Caméléon • Un shinigami sans visage [TERMINé]

Présentation personnelle:

Sceau:

Toujours emmitouflé dans les couvertures, je dors. Rien ni personne ne pourra troubler mon sommeil. Même pas cette empêcheuse de tourner en rond , j’ai nommé Eru Yon. Ma chambre est peut être un peu étroite pour mon rang mais mon lit double trônant au centre de la pièce et ma bibliothèque y tiennent facilement. Sans compter le vivarium dans un coin de la pièce . En parlant de ça il est encore une fois vide pas un seul lézard y vit . Shi a dut, avec sa force soulever le couvercle et doit être, en se moment même, en train de chercher une occupation dans le Seireitei. Car oui moi , dit l’homme caméléon je possède un... Caméléon ! Bien joué, que vous êtes perspicace ! Au moins quelqu’un qui suit mon histoire. Je suis ravie car il est déjà presque midi et personne n’est encore venu me tirer de mon lit. Chance ! J’en profite pour rattrapé toutes les grasses matinées perdues. Mais malheureusement j’avais oublié un très léger détail, le réveil. Les aiguilles se superposèrent. La petite molette se mit à frapper contre la cloche de métal doré ce qui créa un bruit strident qui me perça les oreilles. Je ne sais même plus pourquoi je possède un tel objet de torture... Je le pris a une main et de l’autre j’ouvris la porte coulissante de ma piaule puis d’un simple geste je le lançai vers le ciel de toutes mes forces. Le plus loin possible de mes tympans ! Le silence reprit possession de la pièce exiguë. Je remis ma tête sous les multiples couches de draps pour me concentrer sur ma journée à venir mais aucune idée ne me vins. Je mis de l’ ordre dans ma tête replaçant chaque moments de ma vie la ou ils devaient être et tout cela me rappela de beau souvenirs comme ma naissance heureuse...

Cursed childhood
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のろわれた幼年時代

C’était il y a une bonne paye mais je m’en souviens comme du repas de ce midi. La première chose que mes pupilles virent fut le doux visage de ma mère me serrant dans ses bras chaleureux et la face immonde de mon autre géniteur dégoûté de devoir supporter un môme comme moi. Rui Habashira fut ma première identité. Rui en l’ honneur de je ne sais quel saint qui aurait fait je ne sais quel miracle. Le Japon n’étant plus un pays accueillant pour mon imbécile de père, il décida de déménager en Australie. Mais passons les détails plutôt futiles. Les trois premières années de ma vie furent les plus inintéressantes. Enfance paisible enseignement des bases , marcher, parler, les bonnes manières rien de bien palpitant. La ou cela devint intéressant fut mon entrée à l’école primaire à sept ans. Je réalisais enfin le sens du mot amitié j’étais entouré d’un sacré nombre de compagnons. Je me sentais s’y bien. Des résultats bien au dessus de la moyenne et adoré de pas mal de personnes. Ont faisaient les quatre cent coups ma bande et moi jusqu’au collège. Je dus aller dans un établissement privé et perdre toutes mes connaissances seul un m’avait suivit. Il se nommait holland. Un mec très classe, sur de lui, avec une culture générale et un langage à toutes épreuves mais malheureusement extrêmement vantard malgré son gros défaut je l’aimais énormément et nous continuâmes alors les années ensemble tel des frères. Lié comme les doigts de la mains. Nous partagions tout, nos réussites, nos échecs, nos peines... Une seule différence persisté entre nous. Son père était un ingénieur de renom qui gagnait un petit pactole tous les mois le mien, un piètre chanteur de rue au portefeuille dilapidé dans le bar du coin. Malgré sa haute estime de lui même, Holland resté profondément encré dans mon esprit. Un jour , je ne sais pour quel raison je lui demanda :

_Si j’étais ton adversaire et que j’en voudrais à toi et à ta famille... tu me tuerais ?
_Bien sûr ! Mais tu n’es point mon adversaire ! Me rétorqua il amusé.
_Oui c’est vrai... On va chez toi ? Je meurt de faim !

