JJP fait sa présentation (en cours)

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Jean-Jacques n’est pas un être ordinaire et cela pas uniquement car il appartient à la race des Arrancars dont il est pourtant issu. Ces êtres sans cœur au sens propre et figuré qui justifient leur action par des pensées qui sont bien souvent que trop logiques ou égoïstes, voilà la définition d'au arrancar. C’est d’ailleurs ce qu’atteste le trou béant mais net et de bonne taille en plein milieu de la poitrine que possède Jean-Jacques. Ce trou est le symbole de l'horreur qu'il se trouve obligé d'incarner et aussi un symbole de l'esclavage. La manière de vivre ou de percevoir les choses est à jamais modifiées, mais ce n'est pas forcement leur faute, leur passée est empli de douleur. Mais, le plus flagrant est qu’il n’est pas un homme. Ce n’est qu’un simple animal, un loup qui pourrait sembler banal et sans intérêt si il n’arrivait pas à se tenir debout sur ses deux jambes. Il ne mesure d'ailleurs que 1m60 de haut en position droite seulement. Le plus étonnant une fois levée est sa droiture exceptionnelle pour un animal quadrupède. Celui-ci sait se mouvoir dans l’espace avec autant d’aisance qu’un homme voir dans certains cas avec plus de grâce par son caractère hybride. Sa colonne vertébrale et son bassin, malgré qu’il soit une sorte de mammifère inférieure semblaient parfaitement s’adapter à ses nouvelles postures humaines. Un monstre ? Oui c’est évidant si on parle de façon moral, mais il avait l’avantage ou le désavantage de réellement ressembler à un de ses créatures mystiques affreuse et haït du public. Jean-Jacques était quelqu’un de musclé, en atteste ses pectoraux et ses tablettes de chocolat qu'il adore faire "danser" à longueur de journée. Ce n’est d’ailleurs pas sans gène qu’il se pavane où qu’il passe la chemise ouverte et en bombant le torse. Encore pire, pour se complaire dans sa fierté, il prend la peine de porter des gilets environ deux tailles plus petites que sa morphologie réelle. Il n’est d’ailleurs pas rare qu’en plein combat, celui-ci se fend en deux au niveau du dos par les simples gestes rapides de l’animal. Il s’agit là également d’un des plus beaux sujets de plaisanterie pour l’énerver. Mais qui peut-il s’amuser à impressionner si la race humaine le dégoute ? C’est un mystère. Ce loup gris montre pourtant son admirable posture par des séances de « nice guy ». Il déclare que son côté bicolor, gris et blanc pour le ventre le rend parfaitement sexy vis-à-vis de la gente féminine qui pourtant n'a son égal dans le Hueco Mundo. Un besoin de ressentir de l'amour ? Bien sûr que non, simplement de l'orgueil et de la luxure. Évidemment, comme tous les membres de son espèce (les loups), celui-ci est également recouvert de poil. Des poils qu’il prend le temps d’entretenir en se léchant nerveusement 5 fois par jour comme un chat. Ne vous fiez pas à l’aspect dégoutant de la chose, cela lui donne le pelage lisse, brillant et soyeux. Malheureusement, il laisse des parties de son pelage un peu partout, des boules de poils qui ont le don de faire frémir plus d’un. D'une manière générale, le visage de Jean-Jacques est fin et bien dessiné. Son museau est assez proéminent mais cache une mâchoire aux dents acérés. Comme tous les carnivores de son espèce, ses dents existent pour tuer également. Mais, vous conviendrez que ce n’est qu’en cas d’extrême recours dans le cas des combats contre des shinigami qu'il ose faire ce genre de coup en traître. Cela reste passablement exceptionnel. En parlant de combat, son visage noir et sa coupe à la Jet Lee le ferait presque penser qu’il adore les arts martiaux. Mais il se concentre plutôt vers une technique plus directe et fourbe pour achever ses victimes. Jean-Jacques est un archer. On raconte que ces flèches sont beaucoup moins dangereuses qu’un cero standard de Hollow normal et pourtant, cet homme a dénigré ouvertement presque exclusivement la technique de prédilection des Hollow. Son arc n’est qu’un morceau d’os long de 2 mètre. Mais les flèches pour l'arc ? Justement, en forme normal, le mammifère n’a aucune flèche à disposition pour attaquer. Son arme sert exclusivement de lance cuvrée légèrement pour se battre au corps à corps. C’est uniquement dans sa forme libérée qu’il y a apparition de sortes de gigantesques poches en os blanc autour de lui ce qui provoquent la libération et fabrication de flèches en tout genre. C’est certainement l’un des plus beaux exemples sur la thèse qui dit que la forme normale n’est qu’une forme incomplète dans l'évolution d'un Hollow.

