Masaki Ookami {En cours faut pas regarder 4/5}

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Prénom : Alexandre ( Alex )
Age : 20 hivers
Expérience RP : Plus de Rp depuis 1 ans donc peut être un peu rouillé, pour le reste, 5 ou 6 ans de Rp derière moi. En comptant un an de rp wow en parallèle * Survivant de Blizard Mouahahaha ! *
Un avis sur Bleach Shinigami Age : Enfin un forum ou le rouquin n’existe pas !
Comment vous avez connu ce Forum : Un ami qui voyant ma détresse loin du Rp m’as proposé ce forum.

» Mon Personnage «

Nom : Ookami
Prénom : Masaki
Age : Inconnu <500 ans – Physiquement : 20 ans.
Sexe : Masculin

Race : Vizard
Rang / Grade désiré : Ancien Kyû Ban Tai Taisho / Dākuookami

Description Physique :

Masaki, n'est pas vraiment le genre d'homme qui se soucis grandement de son apparence, il est toujours vêtu des mêmes couleurs de vêtements, du noir, du blanc et du bleu clair, la même couleur que ses yeux. Il a hérité ses cheveux de ses ancêtres, ils sont d'un blanc presque surnaturel, mais pour sa famille c'était tout à fait normal. Il n'est pas très grand mais, il atteint la barre du mètre soixante-quinze et est loin d'être maigrichon, par là il faut comprendre qu'il a une musculature assez développée et imposante même s'il la camoufle avec des vêtements plus ample la plupart du temps. Ses yeux bleu cyan reflète la couleur de son Reiatsu, qui change de couleur lorsqu'il possède son masque.
Pour ce qui est de son masque, il est le reflet de l'homme qu'il était, fait d'argile blanc comme la plupart d'entre eux, il arbore des couleurs sobres, avec du noir et du gris mais aussi des touches rouges sur les côté et sous les yeux, le maquillant d'une couleur sanglante. On y dénombre aussi quatre petites cornes et deux plus grosses le rendant encore plus effrayant. Lorsqu'il le met, il devient plus rapide, plus fort et dispose de capacités augmentées en ce qui concerne ses pouvoirs de Shinigami. Il lui est aussi possible d'utiliser le Cero, qu'il affectionne beaucoup dans ses combats masqués.

Revenons-en à la description physique elle-même, on sait maintenant que c'est un individu masculin, de type européen, ayant les traits du visage fins... Je ne vous l'avais pas dit ? Ben maintenant vous le savez, il n'est pas typiquement asiatique, sa belle-mère l'ai mais, sans liens du sans aucun rapport. Vous n'aurez pas non plus ses mensurations parce qu'on n'est pas là pour ça et qu'en plus je ne sais pas comment les calculer... Il n'est pas très poilu non plus, mais il ne s'épile pas, c'est naturel chez lui. Une chose importante tout de même est le dragon noir sur son bras, assez imposant il n'est pas vraiment passe partout comme il s'étend de son coude jusqu'à ses phalanges. Il le tient de son arrivée au Rukongai lorsqu'il était perdu parmi les âmes nouvellement arrivées et que sa « nouvelle famille » c'est formée. Son Reiatsu est imposant surement dû au fait de sa corpulence qui lui permet d'engranger beaucoup de particules spirituelles, mais il privilégie souvent le combat à l'épée qu'il trouve plus valeureux.


Description Psychologique :

En ce qui concerne la description psychologique, on a à faire à deux personnes, la première, le Masaki avant l'incident qui va le transformer en Vizard et le rapprocher des ennemis des Shinigamis et le Masaki paumé de la vie qui vient avec cette mutation.

Tout d'abord, on retrouve un homme haut, digne, rêveur et protecteur, c'est en effet ce qui l'avait qualifié pour être capitaine de la neuvième division par le passé. Il aimait rester assis des heures à regarder les nuages passer dans le ciel, sentir le vent glisser doucement sur sa peau et écouter le chant des oiseaux et le doux murmure des brouhahas de la ville non loin de sa demeure. Il s'occupait de la stratégie militaire du Seireitei avec son exceptionnel clairvoyance et une patience à toute épreuve qui cachait parfois, une désagréable surprise pour ceux qui la poussait à bout. Il dirigeait ses troupes avec une gentillesse qui lui était innée, mais il lui avait tout de même été donné le surtout de « loup ténébreux » à cause de ses capacités à assassiner ses ennemis sans même qu'il ne détecte sa présence.

IIl a refusé la place qui lui était offerte dans la seconde division car il aspirait à autre chose, son désir de détruire les holows et de sauver les âmes encore humaines était bien plus fort que ses aptitudes à tuer sans être vu. Son ambition étant pure, il acceptait toutes les missions d'éliminations qu'il lui était possible de trouver et recrutait dans sa division des hommes qui partageaient son désir de combat contre les dévoreurs d'âmes. C'est aussi quelqu'un de très émotif, mais il le cache sous ses airs de grand meneur, il ne pourrait se permettre de laisser les gens douter de sa force.

