était refermée sur elle-même. Cela me rendait malade, et je n’avais qu’une seule hâte : venger la mort de mes parents pour libérer ma sœur de l’emprise de la haine. Au final, je me suis retirais du monde tel qu’il était connu en 1770 à Karakura, pour vivre en solitaire avec ma sœur, mon unique famille. Nous nous sommes durement entrainé pour exercer notre vengeance et lorsque nous pensions être fins prêts, nous revîmes à Karakura pour exorciser nos souffrances. Évidemment, ceux qui nous connaissaient ne nous on pas tout de suite reconnu. Nous n’avions plus l’air bienheureux. Nos visages n’exprimaient que détresse et sournoiserie. J’étais devenu aussi froid que le démon lui-même et n’éprouvais plus rien d’humain C’était ce pourquoi je m’étais durement entrainé, devenir intrépide et sans pitié pour annihiler mon ennemi. Je me passais le film de la Vengeance bien trop souvent, et c’est devenu une obsession que je partageais avec ma sœur. Nous étions jeunes et craint. Nous étions beaux et redoutés. Le regard fixe et glaçant le sang, nous n’avions pas d’amis. Nous n’en voulions pas et de toutes façons, nous étions intimement persuadé que personne ne pourrait jamais nous comprendre, personne ne pourrait comprendre notre douleur.

En 1775, le tueur de nos parents revint à Karakura. Il voulait terminer son travail et finir de détruire notre famille. Je me suis donc allongé dans le lit de mes parents et ai attendu que le tueur revienne. Le tueur est revenu durant mon sommeil moi qui m’étais assoupi... et je suis mort de ses mains, ma sœur également. J’étais mort dans la souffrance et mon esprit était prisonnier de la maison familiale. Ma souffrance était grande et l’est toujours. Prisonnier dans ce cauchemar qui ne cessait de me tourmenter, j’ai fini par me transformer en monstre et ai dévoré ma propre sœur… Un trou s’est creusé dans ma poitrine et je ne pensais plus qu’à manger, manger encore, toujours manger. C’est ce que j’ai fait jusqu’à atteindre le plus haut stade d’évolution qui m’était permis d’atteindre. Mon caractère avait sensiblement changé. J’étais devenu une sorte de tueur à gage, exerçant ma haine partout où j’allais et tuant quiconque n’approuvaient pas ma domination. Je n’exprimais plus de sentiment, mais avait une nouvelle passion : donner la mort. J’étais devenu un vrai psychopathe et ma puissance nouvelle poussait mes nouveaux compagnons Arrancars à être très méfiants ou me fuir.

Au final, je ne faisais plus confiance à personne et me jouait des autres. J’exerçais ma colère et ma souffrance sur ceux qui me détestaient ou me défiaient sans cesse, tout en restant passablement insensible au reste. D’ailleurs, je n’aimais pas vraiment les ordres, c’est toujours le cas. Ce qui me valut d’être banni de l’Hueco Mundo définitivement. J’étais devenu une « menace » trop sérieuse pour la pérennité de ma race. Je me suis alors réinstallé à Karakura sans une seule honce de nostalgie propre aux humains. La vie avait bien changé là-bas, des buildings avaient poussé un peu partout et l’ancienne maison familiale n’était plus. Je suis donc devenu professeur d’arts martiaux, faisant mine d'être sage et preux combattant. De ce fait je pouvais continuer à progresser chaque jour en attendant un objectif. J’avais des esclaves humains à mon service et ne manquais plus de rien. Mais un jour un shinigami est venu briser mes rêves et à tenter de me tuer. J’ai survécu à sa puissance phénoménale mais depuis ce jour… mon nouvel objectif est de devenir le Roi de la Société des Âmes afin d’exercer ma vengeance pour l’éternité. je n'ai plus rien à perdre, plus personne à protéger... De ma détermination dépendra l’issu de ma seconde vie.