Dans sa forme libérée, l’homme prend une pose presque héroïque au combat. Sa taille augmente de manière conséquante, jusqu'à 2 mètres. Son masque se ferme pour cacher entièrement son visage bestial et une cape verte l’envahit pour faire découvrir une armure d'os en tout genre. Il semble alors se détacher de son côté animal car le peu de morceau de chair s'échappant de l'armure blanche ne possède pour aucun poil. Au niveau de sa taille, 4 poches géantes sont crées avec la fabrication en continu de flèches en ossement. Il s'agit d'une sorte de Quincy démoniaques.

Jean-Jacques est un animal aux caractères très stéréotypés. Ce n’est pas le genre de mammifère que l’on aime comme ami ou que l’on fait confiance. En effet, sous ses airs très sympathiques aux premiers abords, cet être prend un malin plaisir à répandre la haine et la désolation. Il faut préciser que quand on parle de la haine et la désolation, on parle de sa propre définition. Il s’agit d’une définition beaucoup plus légère par moment que le célèbre Larousse. Il se considère que son rang a fait de lui une sorte de diable et qu’il faut qu’il le prouve chaque jour pour justifier sa présence, même si c’est pour pourrir la vie des gens autour de lui. Sa technique est assez bizarre, presque enfantin car il prend un malin plaisir de venir voir sa victime en ami avant de l’embêter vicieusement. La victime qui ne se doute de rien se retourne à un moment ou un autre pendant la conversation et Jean-Jacques prend un malin plaisir à lui attacher les lacets, par exemple. Après que la victime eut bien mangé le sol avec ses dents. Il en suit un rire maléfique de la part de l’arrancar. Il s’agit d’un rire abominable de méchant qui tire en longueur et qui peut casser les oreilles de certains. Voilà ce qu’il considère comme méchant. Mais il faut préciser qu'il est en général beaucoup ingénieux que le nouage de lacet. Il peut également, mettre un seau d'eau sur une porte à l'ouverture entrebâillée ou saccager la chambre de quelqu'un et tout cela par rapport à l'humeur du moment. Pour l’instant, rien ne pourrait lui faire rapprocher des vrais combattants à mort comme ceux qui opposent shinigami et arrancar. Pourtant, Jean-Jacques est quelqu’un d’assez susceptible qui prend un malin plaisir à tuer les gens don il s'est sentit insulté. Ses meurtres se déroulent généralement pendant leur sommeil ou quand ils ont le dos tourné. A tout moment, l’animal prend un malin plaisir de faire des attaques en traître ou en utilisant des artifices détournés pour confondre l'ennemi. Pour rester en vie, c’est simple, il suffit d’éviter de détourner le regard. Le moindre clignement d’œil peut induire soit la mort, soit une blague pourrie de son répertoire. Pourquoi cet homme essaye d’éviter le contact direct en combat ? C’est simple et pour deux raisons. La première est qu’il pourrait se blesser et entacher son si beau physique de loup. Même la plus petite coupure, ne serait-ce qu’avec du papier et un véritable cauchemar pour lui. Il fait tout ce qui est en son pouvoir pour préserver son intégrité physique. En plus, se battre est assez horrible car il transpire et pue le chien mouillé ensuite. Non seulement il se sent mal à l’aise avec d’autres membres de sa même race, mais en plus, il doit se laver en se léchant. Lécher des gouttes de transpiration putride est sa pire hantise qu’il préfère éviter à tous prix. Ensuite il y a l’aspect temporel, un combat prend trop de temps. Pour l’arrancar, un combat doit se finir le plus rapidement possible. Le cas idéal serait : Salut-Tu es mort-Bye. Tout le reste n’est que superflu. L’animal n’a d’ailleurs aucun honneur et n’a pas de honte à éviter des provocations directes en duel. Il n’a pas honte de dire qu’il abandonne ou autre. Le but étant de faire baisser la vigilance de l’ennemi pour mieux le poignarder dans le dos. Le ridicule non plus n’a pas de limite. Il se rappelle d’ailleurs d’une fois où il a du se mettre à poil pour faire plaisir à son ennemi qui pensait le dominer. Devant un homme si pitoyable, il n'avait pas remarqué la flèche qui s’était logée dans son bide au moment où il reculait du combat. Mais cette technique de combat vient principalement de son zanpakuto. En effet, en forme libérée, il devient une sorte de sniper avide de sang. La mort à distance n’est peut-être pas du tout reluisant mais tellement efficace. Il est d’ailleurs une sorte de Quincy de la mort. Ces flèches sont peut-être moins puissantes qu’un cero, mais ils sont tellement plus fines et précises. Cela permet de tirer dans un trou de souris pour attaquer un ennemi qui ne s’y attend pas. Il se rappelle de la première fois qu'il a tenu une arme pour mettre en joue quelqu'un. C'était une dose si agréable de chaleur et d'adrénaline. Il sentait son cœur battre et savoir qu'il retirait la vie d'un être qui le méritait pas le mettait le émoi.