Après l'incident, c'est un homme craintif que l'on retrouve, plus aussi sur de lui qu'auparavant, il erre dans le monde des humains comme un fantôme dans un opéra vide attendant la prochaine représentation. C'est devenu un solitaire, un ermite venant en ville uniquement pour chercher de quoi se nourrir et prendre un verre ou deux dans un bar, parfois mettre deux ou trois baffes à des gens malpolies avec les demoiselles et corriger quelques chiens errant cherchant à lui voler son repas. C'est exactement ce qu'il est devenu, un chien errant, il était un loup et le voilà perdu loin de sa noblesse. Il est constamment hanté par les esprits de son passé et cherche à les fuir du mieux qu'il peut, revoyant leurs visages en fermant les yeux, il ne dort plus, craignant d'être emporté pendant son sommeil par ses compagnons trépassés.

Pour résumer, il fuit le passé, sans vivre le présent et ne regardant même pas le futur.


Histoire :

Une naissance compliquée

On vient au monde avec un but, bien entendu ce n'est pas nous qui le choisissons mais, nos parents, ceux de Masaki lui avait promis un joyeux futur plein de jeunes femmes de bonnes familles, espérant tout de même trouver une dote importante lors de son mariage. Sa mère décéda lors des suites de l'accouchement et son père n'eut pas de mal à trouver une femme plus jeune pour la remplacer à peine un mois après, ce qui ne changea pas les objectifs fixés. Et c'est dans cette optique que l'enfant à grandit, devant copier chaque fait et geste de ses parents afin d'apprendre de lui-même comment agir dans la haute société. Ce n'était pas très compliqué pour lui, il apprenait vite et il pouvait jouer avec son amie en même temps, Illéa. C'était sa toute première amie et aussi sa seule amie, la fille d'une domestique de la famille. Il lui était bien sûr interdit de jouer avec elle mais, il prenait le temps qu'il gagnait à copier ses parents pour jouer avec la petite fille. Il considérait d'ailleurs la mère de la petite comme sa propre mère qui lui apportait bien plus d'affection que cette harpie de belle-mère.

Lorsque vinrent ses 18 printemps, son père lui présenta sa première prétendante, mais le jeune homme l'envoya voir ailleurs avec un dédain presque provocateur. Deux ans passèrent et chaque prétendante avait toujours le droit au même traitement, son père commençait à perdre espoir de le voir un jour toucher une dote mais, sa belle-mère pris les choses en main et organisa le mariage sans même la rencontre des deux jeunes. Le jeune homme n'en démentie pas, c'était Illéa qu'il voulait pour épouse, celle avec qui il avait grandi et qu'il chérissait du plus profond de son cœur. Elle attendit donc le samedi de la fête du blé au village et que la nuit soit tombée pour proposer à toute la famille ainsi qu'aux domestiques une sortie au festival ou les feux brilleraient de milles splendeurs et les jeux promettraient à quiconque aurait la chance facile de gagner de quoi acheter ses rêves. Masaki saisit alors naïvement l'occasion pour aller chercher Illéa dans sa chambre et l'emmener au festival, défilant devant toute la maison main dans la main avec une domestique. Un faux sourire animait le visage de la belle-mère tandis que la mère d'Illéa se réjouissait de voir sa fille avec celui qu'elle savait l'aimer.

Elle avait l'air timide mais, serrait sa main avec poigne et douceur à la fois. A peine sortie de la maison, lorsque la grande porte claqua après un grincement presque macabre, elle l'enlaça et déposa un baiser sur le coin de ses lèvres. Il rougit immédiatement ce qui la fit sourire timidement. Ils commencèrent à descendre les longs escaliers qui traversaient la forêt mais, à mi-chemin la jeune fille s'arrêta net et se blottit contre le torse du garçon.

« Tu as entendu ? »

Rien ... Pas un bruit, pas un chant d'oiseau bien qu'en pleine nuit il n'est pas évident de les entendre chanter. Il montra alors la pleine lune qui brillait dans le ciel et éclairait les dalles de pierres descendant la colline.

« La lune est pleine, on peut voir même la nuit alors ne t’en fait pas. Et puis, je suis là » dit-il en esquissant un sourire pour la rassurer.

Elle lui sourit aussi avant de marché toujours collée à lui, craignant l’obscurité qui se mouvait devant ses yeux comme des bêtes sauvage attendant le moment opportun pour querir leurs nourritures. Un grincement se fit entendre dans les buissons derrière eux mais Masaki n’eut pas le temps de tourner le tête qu’une douleur le pris sur le crâne, déséquilibré il commença à tomber contemplant pour la dernière fois le visage de sa belle avant de fermer les yeux.

Lorsqu’il ouvrit à nouveau les yeux, il était seul en pleine forêt. Des morceaux de tissus partout autour de lui et une importante quantité de sang était sur ses vêtements. Il passa la main dans ses cheveux caressant la bosse du bout des doigts et commença à retrouver la mémoire.

« Illéa ! » cria-t-il soudain.

Mais il avait beau chercher autour de lui, les seuls traces qu’il avait d’elle était son parfum, toujours le même depuis qu’ils étaient enfant, elle sentait le sapin, un délicat parfum peu commun dans cette région mais, il prit conscience que les bouts de tissus n’était pas de son kimono, mais du Yukata d’Illéa. Il courut immédiatement au château et trouva tout le monde ou presque pleurant devant un linge couvert de sang, lorsqu’il voulut l’ôter pour voir ce qu’il cachait, sa main fus arrêtée et il compris alors qu’il ne la reverrais plus. Les jours suivant il les passa dans sa chambre, déambulant de droite à gauche en regardant ses bandages, cherchant quoi faire pour la venger, comment la venger et qui aurait pu commettre une chose pareil.