Une petite semaine s’écoula et je n’eus plus de nouvelles de lui. La sonnerie du téléphone retentit alors un soir. Ma mère décrocha et la nouvelle lui coupa le souffle. On avait retrouvé Holland dans un fossé sur le bord d’une autoroute, égorgé. Un coupable a déjà était mis en garde à vue. Un homme d’une trentaine d’années à l’esprit tourmenté par de nombreux divorces. On a par ailleurs retrouvé chez lui un couteau couvert de sang, la veste de mon défunt ami et plusieurs restes d’ADN. Cela ne pouvait être que lui. Bientôt il serait jugé et à coup sur enfermé dans l’une des meilleurs prisons du pays. Je ne fus que peu choqué par la nouvelle, restant de marbre un sourire au coin des lèvres. Qui sait ? Et si l’accusé avait enfin raison de crier à la barre du tribunal ? Peut être était ce une terrible méprise ? Est ce de ma faute si ce mec n’avait pas le courage de m’abattre ? Finalement il ne faisait que parler, une fois de plus, sans avoir les couilles de passer à l'acte. Comment ai je pus être ami avec une raclure comme lui. Les années passèrent... Mon père mourut tuer par les forces de l’ordre lors d’une manifestation “pacifique”. Je n’en avais strictement rien à faire. Pour moi ce n’était qu’un type sans cervelle se servant plus de son poing que de sa tête. Lire les paroles de ses chansons c’est comme se tirer une balle dans la tête on pense que ça va aller mais en vrai ça fait mal. Après différentes expériences pour tester ma force sur mes “amis” j’ acquis une parfaite maîtrise du combat a mains nues. C’est vers mes dix sept ans que mon corps changea du tout au tout. Mes doux cheveux noir commencèrent à virer a vert sapin et à ternir, idem pour mes yeux ambrés. Ma mère insouciante mis ça sur le coup des hormones. Moi sur celui de la souffrance. Je devenais un mec redouté, le genre à pas se faire des potes rapidement. La belle vie quoi ! Mais pendant un certain temps je sentais une présence me suivre à chaque pas. Comme si quelqu’un m’épiait dans l’ombre mais à chaque fois que je me retournai, personne. Un soir ou je rentrais tranquillement chez moi je fus écrasé au sol brutalement. Sans comprendre se qu’il se passait je donnai un violent coup de pied rotatif à mon assaillant se qui le toucha mais au moment de dévisager mon adversaire il n’y avait strictement rien. Il était dans mon dos qu’il lacéra avec je ne sais qu’elle arme blanche. Je fus pris d’effroi en découvrant qui se cachait derrière le “masque” de mon espion. Un monstre gigantesque, au moins deux fois ma taille avec des bras massifs et un grande queue de poisson pour se mouvoir. Un truc blanc et hideux recouvrait son visage. N’étant que peu effrayé par cette mystérieuse apparition je lui fonça dessus lui faisant partager mon formidable jeu de jambe qu’il intercepta automatiquement en me broyant le tibia au passage. Je retins un cri de douleur. Il me fracassa contre le sol je ne pouvais plus bouger un seul de mes membres. Il s’approcha doucement de moi en rampant. Il m’agrippa par le coup pour me mettre face à sa vil face de poisson pas frais. Je me forçai à bouger. Attrapant mon couteau dans la poche droite mon blouson du bout de l'index. Je lui mis sous le nez et d’un geste vain je lui trancha un bout de tête. Rien qui ne pourrait lui faire du mal. Mon bras lâcha et se replaça le long de mon corps inerte. Un fragment de matière blanche tomba de la tête de mon ennemie. Un oeil apparut. Petit, fin, exprimant un air hautain à la pupille couleur métal... Une mèche d'une teinte indéfinissable apparut elle aussi. Il resserra sa poigne sous mon cou je ne pouvait plus respirer. Je l’avais mérité il avait tenu parole. La parole de me tuer...

_Tsss... J’aurais du m’en douter bon vieux Holland... Tu me le... Une violente douleur se fit ressentir dans mon torse. Tu me le revaudra...

Ma tête fut tranchée net comme un morceau de saucisse lors d’un petit pique-nique. La chose disparu, mon âme avec. Je me retrouva flottant entre deux monde ne pouvant rejoindre mon enveloppe charnelle. En regardant mes bras je vis qu’ils avaient disparut et cela ne s’arrêta pas la. Tout mon corps s'évapora pour réapparaître dans un endroit totalement inconnu du commun des mortel. Enfin des mortels encore en vie.

Rukongai, when you hold us
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Rukongai, あなたが我々を抱く時

Arrivé dans ce lieu mythique par la porte de service. Je commençais en bas de l’échelle mais sans problème je me creusa une place dans la hiérarchie de cette endroit miteux. Quittant les quartiers pauvres au bout de quelques mois grâce à mes capacités défensives au dessus de la moyenne je pus obtenir une petite place dans un appartement simple mais tout de même fonctionnel. Jamais je n'aurais imaginé que la mort n’était qu’un passage entre deux mondes... Mais comment Holland avait il put devenir un terrifiant monstre ? Allait-je devenir comme lui ? En passant plusieurs jours à lire les manuelles à ma disposition j’appris que ses “choses” se nommaient Hollow et se nourrissaient de haine et d’âmes humaines. Je découvris aussi le Seireitei que je ne pus pénétrer à cause des gigantesques murailles s’étendant jusqu’au ciel empêchant de pouvoir observer convenablement l’horizon. La dedant vivent les shinigamis des êtres nous méprisants nous simples habitants. Je m’entraînais sans relâche a mes coups de pieds meurtriers mais face à la lame acérée de leur zanpakuto mes jambes seraient vite réduitent en miettes. Je cherchais alors à contourner l’obstacle qu’étaient les dieux de la mort pour me tourner vers une manière plus conventionnelle, l’académie. Un endroit que je n’appréciais guère. Trop de monde, des cours ennuyeux et des professeurs incompétents. Mais forcé de me plier au règles j’apprenais comme un bon chien face à son maître impatient de pouvoir le mordre à pleines dents. Je pris conscience de l’art du Hado quelques cours rapide sur le corps a corps et surtout beaucoup d’ entraînements à l’épée. Zanjutsu qu’ils appellent ça. Pour moi c’est qu'une simple tranche de métal coupant dans un bout en bois entouré dans le meilleur des cas par un "zolie" ficelle colorée. On m’en décerna un lors de ma première année d’étude. Basique mais pas trop. Sa garde était du plus bel effet et malgré mon dégoût pour les armes blanches je l’arborais fièrement le long de ma cuisse droite. Gaucher de naissance cette particularité me permet entre autre d’avoir un perception des objet un poil en avance sur mes compatriotes droitiers. Rien de bien exceptionnel mais je garde un petit effet de surprise quand ses gus me voient prendre la poignée dans le mauvais sens et tout faire à l’envers. On ne change pas les bonnes habitudes... Le caméléon qu’ils me surnomment. Mes cheveux ? Mes yeux ? Ma langue ? Mes tics ? Ma façon d’aborder le monde ? Je dirais simplement tous cela a la fois. Je suis dans une classe d’attardés. Des mecs bon à faire l’arrière garde des sous-sous-sous chefs de la plus misérable des divisions. Et les filles ? Des mochetées à faire pleurer un lama. Très vite je me découvris un talent pour les soins et la discrétion. Quel est le rapport entre ses deux affinités ? Aucune ! Simplement qu’à continuer de réparer les blessures des imbéciles je vais me retrouver à la quatrième. Non pas la division des soins. Un soir m’a beaucoup marqué dans ma vie de shinigami. Je rentrais tranquillement dans mon “chez moi” pour me reposer et je balança violemment mon katana au sol je me déshabilla et m’allongea pépère sur le lit pour sombrer au pays des rêves. Mais au lieu de tomber dans un monde fantastique ou dans les bras d’une sublime nymphe je me retrouva dans une vallée couleurs sang. L’herbe écarlate s’étendait à perte de vue et une maison tranchait l’horizon. Je m’en approcha attiré par la curiosité. Un grand lac me séparer de la petite chaumière. Brusquement un mouvement dans l’air précéda l’ apparition d’une mystérieuse jeune fille. Petite, fine et inexpressive. De long cheveux noirs aussi lisses que la soie de Chine et des yeux de démon d’un rouge si déroutant qui ne clignent jamais. Un océan de désespoir m’envahis quand je laissa mes yeux émeraude voguaient dans son regard terne. Je lui adressa un hochement d'épaules interrogateur elle ouvrit la bouche pour parler. Je connaissais bien cette langue , du japonais. Malgré avoir quitté le pays du soleil levant très tôt j’en gardais les bases du langage.

