Artist's Return

••• Artist's Return

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Le sommeil, une chose concrète et bien abstraite à la fois. Une durée souvent indéterminée pendant laquelle, on découvre ce qu'est la fin, pendant laquelle on explore le sommeil éternel, la muerte. Le réveil, mettant fin à cet état de stase et d'idylle est lui aussi une idée difficilement sondable. Eh bien oui, comment savoir combien de temps allons nous dormir ou encore quand notre corps daignera s'éveiller ? A moins de disposer d'une technologie avancée et pas des plus parfaites, il faudrait être Dieu pour prédire de telles choses. Le réveil est pour la plupart des gens un moment inopportun, une moment d'insouciance et de faiblesse. A moins d'être en permanence dans un état de fatigue plombant, c'est un court laps de temps durant lequel on est plus vulnérable, soit parce que l'on ai plus abordable, soit parce qu'au contraire on est plus répressif; ce qu'il y a savoir c'est que le réveil d'une personne est le moment que tout le monde utilise pour lui annoncer les pires nouvelles, bien que l'on use de plus en plus du moment précédent le coucher, de nos jours..
Après son combat ou plutôt la volée qu'il avait pris de la part de l'arrancar à la veste en cuir, Kaito avait été ramené à la Soul Society et soigné sans trop de difficultés, on a pas douté une seule seconde qu'il survivrait bien que le remettre sur pieds ne fut pas une partie de plaisir. En effet malgré les blessures, Kaito ne mit que quelques jours à se réveiller, puis encore une bonne semaine avant de pouvoir gambader dans les prairies comme il aimait tant. Peu de temps après, il dut enchainer avec cette mission d'investigation qui à force de rencontres inopportunes se transforma en une véritable bataille, "Seireitei versus Hueco Mundo" et bien que Kaito allait mieux, il avait tout de même gardé des séquelles de son précédent combat et ne s'était pas entièrement remis de ses blessures internes. Pour une simple mission ça n'aurait pas posé de problème mais dans le cas cité, la donne fut totalement changée. Cet affrontement fut malgré tout beaucoup mois expéditif que son antécédent car les deux adversaires semblaient être de niveaux à peu près égaux et le fait de forcer tel le plus hargneux des vautours et ainsi aller jusqu'à puiser le dernier grain de son reïatsu, le shinigami plongea dans un profond coma, dû aux suites de ses multiples combat. Un coma dont il n'était pas près de sortir. Il n'était pas particulièrement endommagé, mais exténué à en faire transpirer un ours polaire. Toutes ces mésaventures semblaient déjà si éloignées, un changement de température, de position; quelques va et vient, une changement de perfusion parfois. Cela faisait maintenant 2 mois que Kaito se trouvait dans le même lit de la même chambre et dans la même position, c'était à se demander si les crampes ne pouvaient pas le réveiller. On l'aurait cru prêt à être enterré, une seconde fois, ce qui est d'une rareté rarissime si je puis me permettre. Et pourtant nous assistons maintenant au jour qui viendra briser cette monotonie trop longtemps perpétuée.

Il fait froid, j'ai froid, je suis littéralement pétrifié. Mon corps est pris d'un froid infini capable de geler le feu lui même. J'ignore ce qu'il m'est arrivé, j'ignore ou je me trouve, j'ignore même jusqu'à mon prénom. J'essaie de bouger mais rien n'y fait, mes membres ne réagissent pas, ils s'entêtent à rester fermement alignés le long du sol dans une position statuaire. Je suis recouvert d'un drap doux et soyeux, il doit être fait dans de la soie. Je suis allongé sur un semblant de matelas qui est lui même installé par terre. C'est assez peu confortable mais bon.. vu l'état dans lequel je suis, c'est peut être pas le plus important. D'ailleurs comment est ce que... ? *FLASH* Un air niez, un sac rempli de bonbon, une petite fille particulièrement stupide.. Un shinigami au regard inexpressif, très peu bavard et pourtant inquiet et courageux.. des Gillians, j'en élimine un puis.. " Viens suis moi, on doit rejoindre la périphérie, un capitaine a besoin de nous. Tu me rappelleras plus tard pour peindre Tsukihime. " *FLASH* Deux Arrancars, terrifiant, leurs reïatsus pourraient plaquer n'importe qui de plus faible que moi au sol.. je suis mort de trouille, pourtant je n'le montre pas, je m'arrache même un sourire qui semble plus vrai que la situation dans laquelle je me trouve. *FLASH* Un homme coiffé d'un chapeau de paille nous surprend, Dogma et moi, c'est le Roku Ban Tai Taisho, Hikobushi Ace. *FLASH* L'arrancar vêtu d'une veste de cuir brulée, c'est un Espada, son regard me transperce à nouveau, non, c'est son zanpakutô! Je suis d'ailleurs salement amoché! *FLASH* *FLASH* *FLASH* [Fin Flash] Ça me revient! Je suis Nakamura Kaito, Ju Ban Tai Yon Seki et ça doit faire un bon moment que je suis ici car mon corps, non, ma peau, crépite sous toutes les émotions que je ressens à la fois, j'ai des fourmis dans les chevilles et je... !

