[Shinigami] - Eldric Kioshi [Finie]

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Prénom :

Romain

Age :

20 ans

Expérience RP :

Nouveau dans les RP de manga. Admin d'un forum RP Ogame.

Un avis sur Bleach Shinigami Age :

J'apprécie le fait que les personnages ne font pas partit du forum ainsi que le skin.

Comment vous avez connu ce Forum :

Kagebashiri Ame :p

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Nom :

Eldric

Prénom :

Kioshi (né Charles)

Age :

136 ans (dont 25 dans le monde des vivants)

Sexe :

Masculin

Race :

Shinigami

Rang / Grade désiré :

12ème divisions. Capitaine si c'est possible. C'est difficile de rester objectif sur son propre travail.

Description Physique :

Kioshi est un homme plutôt commun dans son physique comme dans son attitude. Ses 25 ans, à sa mort, sont restés comme figés. Du haut de son mètre soixante-dix-sept, il pose un regard d’un bleu sombre sur ce nouveau monde. Un regard rempli d’optimisme et de fatalisme tel un couple paradoxale dans lequel l’optimisme espère exister mais que le fatalisme réduit au silence. Les cinq ans d’entrainement avec son ami et maitre avant sa mort on laissé bien plus de traces sur ses muscles que les vingt autre dans sa quête de connaissance, le rendant légèrement musclé . Ses cheveux sont brun foncé, un brun typique de gens du sud de l’Europe tirant sur le noir, mi-long il cache parfois ses yeux d’un bleu sombre. Ses yeux que peu de personne peuvent se targuer de bien les avoir vu car, comme si le poids de ses pensées alourdissait ses paupière, ses yeux sont rarement grand ouverts.

Comment parler de son physique sans parler de ses attitudes, sa tenue. Son attitude peu en surprendre plus d’un, même si intérieurement son esprit bout de questions et de réflexions, extérieurement il semble peu sensible au monde extérieur, ses mouvement sont calmes et réfléchis, ceux d’un scientifique qui ne peut se permettre d’erreur. Cependant, Kioshi est un homme plutôt souriant en dehors des missions et des activités officielles. Il porte le traditionnel Shihakusho en plus d’une petite cape descendant jusqu’en bas de ses reins, en couvrant ses épaules. Kioshi porte le Daishō, son katana est constitué d’une lame de 72 cm et d’une tsuka (poignée) noire parée d’une sculpture dorée. Son Wakizashi est lui constitué d’une lame de 53 cm. Les Tsuba (garde) sont de simple cercles dorés percées de deux petits cercles. Les deux saya (fourreau) sont quand à elles du même bleu profond que les yeux de leurs porteur.

[Shinigami] - Eldric Kioshi [Finie] XIID

Description Psychologique :

La connaissance et la compréhension, voilà les principaux moteurs de Kioshi Eldric. Son esprit est ordonné et ses mots choisis. Mais derrière cette apparente maitrise se cache un véritable conflit. Son âme est très sensible à ses choix et la destruction d’une âme, peu importe qui c'était, est à chaque fois une douleur qui fait vibrer son corps et ébranle son esprit. Les Hollows ne sont plus que des âmes en peine qu’il faut aider en les libérant de leur faim et leurs douleurs, voilà la théorie. Mais le faire accepter à son inconscient représentait un défi qu’il mit plusieurs années à parfaire. Lorsque ce fut un shinigami qu’on lui demanda de tuer, tout son monde changea et pour survivre son âme se scinda ; matérialisant pour la première fois son Zanpakutō (voir histoire).

La parole est donc pour lui une bien meilleure solution que le combat, qu’il souhaite éviter le plus possible. C’est un caractère qui fait que ses ennemis qui connaissent ce trait le sous-estime souvent, mais il peut se révéler quand il n’y a plus d’autre solution un adversaire redoutable. Il agis le plus souvent en tant que stratège dans les combats à grande échelle. Kioshi est un ami fidèle et vrai mais il a tendance à trop leur faire confiance. Ce lien avec ses amis est à la fois sa force et sa faiblesse. Dans son fort intérieur c’est un homme très pessimiste mais paradoxalement il est de ceux qui sont capables de remonter le morale et faire se dépasser les autres. Kioshi croit en l’évolution par la sciences et considère les scientifiques prêt à sacrifier des vie ou même se servir de cobaye non consentant comme des barbares.

[Shinigami] - Eldric Kioshi [Finie] Daish%C3%B42

Histoire :

Chapitre I : Le dernier voyage vers Karakura.