Il alla se coucher avec cette idée de vengeance mais, au beau milieu de la nuit il l’entendit, sa voix si douce, si chère à son cœur et son parfum, ça s’entait le sapin dans toute la pièce, il la suivit l’ambiance étant si irréelle qu’il voulait y croire. Elle le guidait, le conduisant à travers la demeure jusqu’à la cave où était habituellement rangé les alcools. La voix s’éteint alors.
« Pourquoi m’avoir guidé ici si c’était pour ensuite te taire ?! Pourquoi te caches-tu ? Je veux te voir, te serrer dans mes bras, t’embrasser … Illéa répond moi je t’en supplie ! »

Un doux murmure vin alors le caresser et lui alourdir le cœur bien plus qu’il ne l’était déjà. « Je t’aime » murmura la voix avant de s’assoupir et laisser place à un hurlement venant du dessus. Le plancher craquais au-dessus de sa tête et il entendait tout le monde crier de peur puis de douleurs, les vases explosaient, le fracas des miroirs devait s’entendre à des centaines de mètres, et un hurlement mis fin à tout ce bruit. Le sang de Masaki était glacé, c’était comme si d’un coup l’air s’était refroidie et elle passa la porte, vêtu de son yukata, elle le regarda droit dans les yeux à travers son masque blanc mais ne lui fit pas ce sourire charmeur comme elle avait l’habitude. Le garçon lui avait le cœur à l’arrêt, il ne remarqua pas la maison s’effondrant autour de lui ses yeux ne pouvant lâcher cette silhouette s’avançant doucement vers lui jusqu’à s’arrêter le visage face au masque.

« Je suis désolée » dit alors la jeune femme masquée avant de lui transpercer le cœur de son bras en riant.

« I… Il… Léa… » bafouillant il ne pouvait plus respirer, les questions lui traversant l’esprit, déchirant son être pourquoi, elle qui aimait, elle qu’il aimait, pourquoi vouloir. « Encore ce voile blanc … » sa vision blanchissant, il ne put qu’apercevoir un vieil homme derrière Illéa avant de voir sa tête tomber. C’était étrange, il était vêtu d’un kimono noir et portait un katana hors du commun. Masaki ne réussi qu’a entendre une dernière chose dans le néant qui commençait à l’envahir.

« C’est intéressant que tu aies pu la voir … Je vais attendre que tu deviennes une âme petit n’ai crainte. »

Un réveil pénible

On dit qu'il ne faut pas aller vers la lumière blanche, que si on veut vivre il faut luter de toutes ses forces pour rester dans son corps, ce sont des légendes bien idiotes lorsque notre vision devient blanche. Où aller ? Tout est blanc, tout n'est que fraicheur et c'était la première fois que le blanc était aussi aveuglant, comme regarder le soleil et en gardé l'empreinte dans son oeil, ne plus alors n'avoir que son image au centre de notre vue et c'est alors que Masaki ce demanda ce qui allait ce passé, il n'avait pas peur de mourir, celle par qui il allait devenir un corps sans vie était la femme qu'il avait toujours aimé. On ne peut souhaiter de meilleure mort que celle-ci encore faudrait-il qu'on oublie tout ensuite, où aller ? Le paradis ? L'enfer ? Rester sur terre et errer comme une âme perdue ? Qu'est-ce qui était arrivé à Illéa ? Qu'est-ce que c'était que ce masque blanc qu'elle avait ? Que ...

« Debout les morts ! »

Une voix avait troublé sa réflexion, une voix qu'il avait déjà entendu auparavant, oui, celle du vieillard qui avait ...

« Illéa... » dit-il en serrant le poing.

Serrer mon poing ? Comment ? Je suis mort … La lumière blanche elle m’a déjà engloutie, je suis au paradis je peux rouvrir les yeux. Ce n’était pas ce qu’il espérait, pas de petits anges qui volent, pas d’Illéa pour l’attendre, uniquement son parfum au milieu des décombres et cette chaine au milieu du cœur. Le vieil homme était encore là lui aussi, pourquoi le fixait-il avec ses yeux rouges ? La mort avait-elle un costume aussi ridicule qu’un simple kimono noir ? Et pourquoi avait-il tué Illéa ?!

« Une hollow … » dit-il fixant toujours le jeune homme allongé.

« Je m’excuse mais j’ai peur de ne pas comprendre. » rétorqua alors le garçon en se relevant doucement.

Le vieil homme se leva et se dirigea vers lui avant de l’attraper par le col de ses vêtements et de le relever avec une poigne incroyable. Il lui indiqua ensuite d’un signe de tête le sol d’où venait de se lever Masaki. Le jeune homme tourna alors la tête pour y découvrir son corps, inerte sur le sol, une chaine en sortant reliant ses deux corps au niveau du cœur.