Avec tout cela, il est facile de penser qu'il s'agit d'un faible. Il est orgueilleux, se comporte comme un lâche et se bat comme un lâche. Pourtant, l'honneur à part moment ses limites et si c'était vraiment un faible pur et dur, il serait mort depuis bien longtemps. Est-ce une sorte d'œuvre de théâtre chaque fois qu'il rencontre son ennemi ? Est-ce vraiment quelqu'un qui se laisse dominer ou a-t-il toujours un certain contrôle dans ses combats. Les avis divergent et la réponses se font hard. Chacun y va de sa propre idée quand a savoir si c'est un emmerdeur de crétin fini ou un calculateur qui va pousser son être jusqu'à le mimer et tromper son monde d'une certaine façon. Ce sentiment est renforcé par le fait qu'il arrive à donner d'assez gros mensonges en combat et ses alliés. Où commence le vrai dans ces inepties ? Bien malin celui qui ouvrira ce qu'il a dans sa tête et peut-être que simplement la limite n'existe pas.

Faut-il mourir pour commencer à vivre ? C’est surement ce qui s’est passé avec Jean-Jacques. Son enfant était assez sauvage et simplement car il est né loup. Non, il y aucun hôpital pour lui mais les joies de la nature et d'un vrai accouchement pour sa naissance. Il est incroyable qu’un animal puisse avoir une haute densité d’énergie spirituelle qui émane de lui. Pourquoi en réalité un animal peut prétendre à une haute dose de cette énergie. Faut-il que un jour on découvre si cette chose si intangible possède en réalité un parallèle avec les lois de la génétique ? Peut-être que oui ou non mais ce n'est pas réellement important. Parfois se concentrer sur le comment n'apporte rien, le pourquoi est bien plus intéressant. Peut-être est-ce pas une sorte de choix quelconque mais le résultat de la loterie du hasard. Enfin bref, il n’avait alors pas de nom particulier. Dans une horde, les loups se reconnaissaient grâce à des odeurs et non pas par des mots. Les cris des loups ne servaient plus à impressionner et crier leur sentiment de manière brute que d'empiler des mots pour faire des phrases. Il vivait heureux et était destiné à devenir l’un des nombreux animaux de la horde qui allait devenir l’esclave du mâle dominant. Il y avait pas de quoi être véritablement heureux quand on sait qu'on va vivre sous les ordres d'un chef toute sa vie et que tu ne peux pas faire valoir ta voie. Un jour de printemps, pourtant, un hollow était venu lui rendre visite. Le monstre était violet avec un masque blanc de trois mètre de hauteur. Il y avait dans sa morphologie quelque chose qui le rendait similaire à un T-rex, mais un T-rex démoniaque. Le loup semblait vouloir l’attaquer mais les autres animaux dans son espèce de colonie ne voyaient rien. C’est justement à cause de l’ignorance de l’espèce pour les hollow qui la horde entière fut décimée. Le loup aboyait le monstre mais semblait être le seul à comprendre du danger apparent. Il aboyait si fort dans l'espoir que son clan se mette en ligne pour se battre avec lui. Mais, il était déjà trop tard. D'un simple coup vif de la mâchoire, le sang des loups fertilisait le sol. Évidement, aucun shinigami n’était venu pour aider la bête à survivre. Depuis quand le Gotei 13 s’occupait de l’avenir d’un animal ? Jamais les shinigami ne défendaient les animaux contre les hollow. Ils sont bien trop occupés à aller se saouler la gueule au bar d’en face. Est-ce vraiment logique, privilégier le sort de la race humaine que un animal ? Normalement, ne doit-on pas accorder la même valeur pour tous les êtres vivants ? Est-ce que la conscience fait vraiment qu'une personne ou une entité est importante. Peut.on vraiment délaisser ouvertement ce pauvre loup à son sort ? Les shinigami se complaisent peut-être dans leur ignorance mais du côté du loup, ce fut l'enfer. La transformation de la bête en Hollow, pourtant si douloureuse et cruelle passa pourtant inaperçu. La bête se rendait alors compte qu’il allait mourir. Il est mort certes, mais sa mort n’avait rien de ce qu’on peut croire ou espérer. Tout n’était que haine, violence et douleur dans le monde qu'il est obligé de vivre. La sécurité est également inexistante. Par moment, un hollow sortait dans le monde des humains pour essayer de tuer un ou deux innocents pour satisfaire sa faim. En regardant les autres faire, le loup avait bien compris qu’il était inutile de provoquer les dangers. Car, au moment où le hollow entrait dans le monde des humains, il se faisait souvent descendre dans un combat à l’épée par des personnages vêtus de kimono. A cause de sa force si faible, l’animal savait que sa sortie signifiait sa perte. C’est alors qu’il déambula dans la forêt des Menos avant de devenir une sorte de charognard. Pour lui, il y avait aucun problème de vouloir manger ces êtres diaboliques. C’était ce qu’il faisait régulièrement lorsqu’il était loup, manger des créatures mortes. Le loup se gavait de pièce de viande déjà bien pourri par le temps même si le gout était horrible. Il avait faim, il fallait bien qu’il puisse se nourrir. Il sentait par moment des sortes de coups de poings qui frappaient son ventre avec violence. Car, ce fut jamais tellement suffisant pour le rassasier. Mais, ce qu’il ne savait pas, c’est que son comportement carnivore allait le rendre plus fort. En effet, chaque fois que l’on ingurgite un hollow, on gagne une partie de sa puissance. C’est alors qu’il se mit également à évoluer comme tous les hollow destinés à devenir arrancar. Pourtant, il n’avait encore profité d’aucun combat pour arriver à son état. Il n’était qu’un opportuniste et le cachait jalousement de peur qu'on le prenne pour un faible. Il n’avalait que des restes, cela l’aider à garder en vie mais était bien loin de devenir le plus fort. Mais, s’il est arrivé à survivre, c’est surement qu’il a peut-être un talent caché. Peut-être est-ce simplement un effet de sa vitesse pour fuir.