« Lève toi espèce de fainéant ! Il y a plus d'un moi que je suis là à bruler de l'intérieur, tout ça parce que môsieur est soit-disant mal en point. Crois tu que je vais rester longtemps ainsi ? Allons, ouvre les yeux et empoigne ta lame ! »

Cette voix roque, ce ton ardent, méprisant et motivant à la fois, je vois.. Alors ainsi ça ferait plus d'un mois que je serait dans cet état hein ? Est il véritablement possible que quelqu'un puisse sommeiller aussi longtemps et à son réveil avoir l'impression de s'être juste assoupi ? En tout cas il est effectivement temps que le Shini'Artist fasse son grand retour. J'ai le contrôle, j'arrive finalement à me faire obéir de mon corps. J'ouvre les yeux posant ainsi mon regard sur ce qui m'entoure mais avant de m'attarder à cela je me sens pris d'une pulsion, ce genre de pulsion incontrôlable et qu'on a de toute façon pas envie ni la force de contrôler. Dans toute cette fougue, une phrase, une seule, mais la plus décisive de toutes celles que j'aurai pu prononcer à ce moment.

« Que toutes choses deviennent cendres, Kaji no Akuma ! »

Un bref instant suffit à Kaito pour empoigner son fourreau et dégainer son zanpakutô en libérant des flammes trop longtemps scellées. Une quantité de reïatsu phénoménale fut relâchée, faisant trembler les sols dans un large périmètre et à cet instant surement tout le Seïreïtei venait d'apprendre le réveil d'un de leur semblable. J'étais moi même surpris de l'énergie qui se dégageait de ma propre enveloppe spirituelle et dans cet enthousiasme j'en oubliais presque les flammes que j'avais relaché pourtant ces dernières s'estompèrent aussi vite qu'elles avaient été crées. Impossible, Akuma agirait il tout seul, sans avoir besoin de moi ? Je n'en suis pas sur mais alors, comment ces flammes ont elles pu s'éteindre ainsi ? Je suis bouche bée. Histoire de ne pas paraitre totalement remis, je m'assied donc en tailleur, contemplant mon dernier chef d'œuvre. J'entendais déjà le bruit des pas vifs de plusieurs personnes rejoignant ma position, alors qu'au même moment je tombait sur ce qui me stupéfia le plus.

« Hé mais.. Ce n'est pas mon zanpakutô ! »

Un kaito fit irruption dans la pièce. Non, bien sur ce n’était pas Kaito c’était le caméléon immonde ! Mais bon, une petite frayeur pour se remettre d’aplomb c’est pas si mal... C’est ainsi que je pénétrais dans la salle de repos de notre nouveau patient. Il avait brusquement changer de forme lors de l’opération de ses blessures. Pas que je l’ai soigné mais bon, je passais dans le coin lorsque les mecs se sont mis a crier et a accourir dans tout les sens. Ce genre de truc ça se remarque. Enfin bref. D’un sourire qui n’était pas mon genre, d’une voix qui n’étais pas la mienne et d’un geste a faire frémir les caméléon je m’annonça.

_Hello les amis !! Je suis Kaito ! Le quatrième siège de la dixième division ! Je ferais bien de rester dans mon lit avant qu’un membre de cette satané division de soigneur débarque et me pète la gueule a coup de matraque et de barre à mine.

Reprenant un ton un peu moins enjoué je plissais les yeux en m’approchant de lui, le vrai kaito.

_Sérieusement ! Tu as vu ton état ! Tes ch’veux bleu c’te tenue difforme et ses yeux froid ! Berk’ ! M’enfin t’as vu ta tête on dirait que ta vu un homme lézard... Remarque t’en as vu un ! Tu dois te dire ou ? En face de toi ! Je me présente...

Bloquant ma position les mains sur les hanches des écailles, comme d’habitude, me recouvrèrent, se retournèrent et laissèrent apparaître en une dizaine de seconde le corps svelte et séduisant de Mister Caméléon, Rui Habashira ! Écartant les bras comme pour dévoiler une immense surprise je tonnais.

_Me voici ! Me voila ! Celui que tout le mon... Arh Peutin !?

Mon pied ricocha contre une planche de bois mal fixé et je m’écrasais une nouvelle fois sur le sol comme une crêpe suzette un peu trop crue. Mon dos me faisait encore souffrir au mon Dieu que c’est atroce cette foutue douleur ! Je me redressais sur mes coudes pour observer le shinigami assis la.