France, 1874 – Né dans le sud de la France, Charles Eldric débuta sa vie de façon plutôt classique. Une vie somme toute simple et épanouie. Dès son plus jeune âge, il a toujours été irrémédiablement attiré vers le savoir et la compréhension de tout ce qui existe. Cette curiosité l’a logiquement conduit à des études scientifiques qu’il réussit brillamment. A cet époque il était rare de voyager, à la fin de ses études à l’âge de 19 ans, il eut l’opportunité de voyager avec son père le long de l’ancienne route de la soie vers un monde lointain et inconnu pour lui. Durant son voyage, il put découvrir et étudier de nouveaux mystères.

En Chine, alors que Charles et son père se préparaient au départ pour retrouver le reste de la famille une tempête fit dériver le bateau qu’il avait loué pour faire des recherches en mer. Perdu au milieu de la mer il s’échoua sur l’île japonaise d’Hanshu près de la ville actuelle de Karakura. Là-bas, il rencontra un professeur avec qui il s’entendit bien rapidement . Tanaka Hiromishi est un homme de savoir et de coutumes entre scientifique, philosophe et guerrier. Une amitié naquit rapidement entre les deux hommes et Hiromishi décida d’héberger et de faire travailler Charles. D’un commun accord, ils décidèrent, pour une meilleure intégration, de changer le prénom de Charles. Ainsi, au pays du Soleil Levant Charles fut connu sous le nom de Eldric Kioshi. En plus d’un compagnon de recherche, Tanaka fut un maitre pour le jeune occidental, il lui enseignât les voix du sabre et de l’esprit oriental, comme un ensemble de choses qui devait former un tout.

Alors que des tensions apparaissent partout dans le monde et que l’armée du Japon avait les yeux tournés vers la Russie pour l’attaquer, la petit ville de Karakura qui semblait loin de tout cette agitation connut une triste époque. Des disparitions inexpliquées et répétées jeta un voile de peur sur la ville. Un soir, alors que Kioshi revenait d’un de ses laboratoires, il tomba nez à nez avec un petit groupe de ce qui semblait être un groupe paramilitaire. Le chef du groupe était armé d’un pistolet revolver et d’un katana, tous les deux encore dans leurs fourreaux. Un autre homme lui tendit un sabre et il le lança à Kioshi. A l’instant où il l’attrapa, le chef du groupe dégaina son sabre et fit de rapides pas vers lui. Il n’avait plus le choix, il devait défendre sa peau, et sabre au clair, il s’avança vers son adversaire. Le combat fut long et épuisant, Kioshi dut utiliser tout ce que lui avait enseigné son ami mais son adversaire était d’une force supérieure et lorsque la caresse froide du katana se fit sentir dans sa poitrine, il comprit que son heure était venue. Il s’effondra sur le sol et son regard se brouilla avant que la nuit l’enveloppe et l’entraine. Un nuage blanc apparut et la vue lui revint. Que s’était-il passé ? Est-ce que son cerveau à l’aube de la mort lui jouait des tours ? Il se voyait gisant à un mètre de lui. A un mètre de lui … comment cela était-il possible ? Il était toujours vivant séparer de son corps avec comme seule différence une chaine qui semblait partir de sa poitrine. Personne ne semblait le voir, les hommes qui avaient participé à sa mort regardaient son autre corps gisant, certains rigolaient et d’autre restaient impressionnés que quelqu’un ait put blessé et résisté aussi longtemps à leur chef. Seul le chef en question semblait le regarder, le regardait lui et non pas son cadavre comme les autres. Un léger souffle se fit sentir et Kioshi aperçut une femme qui venait d’apparaitre à sa droite. Elle était vêtue d’un Shihakusho noir et d’un katana. « Ton calvaire est fini » furent les seuls mots qu’il entendit avant d’être à nouveau aspiré dans le l'obscurité.

Chapitre II : Renaissance et Recherches.

Lorsque Eldric Kioshi ouvrît à nouveau les yeux, tout avait disparu. Fade, c’est le mot qui décrivait le mieux l’endroit où il était arrivé. Le sol était de terre, les maisons d’un mélange hétéroclite de ce qui semblait être des matériaux de récupération. Les gens ne faisaient que passer, absorbés par leurs occupations sans se préoccuper de lui. Des milliers de questions tournaient dans sa tête ; où était-il ? Qui était cette femme ? Quelles raisons scientifiques pourraient expliquer qu’il ne soit pas mort ?