Watashi wa....

Elle s’appelle ? Bah quoi ? Pourquoi laissait-elle sa phrase en suspend ? Un nom m'appela dans ma boite crânienne. Non plutôt des millier... Ils résonnaient la dedant comme un nid de frelons. Je me pris la tête dans les mains, m'agenouillant de douleur et quand je me relevai elle avait disparut. La paysage avec. Il ne restait plus que le son d’un torrent violent s’écrasant au pied d’une falaise. Cette nuit resta à jamais imprimée dans ma mémoire, mais pas la suite malheureusement... Je ne sais pour qu’elle raison j’ai découvert ses talents... Ah si ! Je me souviens ! Comment ai je pus oublié. Reprenons. Pendant des semaines et des semaines cette fille me hanta dans mon sommeil m’ empêchant de profiter de ma matinée et d’arriver en retard en cours.... Les prof’ commençaient à me prendre pour un élève sérieux. Une journée de congée nous fut octroyée à tous avant les examens finaux. J’en profitais non pas pour réviser ou m’entraîner mais pour flâner à une occupation de premier ordre , dormir. Bizarrement je ne retrouvais pas le paysage ensanglanté de d’habitude mais de banals rêves. Avait elle finit ? Je l’ espérais. Et pourtant... Tout ce passa bien pendant des jours et des jours. Jusqu’au matin ou l’on m’envoya exterminé un groupe de hollow qui s’attaquaient au Rukongai. Je fus désigné comme chef d’équipe et c’est depuis que met apparus la face cachée de mon arme. Alors que je devais me décider entre sacrifier ma vie ou celle des hommes sous mes ordres je choisis de foncer dans la masse de monstres et à l’instant ou j’allais être empalé les mots sortirent de ma bouche sans que je la commande. La voix de la mystérieuse jeune fille aux yeux de démon résonna une nouvelle fois dans ma tête. Je compris alors quel était son but, ses motivations à me suivre sans relache. Elle faisait partie de moi. Enma Ai... Elle ne tue que part vengeance réalisant les désirs de son maître. J’étais devenu, en prononçant son doux nom une âme damné.

karasu uramu, Jigoku shoujo enma Ai.

Le visage de la petite femme se refléta dans la lame du katana. Je tranchai une épaule de l’une des horribles bestioles masquées. Le reste du corps de la chose fut alors marqué d’un symbole. Une voix calme, posée et inexpressive résonna dans la clairière.

Ô misérable petite ombre enfermé dans les ténèbres.
Méprisant les gens jusqu’à les blessés
Âme noyée dans un karma immonde..
Veux tu goûter à la mort cette fois ?

Le hollow se retrouva alors recouvert de sang noir qui dégoulinait de son masque et, prit de convulsion, il se tordit sur lui même pour finalement implosé. J’utilisai cette technique jusqu’à l’épuisement, nous étions tous hors de danger. Et je venais d’obtenir le pouvoir qui me permit de m’engager dans une division.


Why the fourth division ?
なぜ 4 番目の部門ですか?