_Bon bon bon... Tu sais que tu devrais pas être la comme ça en tailleur. Les médecins a ma place diraient logiquement : *prenant une voix suraigüe* Le patient doit rester au lit pendant une bonne grosse journée ! Sinon panpan cul cul ! *je repris ma voix originel* Sauf que je suis pas médecin ! Seulement le lieutenant de cette charmante division que bon nombre de personne dénigre en permanence parce qu’on devrait en plus passer le balais un peu plus souvent... Je ne me présenterais pas pour des raisons personnel mais sache que tu n’as pas intérêt a me sous estimer ! Et encore moins me sur estimer...

Je poussais sur mes main et d’un geste je me retrouvais debout devant lui. Je lui empoignais les épaules pour le coller sur son lit remontant les couettes lui foutant un thermomètre dans la bouche. Des pas résonnèrent dans le ouloir extérieur en s’approchant de plus en plus. Mes mains tremblaient très légèrement signe de mon angoisse. Si Eru m’avait entendu je pouvais signer mon arrêter de mort sans attendre. Heureusement se fut simplement deux charmante infirmières sans grade qui me gratifièrent d’un large sourire qui signifiait simplement : “bonjour messire lieutenant mais on a pas que ça à faire” Mouarf...

_Vache ! J’ai faillit me faire caler par la taisho. Si elle savait que je fais jamais mon boulot ici elle m’ouvrirais la gorge façon Pez’ comme dirait une certaine personne.

Je faisait bien sur allusion a Kozuki. Mais mieux vaut ne pas penser a elle. Je poussais les couvertures et édredons pour laisser respirer le pauvre homme. Je me saisi de la plaquette remplie de mercure. 38° tout de même.

_Finalement tu ferais bien de rester couché m’enfin.... Tu es quelqu’un de bien mais vraiment... Tu n’as pas de chance ! Tu as contracté une sorte de dédoublement bizarre. Pour expliquer simplement je vais imager. C’est comme si au départ tu prépare la patte a pain donc le shinigami de base et pis tu sais a quoi t’attendre quand tu le cuit c’est a dire un moment fort de la vie sauf que toi bah ta sois un peu trop cuit soit y’a eu une bulle de pâte se qui signifie que tu t’es retrouvé pas comme on le veut.... Euh non laisse tomber... Bon merde hein ! Les blessures que t’as eu et le choc a créé une sorte de petit problème spirituel et le seireitei t’as un peu mâché puis recraché différent. Comme un monsieur patate avec un kit deluxe idiana jones. Tu vois ?

Je soupire baissant les yeux sur ma débilité plus que profonde et mes image encore moins limpide que des termes techniques et des formule mathématique. Décrypter ce que je dis c’est comme comprendre les parole de Lucy in the Sky with Diamond y’a tellement de sens avec le ciel de marmelade et la tarte au marshmalow.. (et les fleurs de cellophane ! )

_Je te plaint... Je crois, sans mentir, que tu ne pourra plus redevenir comme avant... Et aussi ton arme désolé de le dire mais elle est relié a toi et la Soul Soceity la aussi un peu digéré... Vraiment navré. Mais bref ! Moi regarde ! Je change quand je veux de physique ! Tu me trouve traumatisé !? Bon d’accord j’ai été bercé trop près du mur mais sa on s’en fou !

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Et moi qui pensait que je pourrais feindre d'être resté tranquille, apparemment ça n'allait pas être possible. J'étais encore choqué par l'arme que je tenais dans les mains qui ne semblait pas être la mienne qu'un évènement encore plus perturbant se produisit. Moi, si si j'vous assure, je me retrouve nez à nez avec moi même. Au départ j'aurai pensé que ce n'était en fait que mon imagination mais ce double de moi même se mit à parler, l'angoisse. Les paroles de ce double semblaient cependant quelque peu perturbées, je n'aurai jamais parlé de cette façon, pas sur un ton pareil, j'en arrivait donc à la conclusion que ce type, là, en face de moi et avec mon apparence n'était pas moi, mais bel et bien une autre personne m'ayant chipé mon apparence.
Toujours dans mon apparence ce type s'approche de moi, avec un air que je qualifierai de blasé, on aurait dit moi après une réunion avec les hautes instances de la Soul Society, après 3 heures de total stase quoi. Ma tête des mauvais jours en fait. Et je m'efforce donc d'écouter ce qu'il a à me dire car après tout il avait beau ne pas être moi, il était forcément un shinigami de la 4^ième division car on laisserai pas n'importe qui se promener n'importe comment dans les chambres des patients. Oui j'avais reconnu l'endroit, du fait que l'on m'avait mis dans la même chambre que pour mes sois précédents. Un garçon très théâtral, adoptant la plus sérieuse des poses pour alors la ridiculiser en s'écroulant au sol, sidérant. Finalement cette chute semblait avoir remis les esprits de ce garçon en place puisqu'il prit subitement un ton bien plus approprié à la situation. Je crois qu'enfin j'avais affaire au vrai lui. D'ailleurs après s'être redressé il décida enfin de se présenter. J'avais en face de moi le Yon Ban Tai Fukutaisho, celui qui se fait appeler Caméléon. A l'instant même ou il eut fini cette phrase, un seul geste et il était limite collé à moi, rapide le type.