Sa vie au Rukongai se résuma à la recherche de la survie plus qu'à celle de la vérité. Il trouva une habitation où dormir et s’intégra lentement. Essayant de réunir tout ce qu’il pouvait trouver, il put enfin expérimenter sur ce monde qui semblait si normal et à la fois si différent. Ce qu’il découvrit de ses expériences, l’ébranla du tout au tout ; en effet tout semblait basé sur une même matière, une même source d’énergie. Mais le manque de moyens l’empêcha d’aller plus loin dans ses recherches. Une rencontre allait changer sa vie dans ce nouveau monde. Environ onze mois après son arrivée dans le Rukongai, un homme vint le trouver chez lui. Il était différent de ceux que Kioshi côtoyait quotidiennement. Il se tenait droit dans une toilette impeccable. Son shihakusho noir ne semblait pas être touché par la poussière ambiante. Kioshi ne pouvait s’arrêter de penser à la femme qui l’avait envoyé ici en voyant cet inconnu. Sa discussion avec l’homme avait répondu à beaucoup de ses questions, tout en ayant laissé autant de nouvelles interrogations. Il apprit notamment que l’homme qui l’avait tué était un humain capable de voir les esprits, à la tête d’une bande qui perpétrait enlèvements et meurtres dans le seul but d’assouvir une soif inexpliquée de violence. La Shinigami qui l’avait aidé, l’avait bien sauvé d’un sombre destin car d’après l’homme en noir, le chef de ce groupe avait réussit à enfermer un Hollow dans sa lame. De ce fait, se faire transpercer par son sabre aurait valut à Kioshi une existence de faim perpétuelle en forme de monstre. Cependant, la Shinigami avait été tuée juste après qu’elle l’eut sauvé. Cet inconnu ne lui avait pas raconté tout ça pour rien, il était ,selon ses dires, venu le chercher pour qu’il soit testé au Seireitei car ses connaissances et sa longue survie au combat contre ce tueur de Shinigami était prometteur.

Il réussit le test d’entrée avec brio, guidé par son désir de connaissance que lui offraient les Shinigami, ainsi que le pouvoir. La prochaine fois, il pourra être le protecteur et non celui qui est protégé. Il intégra l’académie. Il fut un élève curieux de ce que le Seireitei pouvait lui apporter, il se révèlait assez doué dans le maniement des Kidō qui demande un grande rigueur intellectuelle ainsi que dans les cours de tactiques de préparations et de combats. Son entrainement avec Hiromishi, son ami à Kurakura, lui permit de s’en sortir plutôt bien dans les cours de combats aux sabres sans être non plus excellent. Le combat à mains nues restait son principal handicap. Désarmé, il devenait un piètre adversaire en face de spécialistes de cette discipline. L’académie lui offrit l'accès à du matériel et des écrits qui pouvaient assouvir à nouveau son désir de compréhension. Il put émettre l’hypothèse que le monde humain était couvert de particules invisibles de par leurs rayonnements très particulier, et que le cerveau avait la capacité plus ou moins grande de condenser ces particules en ce que les Shinigami appelaient l’âme. Sensible aux sécrétions hormonales du cerveau, les particules spirituelles gardent en « mémoire » l’état du cerveau et donc des émotions. Ainsi, l’âme de chacun est unique et correspond au caractère conscient ou inconscient de son hôte. Lorsque le corps meurt, l’âme se sert de cette « mémoire » pour reconstituer l’image de son ancien hôte. Son rayonnement particulier fait que la grande majorité des êtres vivants dans le monde réel ne les voient pas. Malgré le fait que cette hypothèse manque de preuves pour être validée ou infirmée, elle intéressa la douzième division du gotei 13. Kioshi n’eut pas ce que l’on pouvait appeler une scolarité facile, même si les seules personnes qui l’importaient vraiment étaient ses amis. Il ne pouvait rester complètement indifférent aux railleries et moquerie des autres. Presque tout le monde en vint à savoir la réticence et la souffrance de Kioshi envers la douleur des autres et surtout la destruction des âmes. Très empathique, il supportait mal la violence et cela n’allait pas s’améliorer alors que les premières missions d’entrainement de destruction d’Hollows commencèrent. Il tenta d’abandonner par peur de voir un de ses amis blessé à cause de son problème. Mais son sensei refusa tous ses arguments, arguant qu’ils trouverait un moyen de traverser cette douleur et ainsi la transformer en force. Après avoir obtenu son diplôme avec de bons résultats, il joua de ses relations et, jouissant d’une notoriété qui n’était pas rester inaperçue dans le monde scientifique, il intégra la douzième division. Sa maitrise au dessus de la moyenne, dans la douzième division, des sabres et des Kidō lui permit d’être nommé dans un groupe de ceux qui avaient pour missions d’aller chercher ou étudier sur le terrain les éléments nécessaires à la division.

Chapitre III : La première larme.

…. Le bien, le mal ; les Shinigami, les Hollow ? ….

Une nouvelle partie, à priori la dernière, de la vie de Kioshi avait commencé avec sa nomination dans une division. Les trésors du Grand Laboratoire des Sciences furent le souffle qui donna tout son sens à sa nouvelle existence. Mission après mission, il s’approcha de la résolution de son combat intérieur contre la culpabilité de la mort des Hollow. La dernière part d’irrationalité de son esprit disparu, tout du moins, c’était ce qu’il pensait.