« Vois-tu petit, lorsque l'on meurt, cette chaîne nous tient attaché au monde terrestre, mais elle s'érode avec le temps et ont fini par devenir au bout de plusieurs mois un hollow, comme ton amie... » ne voyant pas de grande réaction de sa part, le vieil homme continua « Les hollows sont des âmes en peine qui cherche à combler leurs manquent en dévorant d'autres âmes ou des êtres humains, ce sont des monstres qui vivent dans une autre dimension et viennent ici pour se nourrir. Mais ils viennent tous d'ici ... »

« D'ici ? Et pourquoi Illéa aurait changé ? Pourquoi elle serait devenue ... » un pincement au coeur le fit stopper alors qu'il revoyant les bons moments qu'ils avaient passés ensemble.

Le vieil homme lui sourit et lui ébouriffa les cheveux avant d'ajouter « Parce qu'elle t'aimait. On doit se dépêcher, t'es pas tout seul petit là où tu vas aller, fait attention à toi ! Ce n'est pas aussi sûr que le Seireitei » il le frappa alors du bout de son arme sur le front, une petite marque apparut et à nouveau cette lumière blanche et aveuglante qui l'endormit.

Une arrivée floutée

Un autre blanc, il ne pensait pas qu'une couleur pouvait devenir si détestable en si peu de temps. Encore cette peine à ouvrir les yeux et à les laisser s'adapter à la lumière comme après un long sommeil, c'est avec stupeur qu'ils se sont ouvert cette fois au beau milieu d'une rue. Les gens passaient de chaque côté de lui comme s'il était un obstacle sur la route, un rocher sur un chemin qu'il suffit de contourner. La lumière aveuglante du soleil se cacha enfin, profilant sur son corps une ombre distordue par les vêtements du jeune homme.

« Moi c'est Aoi, enchantée ! »

Une petite fille, pas très grande dont les cheveux brillaient au soleil comme un brasier rouge. Ses yeux étaient d’un gris très pâle et son corps, couvert de bandelette sous se kimono couleur émeraude ouvert sur son torse. Masaki ne pensait qu’à une chose, ses yeux. Ils étaient si étrange presque irréel, encore une illusion sortie de son imagination ? Il se releva alors avant de se dépoussiérer en regardant autour de lui. Une ville, d’apparence pauvre et sans aucun magasin dans cette rue, des gens déambulant habillés en bon villageois et au milieu de toute cette agitation désordonnée, la petite fille se tenais devant lui comme un enfant trouvant un animal perdu.

« Ma… Masaki, je suis Masaki … Et je suis … Je … »

L'enfant sourit regardant cet homme sans mot devant elle, les adultes sont sensés aidés les enfants perdu, mais ici Aoi ressemblait à Peter Pan, un vieux conte venus de son pays d'enfance ou un enfant était roi d'un royaume entier et y régnait comme un maitre contre des adultes devenues hors la loi. Cette histoire lui était souvent racontée lorsqu'il était enfant par la mère de d'Illéa.

« Tu es perdu ! » dis alors la gamine sortant le jeune homme de sa réflexion. « Je peux t'aider si tu veux ?! » elle avait une façon de le dire, avec une gentillesse et une moquerie infantile hors du commun qui poussa Masaki à la suivre lorsque le tira avec elle. Ils firent le tour de la ville, tout se ressemblait, des maisons en bois foncé, des couleurs qui ressortaient toujours partout, tout semblait fade et les tissus usés laissaient comme une impression de mort partout, une atmosphère morbide pesait, ce sentiment qu'à tout moment quelque chose surgirait de nulle part pour l'emporter. Ils arrêtèrent de marcher une fois sorties de la ville pour s'asseoir sous un arbre, un grand cerisier à l'air triste sans pétales mais, qui se dressait fièrement dans ce coin désertique.

« Lala, c'est le nom de cet arbre, c'est joli, non ?! » dit-elle fièrement en s'asseyant à ses côtés « Je l'ai planté en arrivant ici, tout comme toi j'étais un peu perdue mais, maintenant c'est bon. » son sourire illuminait l'arbre comme s'il puisait sa force de la petite, une sorte de reflet de son visage qu'on pouvait apercevoir dans le végétale. Mais toute belle chose attire forcément les ennuies, Masaki le savait et la règle se montra encore vérité lorsque deux hommes vêtuentd'habits noir et de katana s'approchèrent un air peu commode écris sur leurs visages.

Les deux hommes se rapprochaient mais la petite ne bougeait pas, ce n'était pourtant pas de la peur qui émanait d'elle, mais toujours cette aura enfantine qui se dispersait et l'arbre qui semblait rieur à la vue de l'enfant. L'un d'entre eux avait surement remarqué le jeu de la gamine car, il plaça la main droite sur la garde de son arme la fusillant d'un regard énervé.

« On a finalement réussi à te mettre la main dessus petite garce ... » lorsque ces mots sonnèrent à l'oreille de Masaki, une petite flamme s'éveilla au fond de lui, une sorte de rage qui l'envahissait, traiter une enfant d'un tel nom, l'insulter de la sorte quand bien même qu'elle soit une voleuse, c'est une enfant ... « ... Cette fois on va te crever. » dit-il la regardant et ignorant le jeune homme d'à côté, pourquoi s'inquiéter d'un jeune garçon lorsqu'on menace de mort une gamine ?! Mais Masaki n'en pouvait plus et lorsque les deux hommes sortirent leurs katana devant son visage, il attrapa la main du premier et lui écrasa la tête dans l'arbre, laissant l'écorce s'envoler autour du visage presque entièrement rentré dans l'arbre.