C’est exactement à son 400ème anniversaire qu’il évolua pour devenir arrancar. Il se reconnaissait enfin en admirant sa face dans le reflet d'un cours d'eau, du moins partiellement. Son museau, ses pattes, il pensait être redevenu comme avant. Mais, ce qu'il pensait n'était pas tout à fait vrai. Une chose étrange s’était passée. Il se tenait sur 2 pattes comme n’importe quel homme. Ses cordes vocales aussi avait subit des transformations. Il apprit rapidement à parler. Cela lui faisait peur mais appréciait sa transformation. Il se sentait devenir dieu, un être parfait. Il n'arrivait néanmoins pas à comprendre le masque brisé sur son visage. Il avait essayé de l'empoigner pour le retirer mais échoua. C'est alors qu'un autre individu lui demandait de le suivre. L'inconnu était grand et se dressait fièrement devant le petit loup.Mettant son arme sous le menton du renard, il lui demandait son nom. Voilà un drôle de mystère car il n'avait pas de nom et c'est d'ailleurs se qu'il répondit. L'homme rie beaucoup juste avant de le cracher au visage. Il ria encore et encore et exaspéré le loup. Il finisse par rétorquer qu'il ne méritait nullement d'appartenir avec les autres hollows supérieurs qui gouvernent ce monde. Pour finir, comme ultime insulte, il dit ces mots suivants:

"Tu sera mon JPP (Jean-Pierre Papin). Non, tu mérites même pas d'être un JPP. Tu seras un fake de JPP, encore plus merdique que l'original. Tu seras Jean-Jacques Papin, JJP."

Il partit en riant en le laissant libre. Il était maintenant baptisé mais d'un nom ridicule. Un nom qui pourtant sonnait bien à l'oreille de Jean-Jacques. Il cria et se démena à cause de l'offense qu'il avait subit. S'il avait encore un cœur il se briserait en deux. C'est alors qu'un esprit de vengeance s'installa dans son esprit. Malheureusement, il n'avait que pour arme une lance curvée et son ennemi était déjà loin. Difficile, d'estimer les distances dans le désert car c'est un environnement lisse sans détail. Comme une sorte reflet, il empoigna son arme avant d'entendre une phrase qui répéta machinalement.

"Si c'est aujourd'hui que quelqu'un doit mourir, je suis heureux de le faire de ma propre main. Vole Guratine."

Le voilà en forme libérée, il pouvait enfin attaquer à distance. Il est assez inconcevable que un être puisse combiner sa transformation en arrancar et sa forme libérée le même jour. Mais voilà que ce fut exactement le cas. Néanmoins, devant autant de puissance, il n'était pas stable et tremblait comme un vieux avec Alzheimer. Néanmoins, il eut assez de force pour prendre une flèche en os. Son mouvement fut si naturel, comme si il l'avait toujours fait. C'était étrange. Mais, Jean-Jacques était beaucoup trop en colère pour analyser son monde. Le gout de sacrifier et de vouloir commettre un meurtre dominait ses esprits faisant abstraction de l'essentiel. Il posa la flèche sur son arc et tira le projectile. La flèche volait jusqu'à toucher la tête de l'ennemi. Sans faire un bruit, un cadavre de plus reposait dans le désert. Il est mort et n'eut même pas le temps de le souffrir. La distance, il ne le savait pas mais devant autant de libération d'énergie, il tomba dans les pommes.

Il se réveilla dans un palais blanc, il était enchainé. Jean-Jacques.....(à finir)