Inquiet de la présence de plus en plus fréquente des Arrancarr, ainsi que du silence de son Zanpakutô, Kioshi concentre, à cette époque, ses recherches sur une poudre métallique. Cette poudre s’utilise sur soi-même et à pour but, non seulement de cacher physiquement le lanceur dans le nuage, mais aussi et surtout de brouiller son Reiatsu. Les milliers de particules métalliques faussent l’analyse du Reiatsu par le ou les adversaires, ce qui permet de s’enfuir en shunpo sans que l’on ne puisse déterminer sa direction grâce à la pointe de Reiatsu avant le saut. Cette invention a surtout pour but d’éviter autant que possible aux Shinigami les moins puissants d’avoir une petite chance de s’échapper devant la recrudescence des Gillian, Adjuchas et parfois même Arrancarr.

A la fin d’une journée passée à scanner le quartier de la XIème division, à la recherche d’une trace de l’ancienne capitaine bannie de la Soul Society pour crimes répétés, Kagebashiri Ame, Kioshi fut convoqué avec toute son équipe habituelle. Inhabituel et dérangeant sont les mots qui définiraient le mieux l’objectif de cette mission. Des recherches arrêtées et jugées interdites par le commandement de la XIIème division, avaient conduit un groupe de cinq Shinigami chercheurs à déserter le Seireitei et se cacher dans les faubourgs du Rukongai. Usant de l’impressionnante collection de matériels que la XIIème division avait à offrir, l’équipe mit, après deux jours de recherche la main sur une piste prometteuse. Mais c’était sans compter l’intelligence des scientifiques renégats, et une longue traque se mit en branle. Il fallut presque deux semaines pour Kioshi et son équipe pour mettre la main sur leur cible, acculée dans une auberge du soixante-cinquième district Est.

Il fallait que cette histoire reste dans la XIIème Division, il n’était pas question que les Forces Spéciale s’emparent de l’affaire. Armée de cette conviction, Kioshi commanda l’assaut sur l’auberge. Plusieurs de ses amis furent blessés, n’ayant pas réussit à prévoir et éviter les pièges des renégats, mais une fois encerclés la mission était terminée. Scientifique pur, aucun d’entre eux n’avait de talents ni en Zanjutsu ni en Kidô pour faire face à une équipe de Recherche et Récupération de Données, qui sont les meilleurs combattants de la XIIème Division pour pouvoir agir en terrain ennemi. Seulement, tout ne se passa pas comme Kioshi l’avait prévu … Alors que ses compagnons mettaient les accusés au fer, celui qui semblait être leur chef se leva brusquement, saisit son Zanpakutô par terre et se lança sur Kioshi. Par réflexe, Kioshi fit dévier la lame de l’assaillant avec son katana et enfonça avec sa main droite son wakizashi dans son ventre. Il n’avait pas essayé de l’éviter, mais dans les yeux du renégat, il avait vu de la haine, une haine profonde que Kioshi ne comprenait pas. Le pauvre homme avait la bouche ouverte, mais aucun son ne semblait en sortir. Alors que les extrémités de son corps commençaient à se décomposer en milliers de particules spirituelles, Kioshi entendit un grand cri. Un cri qui fit trembler tout son corps, un cri qui ne semblait pas venir de l’extérieur mais de sa propre âme. Immobile malgré les exhortations de ses amis, Kioshi ne pouvait taire la douleur. Au milieu des cris, il crut percevoir un son comme une voix venue de son âme noyée dans les décibels de cette complainte. Il tenta de se concentrer, de faire abstraction du bruit. La voix qu’il entendit alors lui emplit le corps d’un sensation de chaleur, comment cette voix si triste avait réussit à apaiser sa douleur, il ne le savait pas. Le bruit avait diminué et il décerna un mot, « Namida » ( Larme ).

« … Namida … Mon nom est Hagane … Namida » furent les seules mot que Kioshi entendît.

« Hagane Namida » (Larmes d’Acier) , Hagane Namida, Kioshi retourna ce nom plusieurs fois dans sa tête avant que les sens de ces mots lui apparut. Il lui fallut quelques minutes pour s’apercevoir que le cri avait disparu et que ses compagnons autour de lui semblaient l’apostropher, s’inquiétant de son état de santé. Une note humide trahissait l’unique larme coulant de sa joue droite.
Il fallut presque une décennie à Kioshi pour apprendre à maitriser son empathie et son Shikai. Versatile est le mot qui décrit le mieux le pouvoir de son Zapankutô, tout comme son empathie, il peut se révéler d’une aide précieuse comme d’un handicap. C’est seulement après cette longue période que la larme qu’il verse de son œil droit n'était plus une larme de tristesse mais une larme de son âme. Beaucoup de ses adversaires ne l’ont pas comprit et on sous-estimait sa détermination dans l’achèvement de ses missions.

Désormais, il était prêt à affronter son destin.