Suzaku Hasekura
Jû-san Ban Taï Taïchô || Hiémal incarnat
Messages : 4
Date d'inscription : 03/03/2010
Feuille de personnage
Niveau: 16
Rang: E
Expérience:
    (0/200)
 | Sujet: Ice wind ¤ Suzaku Hasekura ; Come on.  Mer 3 Mar - 2:26 | |
| » Vous Même «
Prénom :
Suzaku conviendra (=.
Age :
Proche des 18 printemps.
Expérience RP :
Plus ou moins un an et demi, je n'ai pas forcément accordé grande attention à mon calendrier ce jour-ci.
Un avis sur Bleach Shinigami Age :
Il m'a tout simplement attiré. Même si ce n'est pas très raisonnable de ma part. Il a ce qu'il faut, où il faut. Puisse l'avenir lui permettre longévité.
Comment vous avez trouvé ce Forum :
Via le top Soul Society, c'est un remarquable filon !
» Votre Personnage «
Nom :
Mon étendard et ma notoriété flottent en grande partie grâce aux armoiries de ma famille. Étant l'une des plus nobles du monde des esprits, nul n'ignore la hauteur de mon rang. Ce qui m'interdit bien des relations sociales, victime de préjugé. Je suis l'héritier des Hasekura.
Prénom :
Personne n'en vient à m'interpeller par ma dénomination, me contraignant à le proposer. C'est un frustration dont on s'accoutume à terme. Je ne perd toutefois pas le souhait de voir, une aurore, une audace folle m'interpeller Suzaku aux simples prémices d'une rencontre.
Age :
Mon enveloppe préserve 24 années de vie, tandis que mon esprit en cumul plusieurs centaines. Je ne suis pas un capitaine récent, malgré mes traits aux allures bien juvéniles.
Sexe :
Gigantesque. Mmh, plus sérieusement, m'étant exprimé au masculin jusqu'à maintenant, j'ose espéré que cette question n'est qu'une farce. Au quel cas je crains d'avoir une intelligence supérieur à la votre.
Race :
Je suis une entité des plus singulière. A proprement parlé, à la source de toutes choses, je suis un âme ayant choisit une carrière militaire. Les lois veulent qu'on se dissocient, j'appartiens aux shinigamis.
Rang / Grade désiré :
Je ne compte plus mes hivers de fonction. J'ai à ma charge toute une division, une famille, que l'on reconnait comme la 13éme armée de la cour.
Description Physique :
Prisonnier des glaces, son esprit n’est en rien le reflet de son corps. Sa physionomie apporte pourtant du crédit à sa philosophie pour peu que nous soyons pris dans son tourbillon de sérénité. Avant d’éviter tout écart, j’explique mes lignes présentes par la descriptions de son enveloppe charnelle, non spirituelle, qu’il nous sera donné de voir avec le temps. Que déblatérer sur sa conception physique ? Le haori de capitaine empêche souvent de définir une silhouette ombrageuse. Faute de ça, on reconnaît le capitaine sa coiffure. Sa tignasse à la teinte ébène est une figure désordonnée, incompréhensible qui s’accorde au charisme du personnage avec un dédain hallucinant. Dans sa modeste allure, ses cheveux reste figés de l’aurore au crépuscule sans que cela ne lui donne l’air d’un ahuri. C’est un peu comme de l’art, on ne cerne pas, mais l’on apprécie, notamment lorsque le soleil les inonde de ses rayons, leur offrant alors des reflets d’opalines. D’autant plus quand une brise légère vint à flirter avec eux dans une valse posée et sereine. Souvent, ses mèches lui tombent devant les yeux et viennent encadrer son visage d’un liseré sombre. Le charme lui étant conféré devient alors déroutant et gênant pour toute présence masculine dans les alentours.
C’est un peu comme ses iris. Dominés par deux sourcils d’une esquisse et d’une courbure parfaite, ils n’offrent pas la démesure d’être hors du commun, encore moins d’une teinte avenante. Ils sont d’une frugalité presque affligeante. Sombre comme la nuit, ombrageux frère des ténèbres. Des pupilles qui s’avèrent terrifiante lors de ses furies, ses colères ou ses vengeances. A l’accoutumée, néanmoins, il y règne une flamme chaleureuse et généreuse. Une légère lueur de facétie et de sincérité revigorant même le plus chagriné des morals. A vrai, ses yeux ne sont pas une chose que l’on remarque, quand bien même, son regard transmet beaucoup, les parfaites fenêtres de son âme. Ils marquent d’ailleurs un contraste intéressant avec la continuité de son visage. Celui, d’une blancheur neige semble immaculé, une connotation d’innocence qui fait qu’on l’imagine très mal militaire. C’est tout ce qui fait son charme, sa légèreté, l’insouciance qui guide ses pas. Souvent ses pommettes se creusent sous un sourire enthousiaste et encourageant. Hélas, à l’instar de ses yeux, dans ses moments de colère, ses rides souriantes deviennent plus mesquine, loin de l’idée qu’il porte un masque, mais ses principe lui ont apprit à gagner le sérieux lors des situations qui l’incombent.