« Toi ? Enfoiré ! » l'autre ne mis pas longtemps à réagir et à lui envoyer un coup de genou droit dans l'estomac ce qui cloua le jeune homme au sol, plié en deux, les mains sur l'estomac. Mais alors qu'il souffrait par terre, la petite le regarda en rigolant.

« Comment tu t'es fait avoiiir ! » dit-elle en souriant.

Une violente vague d'énergie balaya ensuite Masaki l'envoyant rouler plus loin, l'autre homme n'avait pas bougé, l'enfant non plus, tous deux restés immobiles et pourtant l'atmosphère était devenue plus lourde, comme si le ciel lui était tombé sur la tête. La pression semblait écrasante, coincé entre deux poutre invisible qui broyaient son corps, il se redressa, son corps donnant accoues sur accoues résistant à cette force venue de nulle part. Il se demandait ce qu'il se passait, deux hommes armés s'attaquant à une enfant, c'était loin d'être le paradis et c'est alors qu'il réalisa, ce qu'il avait fait quelques minutes plus tôt, lui qui pourtant n'était pas très costaud avait encastré la tête d'un homme dans un arbre, à mains nues ! Alors qu'il était perdu dans les méandres de ses pensées, la main de la petite se tendit vers lui.

« On y va ?! »

Les deux hommes avaient disparues, l'arbre lui n'avait rien et aucune trace nulle part n'aurait pu laisser trahir le déroulement d'un combat un peu plus tôt mais la douleur était présente, ce coup à l'estomac aurait dû laisser une marque. Il s'empressa alors d'écarter son kimono et la stupeur envahie ses yeux, pas une marque alors d'où pouvait venir cette douleur ?! L'incompréhension le fi prendre la main qui se tendait encore vers lui.

Il remarqua alors que l'arbre émettait une zone quelque peu flou autour de lui, la même chose que lorsqu'on regarde près d'un feu, les formes au-dessus des flammes nous semble distordues et vagues. Il comprit alors pourquoi il avait vu deux hommes s'en prendre à une fillette innocente, c'était simplement une vision de cette nuit là, mais il avait imaginé les deux hommes avec les habits du vieillard qui l'avait envoyé ici, la lumière au bout du tunnel était enfin là, l'aboutissement de la vie.

« Je la retrouverais quoi qu'il arrive ... Illéa ... »

Un tournant décisif dans sa vie, qu’il prit en tenant cette enfant par la main, la suivant comme une poupée se retrouve accrochée à un bébé. Il savait en revanche que tôt ou tard il finirait par la revoir, celle qui le poussait désormais à aller plus loin.

Des questions ? Une lame !

Masaki rencontra à nouveau le vieil homme, non plus dans la cave de la maison en train de s'effondrer mais cette fois dans une sorte de campement militaire, une ville où des hommes se baladent de toute part avec des katana et des armes en tout genre. Aoi l'avait appelé le quartier général de la dixième division, avant d'y arriver ils avaient dû passer par une immense porte un truc du style hakutoumon, le portail de la voie blanche ou quelque chose comme ça... La rencontre eu lieu dans la maison sur laquelle était placé un étrange symbole, une fleur regardant vers le bas avec une tige qui semblait cassée, un bien étrange symbole pour une organisation militaire, la plupart du temps les généraux préfèrent le symbolisme mordant des animaux à celui des plantes. Alors qu'Aoi le regardait observer cet étrange symbole, elle s'avança et lui tapa dans le bas du dos.

« C'est un symbole qui nous est chère ! C'est une narcisse, qui nous dit que nous devons nous contenter de ce que nous avons ... C'est pour cela que nous travaillons dur à l'entrainement et que nous cherchons toujours à nous surpasser, car en cas de guerre, c'est sur nous que tout reposeras ... » elle regarda alors sur le côté en direction d'un chemin ombragé par ce soleil radieux.

« N'est-ce pas Capitaine ? » Masaki se retourna pour voir celui qui avait demandé à le rencontrer dès son arrivée ici et ce fût avec stupeur qu'il regarda le vieil homme sortir de l'ombre.

« Bonjour jeune homme de bonne famille ... » dit alors l'homme en le regardant « ... Tu as fait tes preuves à l'arbre ... » la phrase a peine commencée, le gamin l'arrêta avec sa question.

« Où est passée Illéa ? Où là tu envoyée ?! » le ton impatient du garçon et son visage rayonnant comme celui d'un homme qui vient de survivre à une catastrophe avaient dû choquer le vieil homme car son sourire s'enfuit, il lui tendit une épée en bois et lui demanda de se mettre au milieu de la salle, il se mis alors en face de lui avec une épée de bois dans la main lui aussi.

« Si tu veux des réponses, tu vas devoir les obtenir par toi-même ... » lui sourit alors l'homme.

Il n'en fallut pas plus au jeune garçon pour attaquer l'homme avec tout ce qu'il avait. D'abord, l'épée de bois arriva sur lui par le flanc gauche puis, une fois contrée avec une facilité déconcertante le vieil homme riposta et glissa la pointe de son épée sous le menton du gamin.