On m’envoya directement dans la quatrième. Sans me demander mon avis, je fus extrêmement contrarié de cette nouvelle je me mis alors en tête le but d’être le garde du corps de notre Taisho , la princesse Eru Yon. Je m’acharnais à la tache de combiner mes talents de caméléon, le corps a corps , les soins et les malédictions de la charmante Enma Ai. Malheureusement tous mes essais furent réduits en un tas de cendre par mon incompétence. Je me retirais du devant de la scène réalisant quelques missions de ci de la pour ne pas rester trop en arrière de la division. Lors de l‘un de mes nombreux passages sur terre j’avais pour but d’éliminer un Hollow plutôt bien placé dans la liste pour avoir tué de nombreux shinigami de seconde zone et dévoré un nombre inconsidéré d’âmes humaines. Je lui fis face bien décidé à m’en débarrasser le plus vite possible. En l’observant en détail la vue de son masque, cette unique queue qui lui servait de moyen de locomotion et cette tête de poisson pas frais.... cela ne pouvait être qu’une coïncidence ! Holland mon défunt ami qui avait subit la transformation de la haine était toujours en vie ?! J’allais enfin pouvoir me venger de se qu’il m’avait fait. En quelques secondes je sautais au dessus de son crâne enfonçant la lame de mon katana dans le masque de la bête. Lui causant de lourds dommages. Il enfonça ses longues griffes dans ma jambe pour me balancer loin de lui. Je me relevais calmant la douleur avec un sort de hado pour repartir à l’assaut. Se fut le bon. L’arme s’enfonça entre ses deux petits yeux noirs emplient de haine. Un cri sourd résonna dans le quartier encore endormi il était effectivement à peu près quatre heures... Il commença à se désagréger, de fines particules d’énergie spirituel s’ échappèrent de son corps pour finalement le faire disparaître. Je récitais une prière en son départ mais étrangement les petit bout de reitatsu se concentrèrent autour de moi. Ce phénomène dura quelques minutes puis d’une manière plutôt “directe” les particules rentrèrent de force en moi par ma bouche, mon nez , mes oreilles et mes yeux. Je fus pris de soubresaut incontrôlables avant de reprendre possession de mon esprit. Un voix , encore une, s’exclama à l’ intérieur de mon crâne.

Je vais être ton invité jusqu’à ton dernier souffle très cher compagnon. Je te pardonne pour ce que tu as fais l’autre jour.

Il faisait allusion à son massacre ? Sûrement. Mais comment pouvait il entrer si facilement en moi ?

J’entend tout ce que tu pense. Je suis rentrée parce que tu m’y a contrais. Je n’ai nullement l’envie , moi le grand protecteur de se monde, de traîné dans le corps d’un misérable Hollow.

Je m’essuyais le nez d’un revers de main je grattais mes cheveux vert jade et je souris pour la première fois depuis longtemps.

Toujours le dernier mot ein ? On devrait arrêter de jouer a je te tue, tu me tue par la barbichette le premier de nous deux qui mourra ira en enfer tu crois pas ?
C’est bien ce que je te dis...

Et depuis de la même façon ou presque que Enma il m’accompagne partout ou je vais. Bien que parfois insupportable ce type un une grande qualité , ne jamais abandonner et il me donna la force de combiner toutes les particularités qui font de moi un être différent des autres shinigami. Ou presque. Malheureusement selon lui on ne peut rien faire du combat à mains nues trop “rustre” à son goût. Mais grâce à mes différents pouvoirs je réussis à monter dans la hiérarchie de ma “formidable” division. D’abord troisième garde grâce à une petite promotion, un lieutenant m’ avait évalué comme un : très bon élément. Puis le sous chef de notre division fut tué sur le champ de bataille se qui me propulsa à la place ou je trône désormais. Mais à par une plaquette sur mon bras rien n’a changé. Je ne prend toujours que deux repas par jour je ne m’ entraîne que quand l’envie se fait sentir idem pour mes besoin “naturels”. mais à force de viser haut je me retrouve encore plus près des obligations d’ Eru Yon ou enfin non , Hime-sama. Je dois lui servir entre autre de porte manteau, marche pied, essuie tout, calculatrice, beschrel, dictionnaire et autre couteau suisse. Mais personnellement je n’ai pas à me plaindre je la trouve sympa cette gamine bon... un peu chiante ! Mais on va pas en faire tout un plat. D’ailleur quand la situation l’oblige je lui sers de garde du corps et ça c’est bien.
Ouai enfin elle est quand même lourde. Et toi tu lui obéis comme un gentils toutou ? Tu me fais Honte Rui ! Vraiment honte ! T’abaisser à ça... Désolant. Si je le pouvais je lui aurais déjà réglé son compte à cette nana et nous serrions taisho d’une bande de docteurs.C'est pas génial ça ? On dit merci qui ? Merci grand maître Holland ! Et avec le ton s’il te plait !