Miki Otome en cours ~

Description psychologique:

Ce que je suis au fond de moi…Ce que les gens pensent voir en me regardant de l’extérieur ? Devrais-je plutôt être gentille ? Ou peut-être plus froide. Dans un monde ou chaque type d’être humain existe, je pourrais très bien me placé dans la catégorie de ceux qui sont beaucoup plus neutre qu’ils ne veulent le faire croire.

La notion du bien, et celle du mal. Ces choses ne s’accordent pas assez dans ma tête. Ce qui existe en bien se veut d’être doux, admirable et de confiance. Le mal lui ne vaut que la souffrance, la trahison et toutes ses choses dites malheureuse. La confiance est une vertu que peu de vie humaine connaissent. La confiance d’un mal est tout aussi réelle. Elle peut-être accordé à un enfant ou au plus beau des salauds. Alors pourquoi essayer de donné un écart entre deux chose qui peuvent ce relier ? Un être démoniaque pourra très bien éprouvée de l’amour ou de l’amitié envers d’autres personnes. L’existence du bien dans son cerveau existe mais simplement sous quelques conditions. Alors que celui du simple d’esprit est d’être à la base gentille avec tout le monde même ceux qui le réprimandent. Pour moi il n’existe pas de mur entre ses deux sentiments. Les murs qui ont été construit, on été construit par des gens qui ce détestent et donc pense pouvoir ce donner un camp, une cause à laquelle ce rallier. Alors qu’au final tout êtres qu’ils soient démoniaque ou simplet peut ce reporter à n’importe quels notions de ce qui est bien ou mal. Et le fait d’être plongé dans une neutralité certaine pourra donc justifié tout mes choix futurs.

Il n’y a pas de parade dans mon esprit. La rue que je me suis tracer ne vie pas ou plus. Cette rue qui était auparavant pleine et joyeuse, n’est plus que l’ombre de moi-même, quelques choses de terne et de vide. Tous les espoirs, toutes les vies que j’ai pu y rencontré, toute ses choses éphémère et sans vraies importance au final, ne sont plus que des souvenirs lointain. Le genre de souvenir qu’on ne se recasse pas. Je ne suis pas quelqu’un qui vis dans le passé et je ne vois rien de l’avenir. C’est ce qu’on appelle vivre au jour le jour sans vraiment se soucier du reste. Mais quelqu’un qui vie au jour le jour n’est pas forcément quelqu’un de serein dans sa tête

La sérénité est une qualité que peu de gens arrive à contrôler. Le fait de ne jamais être frustrer pour un oui ou pour un non. Un sentiment si calme. Comme si aucun malheur au monde ne pouvait exister. Comme une espèce d’indifférence qui n’en serais pas une pour la personne concernée. Pourtant beaucoup diront que l’indifférence ne mène nulle part. Mais elle amène à une certaine sérénité qui n’est pas pour déplaire. Le monde peux fermée les yeux autant de fois qu’il le souhaite, mais ne pourras effacer toute la souffrance et la haine qu’il a pu faire endurer durant toutes ses années. Ses décennies. Et même pour les siècles à venir. Je pourrais fermer les yeux à n’importe quel moment de la journée, de la nuit. Des images sans intérêt, des terrains vastes et sans confusion. Y a-t-il un mot pour donner un sens à tout cela ? Les sens, ses choses qui nous servent à communiquer autours d’un point qu’il soit le toucher, la vue, le gout…Elles valent plus qu’une simple parole. Même celle de dieu ne peux valoir une tel valeur.

Et pourtant avec un être tel que moi, vous ne pourrez communiquer avec rien d’autre que la voix. Je ne suis pas l’être exquis qui aime gouter aux choses de la vie. Je suis plutôt celle réserver ou peut-être totalement invisible. Seules mes paroles comptent, mes gestes ne sont rien comparés à mes paroles. N’espérez pas un jour pouvoir sentir la chaleur d’une main douce, puisque la mienne resteras éternellement froide et même au contact de la plus forte des flammes celle-ci ne pourras jamais fondre. Tout mon être est froid, mon esprit ne s’ouvre pas au plaisir de la vie. Elle s’effrite sous la pression des morts. C’est comme la guerre, tout le monde y passe. Alors devrais-je être la seule exception à la règle ? Je ne suis pas un être passionnée ni même amoureux. Les liaisons ne sont pour moi rien de plus qu’une étape optionnel de la vie, surtout quand on est une âme.

Les auras cachée, celle qui ne ce dévoile jamais aux grands jours. Cette espèce d’adrénaline qui nous transperce de part et d’autre à certain moment de notre vie. Celle qui nous donne la possibilité d’être une autre personne, le total opposé de vous-même. Cet effluve de sang qui vous parcourt les veines comme si elles allaient explosée pour de bon. Le mot plus souvent employer est le « pétage de câble ». Mais pour moi tout cela est différent. Une résurrection, comme une nouvelle peau. Cette sensation d’avoir emprise sur n’importe quoi tout en surprenant la cible. C’est si bon de pouvoir ce sentir quelqu’un d’autre, celui qu’on n’est pas lorsque l’on tien à s’éloigné de soi-même.

Pourtant, il y a toujours en nous ce petit vide qui espère être comblée. Chaque être humain peut-il avoir sa chance après tout ? Les sentiments qu’on ne voit pas et qu’on n’espère pas montré. J’ai été humaine et j’ai ressentit ce qu’une âme n’a pas besoin de ressentir. Je ne peux rien affirmé pourtant. Je n’ai pas vécu assez longtemps pour faire croire à une autre âme de 1000 ans ce qu’il à, a savoir.