« C'est tout ce que tu as ? Je me serais trompé ?! » dit-il en regardant la jeune fille assise dans un coin de la pièce, se moquant éperdument de ce qui se passait entre les deux hommes. Masaki tenta alors encore une fois sa chance profitant du manque d'attention du vieillard pour tenter de le mettre en défaite mais, la lame n'eut pas le temps d'atteindre sa tête et fût déroutée bien avant. « Joli ... Et puis-ce que tu veux savoir, ton amie est morte. »

Un craquement retenti alors comme un objet ce brisant, un vase tombant à terre et déchirant cette pièce unique en deux parties distinctes, deux petits morceaux. 'Il ment ...' '... Il ne peut pas ...' cette voix, venant des tréfonds du coeur de Masaki lui glaça le sang, pétrifié, il ne pouvait que rester immobile regardant le sol, le regard se vidant, ses yeux bleus devenant pâles et non plus bleu azur.

'Tue le ... Il faut tuer les menteurs' son corps serra alors l'épée de toutes ses forces, le vent commença à tourner autour de lui, tout devenait si étrange, Illéa ne pouvait pas être morte ... La gamine se leva et regarda les deux hommes mais elle n'avait plus son regard d'enfant, comme si elle était devenue sérieuse pour une fois.

« Vous ... Vous m'avez amenés ici ... Alors ... » l'homme l'interrompit sans lui laisser le temps de finir « C'est différent pour elle, je n'ai fait que nettoyer son âme corrompue. »

'Âme corrompue, il ment !' c'était semblable à un déchirement, son estomac le brulait, sa tête allait exploser sous la pression, son corps lui faisait éprouver des sentiments nouveaux, il avait déjà eu de la peine et ce n'était rien de semblable. Masaki le ressentait au fond de lui, cet appel comme après avoir mangé trop de sucre, le corps demande d'évacuer le surplus d'énergie. Une explosion d'énergie venant du garçon balaya la salle envoyant voler poussière et tissus avant de les faire tourbillonner autour de lui.

Lorsque la poussière redescendit autour de lui, le garçon ne tenait plus l'épée en bois, mais un katana de couleur blanche duquel pendait un ruban bleu, un dragon noir lui était aussi apparu sur le bras gauche. Ses yeux étaient fermés mais pourtant il pouvait voir la jeune fille devant lui, il distinguait aussi des formes au loin, comme sentir une odeur venant d'une direction mais ne pas savoir d'où précisément. Il ouvrit les yeux et se jeta alors sur le vieil homme sans avoir sortie l'arme de son fourreau. L'homme l'arrêta avec un léger sourire avant d'entendre le cri du gamin et d'être projeté par une plus grande force contre l'un des murs.

« Tu as maintenant trouvé ta raison. » lui dit alors le vieillard en s'approchant de lui. Il disparut alors de devant lui et sa vision devin flou avant de n'être que noir.

Il ne se réveilla qu'une semaine plus tard sous un plafond inconnu, en se redressant il vit le katana et réalisa alors que ce n'était pas un rêve. Sa vie à l'académie avait déjà commencé, sont but ? La retrouver !

Une vie de Shinigami

Etape 1 : Shikaï

Deux semaines avaient déjà passé depuis son entrée à l’académie, autant dire qu’il s’était presque intégré aux effectifs de la division, enfin intégré, c’était un Shinigami débutant et la plupart des autres étaient jaloux, ayant dû traverser eux des test écris, physiques très poussés, lui avait été pistonné par le capitaine. De plus le fait que le lieutenant de la division l’entrainait personnellement ne leurs plaisaient guerre, mais il faisait avec, supportant leurs regards comme il l’aurait fait en se montrant avec Illéa, il n’avait pas peur. Dès son premier jour il avait réussi à faire venir son zanpakuto mais c’était une tout autre épreuve qui arrivait, le shikaï.

« Aujourd’hui, tu va apprendre à travailler l’énergie spirituel » encore un nouveau truc inutile pensa-t-il lui qui en deux semaines n’avait pas sorti l’arme de son fourreau. Elle plaça alors une pastèque au milieu de la cour avant de revenir se mettre à côté de lui. Moitié attentif, il regardait tout en boudant comme un gosse ‘Qu’est-ce que je peux me faire chier …’ mais elle se mis à lever le bras, index en avant et à le rabaisser en visant la pastèque.

« Hado ni … Senko ! » une lueur rougeâtre sortie alors de sa main pour éclater la pastèque, il en était estomaqué. Les shinigamis n’étaient peux être pas si nul que ça finalement. Elle lui indiqua sa place et changea la pastèque avant de partir et le laisser seul. Il était tout excité de faire pareil, lui qui il y’a encore 3 semaines ignorait tout de ce monde il allait faire de ses mains des lanceurs d’artifices.

Il pointa alors sa main vers le haut et tout en la descendant en direction de la pastèque hurla « Hodoni senko » mais rien ne se passa de plus qu’un oiseau qui vin ce poser sur la pastèque. Dépité, il regarda le volatile avant de soupirer « Vous êtes dures là … ».

Il y passa la journée, les yeux rivés sur la pastèque, le bras droit commençant à lui faire mal, il s’arrêta et regarda le clair de lune, elle était en croisant, mais ça lui rappela cette nuit, cette phrase … « La lune est pleine, on peut voir même la nuit alors … » il leva le bras vers la lune, le regard emplie de tristesse maudissant toujours ce moment, maudissant cette nuit mais son visage lui apparut doux et tendre comme toujours lorsqu’elle le regardait. Il baissa doucement le bras et chuchota « Hado ni Senko » le bout de son index s’illumina alors d’une lueur rouge qui le surpris et il trébucha en arrière ce qui le fit tomber tout en entendant une grosse explosion. Fière de lui il se releva aussi vite pour voir la pastèque explosée mais ce qu’il vu ce n’était autre que le mur d’enceinte qui était en miette derrière la pastèque et un visage le regardant par ce trou.

« Regarde ou tu tires couillon ! » lui lança alors le shinigami de garde avant de s’essuyer le visage plein de sui et de repartir.

Dès le lendemain, Akari l’aida pour sa méditation, elle le fit assoir, katana sur les genoux et elle lui donna un seul ordre, trouver son nom. Le nom de qui ? Vous savez comme parfois les gens donne des ordres totalement débile pour voir si on peut arriver à en sortir un sens plus ou moins caché, et bien ce n’était pas le cas cette fois-là, en effet elle voulait qu’il trouve un nom alors il lui en donna un.

« Pakuchi ! » dit-il en ouvrant un petit peu l’un de ses yeux, juste assez ouvert pour voir le bâton s’abattre sur sa tête. « Ca fait mal ! » « T’as qu’a pas essayer de te payer ma tronche ! Cherche au fond de toi baaaaaaaka … ».

Il reprit alors sa méditation, cherchant un endroit paisible ou se visualiser, mais tout ce qui lui vin à l’esprit vu cette grotte ou enfant il allait jouer avec son amie, une grotte remplie de diamants bleu qui reflétait le ruissellement des eaux. Il s’était promis qu’un jour il y retournerait et d’un de c’est joyaux il lui en ferait une bague. Mais le calme d’antan n’était plus, au milieu de cette grotte planais un nuage de cendre noir qui épousait la rivière comme un serpent se cache dans une rainure. Un serpent ? Non, les serpents ne volent pas et là le nuage planait dans un petit bruit d’air battues Masaki se rappela alors qu’il devait trouver un nom alors il lui demanda :

« Quel est ton nom, dragon ? » un long silence se fit entendre avant qu’une voie se fasse entendre « Il est d’usage de se présenter avant de demander le nom de quelqu’un gamin … » un sourire illumina le visage du gamin, il avait une idée derrière la tête.

« Je suis Masaki et à en croire ce que je voie … Tu scouate chez moi non ? Alors soit on devient bons amis soit j’te mets à la porte ! » une phrase que la forme n’avait pas appréciée car elle se manifesta devant ses yeux, une tête de dragon sortie des cendres et s’arrêta quelque centimètres devant son visage avant de lui cracher un petit nuage de centre en pleine figure. Le gamin sourit de plus belle et lui caressa le menton comme un enfant ferait avec un chien.

« Bien, alors quel est ton nom l’ami ? » le dragon arrêta alors de gesticuler sous les caresses de l’homme et sorti le reste de son corps, les cendres devenant alors ses pattes, son ventre puis ses ailes gigantesques qui finirent par empêcher la lumière de passer.

« Hainoryu ravi de faire ta connaissance jeune shinigami, puissions-nous dévorer ensemble jusqu’à la fin des temps. »

Masaki ouvrit alors les yeux et se releva zanpakuto à la main. Il avança vers son lieutenant, elle avait pris place pour le regarder dévoiler son shikaï. Il sortit la lame étincelante de son fourreau mais avant même d’avoir eu le temps de contempler sa beauté, il l’appela.

« Sakeru Hainoryu ! » (Dévore, Dragon de Cendre) et une énorme lame remplaça la fine lame d’avant, si grosse qu’elle semblait d’une lourdeur impossible à soulever. La garde noir lui donnait un air sombre alors que la lame pourtant immense renvoyais la lumière avec la brillance d’un diamant. Il ne reçut aucune félicitation pour cela, seul le sourire du lieutenant lui indiqua qu’il était sur la bonne voie, il leva alors la tête et avec un grand sourire laissa échapper un murmure.

« Attend moi encore un peu … »


On dit que le temps peu tout arranger ... Qu'il fait tout oublier mais, en combien de temps ? Le temps passé en tant que Shinigami lui avait paru une éternité mais, il n'avait pas pris une ride et était resté aussi jeune que beau. Il s'était amélioré bien sûre et son entente avec les autres était devenu meilleure, ils se comprenaient et arrivais presque à parler rien qu'en se lançant des regards. Sa maîtrise de la nécromancie et des sorts d'attaque avait quelque peu augmentée elle aussi, sans devenir exceptionnelle, elle se limitait à une dizaine de sort pour le moins basique qu'il essayait parfois d'améliorer. Là où il était devenu assez fort était dans l'art de manier l'épée, il arrivait presque à tenir tête au capitaine en Shikaï mais celui-ci avait un autre atout, le Bankai, l'ultime libération du Zanpakuto lui donnant un pouvoir pouvant dépasser l'entendement d'un simple shinigami.

Masaki était devenu troisième siège et était en tête de peloton pour le commandement de la division, mais la loi veut que celui qui tue un capitaine prenne sa place au sommet de cette division, elle veut aussi que pour prétendre à cette place on dispose d'un Bankai, et c'est ce qui se passa ce jour-là, ce n'était pas Masaki qui fit la démonstration de son Bankai mais un homme à l'air peu commode et en deux minutes s'en était fini, le rêve, le respect, l'affection, le vieux ...

La mort l'appel, elle attire irréfutablement ceux qui avaient de l'affection, elle pousse ceux dont les instincts sont les plus forts à combattre pour ce en quoi il croit, que ce soit juste ou non. Masaki s'isola de la division pendant quelques semaines, puis au bout de deux mois il revint, le 3ème siège avait été donné à un autre mais, dans son regard on ne voyait aucune haine à l'égard de ce shinigami, au contraire, c'était du respect qu'il lui adressait, ses yeux changèrent lorsque cet autre homme approcha.

« Tiens ... Le gamin est revenu, fini de bouder et prêt à rentrer dans le rang ?! »

Un sourire s'esquissa sur le visage de l'homme aux cheveux de neige, qu'un capitaine ose narguer de la sorte un de ses propres hommes, sans même que cela soit de l'humour ou une quelconque taquinerie mais seulement du rabaissement devant les autres, c'était une chose impardonnable. Il avança alors vers lui et le provoqua en duel pour la place de capitaine. L'homme crus alors qu'il voulait se suicider et mourir comme son maître, alors il n'eut guerre d'hésitation.

La confrontation eu lieu, au beau milieu d'une place déserte, la division au complète était réunie pour admirer ce combat entre leurs estimé ancien 3ème siège et le capitaine actuel et les encerclait comme une bande dans une bagarre de rue. Afin de se moquer de lui, Masaki commença par de petits gestes de la main.

« Hado no sanjû yon Inseki ! » une petite pluie de météorites tombât alors sur le capitaine qui dégaina son arme pour les bloquer une à une puis avant de s'arrêter là, Masaki repris en levant le bras et en le descendant en direction du capitaine « Hado ni Senko » et l'éclair rouge parti se loger dans l'épaule de l'homme en face de Masaki, sans grands dommages vu le peu de concentration dont il avait fait preuve.

Il sorti ensuite son zanpakuto et commença le combat, les deux lames s'entrechoquaient dans un bruyant échange de coups tout en accélérant la vitesse de leurs attaques et de leurs esquives. Très vite, on ne les voyait plus qu'au moment des impacts, leurs vitesses étaient égales, ils passèrent donc au niveau supérieur. Le capitaine activa son Bankai et la faux s'abattit sur le gamin, découpant la chair de son bras gauche. Il fit un saut en arrière afin de prendre ses distances face à ce monstre qui venait de se montrer, c'était comme ça qu'il avait tué le vieux ... Avec ce pouvoir et cette force. Il se releva, la main droite sur le bras gauche, pendant le long de son corps comme une branche cassée sur un arbre. La tête droite il lança alors un regard à son adversaire, un regard qu'il voulait agressif et sûr de lui.

« Il y a un endroit en dehors de la Soul Society qui m'es chère, dans ce lieu, je peux méditer, réfléchir tranquillement et m'isoler du monde. C'est un endroit merveilleux, la tanière du loup. Mais, savez-vous ce que j'ai trouvé en plus du loup ? » il esquissa un sourire avant de pointer son arme devant lui « ... un dragon ... »

Une vague d'énergie satura l'air, un reiatsu bleu sorti de son arme, alors qu'un autre reiatsu noir sortait de son arme et les deux se mêlant s'élevaient dans les cieux.

« Bankai ! » une explosion cette fois si, projetant des cendres dans tous les sens, tel un volcan en éruption, elles volaient partout tombant ensuite comme une neige grisâtre. Masaki avait maintenant deux ailes noires dans le dos, comparable à celle d'un ange déchus, la lame de son Zanpakuto était-elle devenue noir comme la nuit et semblait même absorber la lumière autour d'elle.

« Lorsque nos yeux admirent les diamants, on oublie ce qui se trouve autour ... » pendant un instant, le silence s'imposa en maitre face à la cohue qui se trouvait dans les gradins improvisés de gens regardant un combat à mort entre deux êtres qui pourtant partage le même camp. Quelques mots sortirent alors des lèvres sèchent et tachées de sang de Masaki, son bras était recouvert de tissu, c'est vrai que ses vêtements avaient changé, mais la pluie de cendre ne laissait entrevoir que des parties de son nouvel habit. « Kitoku no homeru Hairyu ! ».

Les particules en suspension dans l'air formèrent alors un cercle au-dessus des deux combattants les faisant disparaitre aux yeux des supporters comme un vers s'enfermant dans un cocon. A l'intérieur, l'obscurité régnait mais le cocon qui paraissait parfait de dehors était composé de petits trou brillants, comparables à des diamants reflétant la lumière de l'extérieur à l'intérieur. Le capitaine était sur ses gardes et un échange de coup s'opéra dans la plus grande discrétion, bien entendu, de l'extérieur personne ne pouvait se douter de la situation dedans. Quelques minutes plus tard, le cocon commença à craqueter, des fissures partant du sol jusqu'au haut de ce cercle noir, explosant ensuite en millier de petites cendres noires. Par terre un homme, coupé en deux et au-dessus de lui, Masaki, tentant de reprendre son souffle en tenant les blessures qu'il avait un peu partout sur le corps. La division avait un nouveau capitaine, entaillé et saignant comme un taureau après une corrida mais, il tenait debout les ailes partants.

Toujours d'actualité ?

Présentation archivée.