« Merci.. Bien que flous, tes explications m'aideront un peu, j'irai voir le Jû Nii Ban Tai Taisho. Mais dis moi, ce changement de physique et de personnalité, ça ne t'empêche d'être "toi même" ? »

« Et d'ailleurs, je me sens bien, t'es sur que je peux pas sortir maintenant ? »

Il remettait ma parole en doute. Sale insolent ! Je rigolais intérieur en pensant a ses paroles qui auraient pu sortir de la bouche d’Eru. Cela faisait des jours et des jours qu’elle n’était plus réaparu au Seireitei.

_Oui je suis sur ! Même si mon esprit me dit que je devrais te laisser te faire buter plus loin mon dos souffrant lui me crie *prenant une voix aigue* Nooon ! non pas sa petit caméléon ! non j’ai trop mal j’veux pas avoir maleuh ! *reprenant sa voix normal* Donc tu comprend que j’aimerais mais que je ne te laisserais pas partir. En plus, imagine que tu change de forme dehors et que tu te retrouve à poil ! Ça ne mes jamais arriver mais qui sais... Mais répond a ma question : dans ta tête, tu parle a ton ancien “toi” ou tout va bien tu es seul ? Car dans le premier cas cela peut être un dédoublement de personnalité et crois moi ce n’est pas drôle du tout. Je n’en suis pas victime de mon côté mais je vis un peu la même chose. C’est trop dure a expliquer tu comprendra. C’en ai presque fascinant cette soudaine transformation. J’aime !

Je l’observais sous toutes ses couture déposant ma main sur son épaule quelques secondes. Un frisson le parcouru comme à chaque fois que la copie se faisait. Je ne bougeais pas bloquant ma respiration le temps que son image devienne mienne. C’était étrange d’être dans un corps aussi maigre et svelte que le siens.

_Effectivement ça change de l’ancien... C’est drôle ses cheveux long et bleu !

Je m’amusais comme un fou a observer chaque détails de ma nouvelle tenue. Tout était parfait, les yeux, le nez, les pieds, les mains. La voix !

_Je t’imite bien ? Tu comprend, je m’ennuie alors il faut bien que je me trouve une occupation... Tu vois je peut prendre n’importe qu’elle apparence ! Si tu veux je peux prendre la couleur du parquet en un rien de temps !

Joignant le geste a la parole les écailles me traversèrent des racines de mes cheveux a la pointe de mes pieds et un kaito couleur bois fis son apparition. J’appuyais ma mains sur mon torse imitant avec ma bouche le sol qui grince. Cela était vraiment très drôle, lui devait fulminer intérieurement.

_Tu vois, c’est magique ! En tout cas, je n’ai pas volé mon titre d’homme caméléon ! Même si.. arh outcha !

Mon dos était brûlant, il me piquait il me torturais ! Pire qu’une chanson de métal hard rock ! La blessure de Tsu’ avait laissé des traces et mon dos déjà bien tordu et amocher me lançait de temps a autre mais cela devenais de plus en plus fréquent. Sous l’effet de la douleur ma technique de vol d’apparence rendit l’âme et s’évanouit pour laisser un pauvre homme lézard souffrant le martyre. Avachit par terre les bras se tordant pour essayer de toucher mon dos je n’arrivais plus a distinguer le plafond du lit ou se trouvais le patient. Puis tout s’ éteint, mes paupières se fermèrent pour laisser quelqu’un d’autre parler, holland. Il venait encore me voler mon corps et mon esprit pour se montrer. Sa force était tel que je n’arrivais même pas a différencier mon nom du sien.

_Je... Je ! Arh..... !

C’est fini il ne viendra plus m’importuner cette fois ! Pas cette fois ! La douleur et la souffrance se calmèrent. L’esprit de mon défunt ami s’évanouit, mais pour combien de temps ? Je me servit du mur juste a côté de moi pour me relever mais plus rien, mes jambes étaient vide d’énergie plus une goutte de force ne si trouvait et donc une nouvelle fois je tombais, sur le sol luisant et ciré, le visage convulsé par la douleur, recroquevillé sur mon même les yeux clos pour ne pas laisser Holland les rouvrirent...

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