Il est d’une prestance apaisante et reposante. C’est l’une des raisons pour laquelle il n’aime pas avoir à se battre devant ses subordonnés, il est fier de ce que son attitude leur apporte. Lors d’un combat, sa constriction à ôter la vie le rend plus sombre, glacial. D’un point de physique, il est méconnaissable. Si les amples vêtements des lois shinigami empêchent de définir sa carrure, si l’un – l’une, entre nous – venait à lui les retire, il pourrait observer une musculature nerveuse, un buste vigoureux. Les entrainements physiques qu’il a subit dans sa jeunesse laissent pour vestige cette physionomie avantageuse et lui conditionne une force physique insoupçonnée. Les réactions sont très souvent incrédules, lors des rares occasions où on le voit combattre à l’aide de ses poings. Car dans son charisme juvénile, tout laisse à croire qu’il est intouchable. Comme un bijou de porcelaine, à la moindre tremblote, il semble capable de s’effriter. Une apparence fragile que ses adversaires voient quelques secondes, avant qu’il ne devienne plus concentré, plus ténébreux.
Que dire d’autre, sinon que Suzaku est probablement l’un des capitaines les plus avenants dans son apparence, c’est souvent l’idole des jeunes shinigamis. Il a l’allure d’un sage facétieux, c’est ce qui le rend si charismatique.
Description Psychologique :
Ses traits spirituels n’ont pas de mines remarquables, pas de manière, sans personnalité remarquable. Ce n’est pas quelqu’un que l’on retiendrait pour son authenticité, surtout pour son intégrité. Sa nom lui confère d’une stature intouchable qu’il n’aime pas. Si ça famille est une des plus nobles de la SS, même si il en est l’un des 13 plus imminents représentant, il n’en demeure pas un être vivant. C’est une denrée que l’on remarque immédiatement chez lui, son humilité. Il n’a que cure des apparences, des rumeurs ou des noms. Il part du principe que toutes entités est sur terre dans un but définit et que la finalité de celui-ci doit être la principale ligne de conduite d’un homme. D’un côté parallèle, il a de l’estime dans le respect des promesses et des convictions. C’est une chose capitale pour lui. Un homme trahissant son allégeance est une tare, un homme égaré, qu’il faut aider si son entêtement ne le tue pas. Suzaku estime son honneur dans la protection des innocents et des siens, c’est certes utopique et il sait pertinemment que cet Eldorado ne se réalisera pas de son vivant. Mais c’est sur son sentier qu’il veut mourir, sur le chemin d’un monde sans crainte. Son arme ne se brandit que dans cette idée, elle ne s’abat que pour servir cette conviction.
Au quotidien, l’héritier des Hasekura est une vraie perle doublé d’un capitaine consciencieux. Il appliqué et ponctuel dans ses travaux, outre cette idée, c’est quelqu’un de relativement serein, voir insouciant. C’est un contraste amusant, de voir cette même insouciance se fonder avec sa rigueur, cela lui confère une efficacité surprenante, doublé d’une légèreté apaisante, qui fait qu’il n’a jamais un ton plus haut que le l’autre et que sa division à un rendement très élevé. C’est un capitaine relativement attentionné, qui aime tisser des liens entre lui et les membres de sa division. Il fait fit des lois et permet même à ses lieutenants de l’appeler par son prénom, chose qu’ils refusent tous et qui le fruste relativement. Généreux et souriant, c’est quelqu’un de sincère qui n’hésite pas à se dévouer et à rendre service. Sa courtoisie est à la hauteur de sa gentillesse, c’est quelqu’un que l’on apprécie très vite par sa sérénité. Mais méfiez vous de l’eau qui dort, sous ses aspects d’ange, Suzaku est très très facétieux et adore rire, s’il peut vous faire une blague, une farce, il n’hésite et rigole souvent plus que vous de sa propre blague. Il se mue en un véritable chambreur une fois qu’il devient intime avec les personnes, n’y voyez rien de bien méchant, ne voyez pas non plus le gros lourdingue.
Hélas, tout lumière à son ombre. Suzaku l’a aussi, et son côté sombre et d’autant plus surprenant quand on connaît sa bonté naturelle. S’il tente de privilégier la voie diplomatique tant que possible, si son face à face se montre trop borné, il consentira à mettre à terme à sa nuisance. Dans ses moments là, il ordonne à ses subordonnés de quitter les lieux, les préférant en sécurité et n’assistant pas à la scène qui va suivre. Dans une confrontation, son regard devient glacial, sa voix sifflante et il développe un cynisme insoupçonné. C’est sa manière d’être en colère, sa force spirituelle est d’autant plus remarquable lorsqu’il la libère d’un coup. On ressens alors une froideur inhabituelle venant de son entité. Sa furie est difficile à piquer, mais la vision d’un de ses amis blessés suffit à venir vous faire face en personne. Fidèle à ses principes, il protégera l’honneur de la personne auquel il tient. Il y aura alors relativement peu de chance de trouver sa clémence dans un cas comme celui-ci.
D’un certain point de vu, Suzaku représente parfaitement l’idée de la 3éme division, c’est quelqu’un qui aime vivre pour lui mais surtout pour les autres. Souriant et léger, sa compagnie est souvent recherché, toutefois, son attachement à ses principes peut faire de lui un ennemi particulièrement contrariant.
Histoire :
¤ Chronique d’une âme en peine. ;
1er jour.
Je n’ai aucune idée de ce pourquoi j’écris ces mots. Ni de pourquoi ma main ne cesse de glisser sur cette feuille. Mais depuis qu’elle est partie, il y maintenant un mois, ma vie n’est qu’un souffle glaciale qui balaye mon cœur. Son sourire et son odeur me manque, elle a disparue, elle est retournée à la terre. Existe-t-il un dieu ? Est-ce lui qui dirige les shinigamis ? Si oui, pourquoi l’a-t-il laissé partir. C’était une de ses filles, elle m’a aidé tout au long de ma vie. Ma courte vie. Et elle aussi eut une existence courte. Elle qui s’est réjouit d’être vice-capitaine, sa vie en a été le tribu. Elle disait que j’étais le gosse le plus prodigieux qu’elle eut loisir de voir. Dans 3 mois je passe l’examen pour intégrer la Soul Society, je suis déjà pré-admit à la 13éme division, sa division. J’ai 9 ans, on dit que je suis un prodige. Mais je n’ai plus l’envie de devenir un militaire, je veux être en paix. Elle aurait dût vivre, si elle n’a pas là-bas pour m’y accueillir, je n’irais pas. Cette destinée n’a pas de sens sans elle. Je l’aimais, elle était ma sœur, mon amie.
17éme jour.
Encore un énième matin sans elle, seul… Enfin, plus tant que ça. Kyokû Fubuki m’accompagne désormais. Elle est jolie mais parle peu, ce n’est pas la meilleure compagnie que l’on puisse avoir, entre nous. Mais je me contente, elle pense comme moi. Ah, oui, tu ne comprends certainement pas, tu n’es que le fils de l’encre et du papier. J’ai découvert mon shikai, mon professeur dit que très peu y parvienne à mon âge. Je t’avoue sentir une pointe de fierté. Mon amie me manque terriblement, je me cache encore pour la pleurer, mais j’apprend à vivre. C’est Kyokû Fubuki qui m’a montré à quel point j’étais idiot de pleurer son image, plutôt que d’honorer son souvenir. Je serais un membre de la Soul Society, je deviendrai un haut responsable et je ferais tout ceci en son nom. Je protégerai mes amis, comme elle me l’a apprit. J’aurai vraiment aimé qu’elle voit mon shikai. Il n’est pas très gentil et son effet me donne des frissons d’effroi. Mais je suis certain que je saurai l’utiliser à bon escient et que ma lame sera mon alliée. Mes palettes de sort s’agrandit chaque jour. Je suis bientôt paré pour l’examen !
90éme jour.
J’ai décroché mon diplôme de l’académie des shinigamis ! En seulement deux années d’études, un exploit d’après tous ! Mais bon, certain y sont parvenus en un an et d’autre l’ont déjà fait en deux ans aussi. Bref, ce n’est pas grave. J’ai déjà une place à la 13éme division ! