Get Away With Murder [PV Rui]

Elle ne connaissait absolument pas cet homme et avait pourtant hâte de lui pourrir la vie, ou du moins le temps qu'il passerait à la supporter.

Oui, cette petite visite médicale allait être drôle...Très drôle...

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Avez vous déjà posséder un reptile ? Ils dorment le plus souvent de la journée sous une jolie lampe rouge qui leur fournis de la chaleur comme leur sang est froid. Ils sont si mignon a piquer un petit somme sur le ventre en émettant des couinemment si “kawaï”. Bah moi je suis ni mignon et je ne pousse pas des bruit suraiguë pour attirer l’ attention. Et le soleil artificiel de la Soul Society me suffit amplement. Enfin je pense qu’il n’est pas d’origine naturelle mais je n’en ai aucune preuve. Enfin comment construire un truc aussi gros vous me ferez dire ? J’en sais rien et je m’en contre fiche. Plutôt que de mourir de chaud dans ma chambre je m’étouffe sur le toit bien en retrait de la gouttière. On est si bien sur les tuile d’ardoise lisse, glissante et dangereuse. Heureusement que mes bras étendu de pars et autre de mon corps freinerons a coup sur ma chute. Sauf si je me met a rouler, la je pense que mes chance de ne pas me ridiculiser sont extrêmement faibles de l’ordre du zéro absolu. P... pourquoi mes oreilles se mettent a bourdonner si soudainement. C’est quoi se bruit bizarre...

Youhouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu vous êtes lààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààà ?

DE QUOI ? Non... non... non... Je tombe. Elle va me le payer. Un tour, deux tours, trois tour... Ma veste s’ emmêle et me fait pendre du haut de la gouttière. Je mis rattrape comme une dernière chance elle était déjà en bas. Je lâchais mon doux vêtement pour m’écraser sur le sol dur, désagréable, rugueux et j’en passe et des meilleurs. Les bras et les jambes écartés je fixe le ciel le sourire au lèvres. Elle a réussi a me réveiller. Toute ma réputation de caméléon paresseux tombe a l’eau. Je dois avouer qu’elle crie fort, très fort, trop fort. Mais pourquoi elle me cherche au fait ? Voyons voir. Du coin de l’oeil je l’observe. Tien une cliente fidèle aux soin de la quatrième. Elle veux se faire refaire les seins ? Le nez ? Un peu de tout ? Elle se croie dans un institue de beauté ? Kozuki Tsukane. Selon les fichiers des malades elle serait le quatrième siège de la onzième division. Je peux avouer qu’elle est belle comme la plupart des femmes. Sont caractère endurcit par son groupement la rend irrésistible...

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-Tien tu t’intéresse aux femme vil lézard ?! Ne me fais pas rire. Comment un mec comme toi pourrais aimer une nymphe aussi belle et rare qu’elle ? Et surtout comment pourrais elle ressentir la même chose avec ta sale face de batracien !
-Mais laisse tomber Holland j’ai dit qu’elle est jolie pas que je l’aime IDIOT !
-Roooh... Après je dis ça, je dis rien. Mais n’oublie pas que j’ai TOUJOURS raison dans n’importe qu’elle situation.
-Eh bien ne dit rien tu auras encore plus raison. Bon je reviens et je m’excuse du dérangement de mon colocataire bruyant. Eh, eh eh... Bizarrement ça me rappelle la rencontre avec Kojima. J’ai le dos paralysé. Encore mes muscles qui ont dus se tordrent.
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Je sortais de ma blouse une barre de céréale que je m’ empressais d’avaler. Quel délice cette friandises provenant des chaînes de fabrique de la Soul Society. Pourquoi me déranger en cette chaude après midi ? Voulait elle se battre ou discuter ? Bon, je vais arrêter de me poser tout un tas de questions et me concentrer sur mes tendons qui ne veulent plus se remettre en place. Il faudrait que je me décale sur le côté droit et déplacé mon coude en arrière... Enfin ! Je me remis tant bien que mal sur mes fesses restant impassible attendant ce qu’elle me voulais.

-Tu souhaites des informations ? Tu peux t’adresser à un autre shinigami de ma division il en saura autant et lui au moins, sera soumis. Si tu es la pour me pourrir ma journée je te serais gré de passer ton chemin ou d’avoir affaire à ma lame... Même si je ne la sortirais pas pour une femme. En fait c’est très dur de choisir. Ne soit pas offensé ! C’est juste que je respecte la gentes féminine autant que le sommeil.

J’arquais un sourcil, curieux de savoir comme elle interprétera ma phrase qui laisse paraître se que je pense. Encore faut il savoir déchiffrer le Caméléon. Bizarrement ses yeux m’hypnotiser je ne pouvais m’ empêcher de jeter toutes les secondes un petit regard discret en direction de ses pupilles émeraude aux reflets de jade d’argent. Malgré son étrange beauté son petit minois renfrogné donnait une image d’une femme terrible. Des frissons parcoururent mon dos endoloris. Allait elle me frapper ?

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Si tu crois que déboutonner ta chemise et faire ton intéressante me fait quelque chose... Tu es donc tombé bien bas. Dire que faillit croire que tu étais une femme fatale qui savait se BATTRE et qui vénérais le dieu de la guerre je pense m’être trompé sur ton compte. Tu étais intéressante tout a l’heure... Mais la tu me donne envie de vomir.

Elle jouait plutôt bien la comédie mais c’était si flagrant qu’en faisant son petit numéro de charme elle voulait se distraire en me faisant tourner en rond juste pour son amusement personnel. Je hais ce genre de personne. C’étais désormais sur, elle était la pour m’ enmmerder. Quitte à lui faire croire que je me défile au moins j’aurais la paix. D’un seul geste je grimpais sur le toit de mon appartement. Un petit signe de mains égal a un aurevoir et je me dépêchais de rejoindre l’autre bout de la toiture pour exécuter un dérapage contrôlé et m’installer peinard sur la surface brûlante. Le sommeil... Il me fallait le sommeil. Il ne vint jamais mais au moins je pouvais goûter a la tranquillité. Effectivement c’est très con ce que je viens de faire, elle va me prendre pour un fou elle va venir me frapper, me tordre le coup, me vider de mes tripes, déchiqueter mon estomac, jouer au freesbee avec mes omoplate et aux osselet avec mes phalange. Mais quitte a mourir au moins dormir avant.Cette journée promet d’être mémorable je peux le parier. J’ai hâte qu’elle déchaîne toute sa haine sur moi. Masochiste ? J’ai bien entendu ? Non, je m’habille pas de cuir noir et je ne me balade pas avec un fouet mais j’ai juste hâte de tester sa force et voir si elle veux se venger de moi. Vengeance, doux plaisir qu’un humain ressent lorsqu’on lui a fait du tord. Mais après avoir assouvis son plaisir que gagne t’on ? Un cadavre sur les bras, du sang plein les mains et des remords dans la tête. Horrible n’est ce pas ? Sadique ?! Vous allez arrêter avec vos sous entendu bizarre ! Espérons qu’elle m’entende.

-Je préférais amplement ton ancien caractère... On aurait dit une vraie guerrière...

C’est vrai, elle fait pourtant bien partie de la onzième pourquoi essaye t elle de cacher son faible pour le combat ? Les femmes sont si dures a comprendres... Désespoir, jamais je ne rencontrerais le grand amour. Avec un grand A majuscule.

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-Tes chances rui sont vaines ! Si tu me laisser faire ? Ne vois tu pas l’innocence qui se cache dans cette sublimissime sirène ? Es tu aveugle mon pauvre ami ?
-Un piège, rien qu’un piège. Dire que j’ai cru une demi seconde qu’elle serait la fe... une personne gentille.
-Rui tu es désespérant... Laisse moi lui parler juste deux minutes et tu verra.
-C’est un non catégorique. Tu va encore sortir ton discours a faire pleurer un nouveau né et en plus tu va me faire fumer de l’encens qui pique affreusement la gorge et les yeux. Je doute que cela lui plaise Don juan.
-T..t.. toi ! Si je pouvais je te tuerais !
-Essaye...
-Plus sérieusement. Pense tu une seconde avoir tes chances avec elle ? Regarde moi se corps de rêve.Elle est parfaiteeeuh !
-Non, je n’ai aucune chance puisque je sais pertinemment qu’aucune personne dans se monde ne m’aime.
-Enfin une vérité !
-...
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C’est pratique d’avoir quelqu’un avec qui discuter quand on s’ennuie. Et c’est encore mieux quand il vit dans votre tête. Car avant de n’être qu’une voix dans mon esprit, Holland était bien vivant en chair et en os. Il faisait fureur chez les femmes mais ce temps la est révolu pour lui. Il a choisi que je serais le maître et je m’ acquitte de ma tâche comme il faut. Un jour il fera ses valises et emportera tout. Ce jour sonnera ma mort et la sienne. Enma elle disparaîtra dans l’oublie et nous serons tous heureux au paradis. A moins qu’il n’y est plus rien après la soul society.... Personne n’en ai revenu pour nous répondre.

Vivement le moment où elle se rendra compte que ses attaques qu’elles soient physiques ou mentales ne me toucherons pas. Tel un roman dramatique je n’ai pas eu une enfance heureuse ni semblable a celle de la plupart des personne réuni ici. Pour ne pas en tirer un roman je ne m’étalerais pas sur ce chapitre de ma vie. Seul mon père, monstre ignoble avide d’argent et de gloire me dégoûtais pendant cette période. Le monde me paraissait si rose et calme. Encore une erreur de ma part... Mais oublions le passé, amusons nous et profitons de la vie ou plutôt de ma mort qui nous souris ! Enfin, moi je ris mais la pauvre combattante de la division numéro onze elle doit fulminer.

Quelque chose à ajouter ou je t’ouvre le cou façon Pez ?

Qu’est ce qu’elle a avec les Pez ? C’est bon c’est petits bout de sucre. D’ailleurs, j’ai eu beau chercher y’en avait pas a la boutique soul society corporation. Mais elle rigole pas la... Remarque ça me fais plaisir qu’elle se prenne a mes paroles. Une femme forte ! Qui connaît une liste d’insulte dont certains auquel jamais je n’aurais penser. Elle me faisait émettre des frissons dans tout mon dos. Cette sensation si agréable me rappela une chanson d’un groupe connu sur terre. Les Beatles. J’adorais leurs musique a l’époque. Vaudrais que je réussisse a obtenir leurs CD dans le Seireitei. La chanson en question ce nommais “A day in a life”. Les chanteurs c’étaient séparé et avaient écrit la musique séparément. Drôle d’idée. Mais le sang qui dégoulinas sur ma nuque commençait a gâcher ce plaisir. Du bout de ma langue surdimmensionné je lécha un peu du liquide rouge. Jamais je n’avais goûter a mon propre elixir et son odeur raviva mes sens. Bizarre, très bizarre. Ce shikai était si intéressant... La froideur des griffe allié au tempérament de cette quatrième siège devaient faire un malheur sur le champ de bataille. Les têtes doivent volé sûrement haut quand ses doigts entraient en action.

-Le rêve d’un guerrier après avoir acquis la puissance nécessaire tu le connais ? Mourir heureux. Pour certains sa réside en se sacrifiant sur le champ de bataille après avoir achevé les trois quart d’une armée. Pour d’autre, disparaître de la surface de la terre sans causer la souffrance de ses proche et d’autre veulent simple partir en paix après une vie longue et heureuse. Qu’elle quel soit, une mort n’est jamais agréable si la personne concerné n’a pas choisi son destin. C’est très étrange d’ailleur que je comprenne ça... Mais après avoir vu des sourires s’aligner sur les visages des mort au combat je me suis dit que le bonheur c’était aussi ça... Je n’ai personne qui tienne a moi excepté Dénomma, mon arme et Hollande... Alors je peux partir tranquille et comme c’est toi qui me tuera avec ton zona je serais un peu comme un combattant. Ma vie fut elle aussi plutôt longue. J’y pense... Il n’y a que les personne qui ne l’on jamais affronté qui disent se genre de choses pourtant je suis mort deux fois...

Je sortis de ma poche un papier jaune et un stylo a bille bleu. Ecrivant quelques pattes de mouche je le tendis d’une main tremblante à la jolie Oui.

-Tu donnera ça a ma Taisho, Eru Yon quand elle me retrouvera a la morgue tu veux bien ? Je n’ai pas envie que tu ais des problème parce que tu m’a fait trépasser tu comprend ?

Je repris ma respiration, mon coeur avait un rythme normal malgré la tension que je me créé. J’avais beau être calme face a la mort qui me tendait les bras c’était plutôt dure de se dire que dans cinq minutes l’on va connaître ce qui ce passe après la soul society.

-J’ai hâte de connaître la vie après la seconde mort. J’étais déjà bien heureux d’apprendre qu’il en existait une après notre vie sur Terre. Sur ce je te dit Adieu et Adieu a ce monde. Préviens Kojima de ma part que je ne pourrais plus l’inviter a boire un verre dans mes appartement. Eru Yon va être ravie de la nouvelle c’est un grand jour, le champagne va couler a flot et moi je vais être le plus heureux des hommes, mort.

Mon caméléon de compagnie allait devoir vivre seul maintenant. Comme avant finalement ça ne va pas beaucoup lui changer. Holland c’était tu trop bouleversé par sa mort, il n’intervenais pas. C’était parfait. Je déglutis puis prenant mon courage a deux mains je me tournais brutalement rencontrant les lèvres de la douce créature. Cet instant fut magique, vivement qu’elle me tut que j’en profite au paradis. “Lucy in the sky whith diamonds”... Cette chanson résonna dans ma tête comme un hymne à la joie de disparaître... A dieu...

Même l’auteur de ce texte ne su si ce geste provenait de l’un ou l’autre de ses personnage et en concluent donc que pour une fois ils étaient sur la même longueur d’onde...pour une fois.

-D...D...DES LARVES ?! Nous sommes donc des larves hein ?! Selon mes principe on ne porte la mains sur une femme que pour la cajoler ! Suis je bête ! Mon nom est Holland une autre LARVE qui vit dans se bon vieux caméléon ! Vois tu, quel que sois la personne on insulte pas aussi impunément ma division. Tu oublie d’ailleur qu’elle m’octroie deux trois truc et astuce.

D’un geste souple symbole de ma grâce passé je sorti une fine bandelette de tissu de l’atroce veste de se maudit Caméléon. Rapidement je réalisais plusieurs tours pour entourer mon poignet et empêcher le sang de s’écouler. Avec ma canine je coupa net le pansement et d’une main agile il réalisa un double noeud parfait.

-Ça, c’est fait. Heureusement que mon déjeuner était déjà bien digérer car tes coup son l’égal de ta beauté. Et je peux dire que des fleurs comme toi il n’en pousse qu’au sommet des plus hautes montagne. Tu es le soleil de mes jour et les rêves de mes nuit. Je... je devais pas t’exploser la tête contre un mur ?

Le sourire aux lèvres, les cheveux vert de l’autre projeté en arrière le poing en avant j’allait lui faire payer ce qu’elle avait pu dire. Une attaque frontale si prévisible et pourtant. Au dernier instant je fis pivoter mon pied pour la prendre de profil et lui enfoncer ma jambe dans son doux ventre. Un enchaînement digne d’un maître de danse classico-instrumental sans oublier le mouvement fluide qui succédait la sublime course. Tout cela dans la plus grande perfection. Dix huit pas exactement pour atteindre la ravissante nymphe... Quel hideuse chimère qu’elle est ! Espérons que l’enfers s’inventera spécialement pour elle et qu’elle ne vienne pas pourrir le paradis éternelle ! Quel immondices elle ne mérite même pas de périr sous ma lame. Aujourd’hui, la pauvre bichette d’Enma Ai était fatigué de se trimballer avec Rui était restée dans son fourreau quelques mètres plus bas dans les lugubres appartement de sieur...sieur... de la longue langue ! C’est classe ça comme surnom ! Enfin bref. En guise d’arme je ne possédais qu’un katana des plus rudimentaire au cas ou que se genres de situations se produisent. Dégainant le truc factice qui me servait de zanpa de rechange je le pointais vers la jeune insolente.

Quand est tu morte petite fille ? Vu tes manière de rustre je peux parier tout mon argent, et sache que j’en ai, que tu as trépassé vers... mille cinq cent avant Jésus Christ ! Alors plutôt que de t’acharner sur plus fort, plus beau et plus intelligent que toi tu ferais de te présenter devant mon incommensurable personne. Moi, Holland, Davis, Simons de la noble famille des Middleford te demande des excuses ! D’un ton des plus enfantin j’ajoutais. Ou tu devra tré-trépassé par ma zolie lame ou bien mon zolie pied ! n_n Redevenant sérieux je lui certifiais. Mais tu n’aura pas l’occasion de me toucher, tu peux en être sure !

Prenant le manche dans ma main gauche elle s’était lamentablement trompé en pensant que j’étais un de ses batard de droitier. Retournant l’épée je la pris fermement par le métal froid. Et tel un prestidigitateur de foire je me préparais a lancer l’arme comme un couteau.

Bon, pourrais tu avoir l’ extrême obligeance de t’attacher sur une roue, de tourner et moi avec une douceur digne de mon rang je te transpercerais de part en part. Je comprend que tu refuse.. c’est tout naturel. Enfin un truc a empaillé pour mettre au dessus de ton lit maudit Caméléon !

Alors comme ça elle n’aimait pas les réflexion sur son sexe ou sa division... Tout cela était trop parfait !

Alors poulette tu magne tes jolie fesse et tu viens me frapper ! Il faut dire que vu comment vous pioncer a la onzième je ne sais pas si tu serais capable de me les casser. Au sens propre comme au figuré. Alors ma mignonne on a peur ? TAPETTE !

-La tapette ? Ne me fait pas rire, c’est bien évidemment toi ! Tu te rend compte que je n’ai pas besoin de t’offrir la vue de mon shikai pour te battre. J’avouerais que je ne suis pas dans une position très confortable, mais tout de même. Je vais te faire une fleur ! Un double cadeau ! Mon vrai visage et la première phase de mon arme. Malheureusement se sera les dernière choses que tu verra avant de finir comme étendard pour la quatrième. Et j’ empaillerais ta tête avec un petit écriteau. Gravé en lettre d’or : Kozuki Tsukane la bimbo guerrière. A moins que le bronze soit plus approprié... Quoi que... avec de l’ étain ça collera avec tes soyeux cheveux rouge.

Bloquant ma position, un bras en avant et coupant ma respiration une seconde, mon corps se recouvrit d’écaille. Sans avoir le temps de dire ouf, les plaques se retournèrent violemment et une nouvelle apparence vit le jour. Cheveux indescriptible, tenue avant gardiste, physique simple mais agréable. Voila comment décrire ma beauté en quelques mots. Resserrant mon foulard jaune, tout était parfait. Mes doigt engourdis s’étirèrent. Perfection.

-Raaah ! Si bon ! Cette sensation de liberté ! Enma ! C’est moi qui décide et je ne te fait pas de cadeau ! Alors tu va bouger tes fesses et m’aider feignasse ! Enfin.. quand je t’aurais récupéré. Relevant délicatement les lames. Tu m’ excusera je revient dans quelques secondes.

D’un bond j’arrivais a l’autre bout du toit. Une. Une petite acrobatie la tête en bas. Deux. Poussant les portes coulissantes. Trois. Poussette des pieds pour s’écrouler sur le parquet. Quatre. D’un regard je visualisa le katana sur un trépied. Cinq. Je la saisi violemment pour m’élancer dehors. Six. Je m’accroche a la gouttière d’une main. Sept. J’attache mon katana avec une pression dans ma ceinture. Huit. Retour sur le toit.Neuf. D’un nouveau saut je me replace a l’endroit exact ou j’étais il y a deux secondes. Dix. Replaçant l’arme adverse a ça place. Onze.

-Cela fait onze sec.. pardon douze.. enfin non tre... Rooh laisse tomber, j’ai fais vite un point c’est tout. Bon, chauffe Enma !

KARASU URAMU JIGOKU SHOUJO ENMA AII !

Je deigainais violemment l’épée a la lame inversé pour l’enfoncer dans la bouche. Slurp... quel délicieux goût. Me léchant les babines de ma toute nouvelle langue tranchante. La sortant de ma bouche je tranchais la joue de cette shinigami. Un peu de sang coula et je le recueillis pour savourer l’odeur de mon adversaire.

-Maintenant, tu est a moi et a moi seul !

Des cernes d’un noir profond apparurent a mes yeux et s’ étalèrent sur un centimètre autour de mes yeux. Le processus était déjà en cour. Bientôt je pourrais la maudire a jamais jusqu’à sa mort. Meurt jeune insolente, meurt ! Et par la même occasion, sois maudite. Ses satanés griffe me les pincés sévère. C’est vraiment pas possible comme elle ne peut se rendre compte de la douleur qu’elle m’inflige. Je ravalais ma salive pour que le métal de ma langue sois le plus tranchant possible. Je lui attachais le bras avec mon allonge pour me sortir de son étreinte mortelle.

-Voila, maintenant tu me laisse faire un truc avant que je me retrouve a poil devant ta sublime virginité.


Hado n°13 : Kaigo - Soins...

J’ appliquait ma paume sur mon entre jambe de la manière la plus impoli qu’il sois. Les picotement de la chair a vif disparurent et une vive fraîcheur se fit a quelques centimètre de mon appareil génital. La quatrième n’a pas que des désavantage. Maintenant qu’elle ramène son fion la bâtarde. Ma langue se positionna autour de moi comme un “bouclier” bien qu’on puisse le traverser aussi facilement que d’empiler des Lego.

-Aller p’tite donzelle je t’attend !

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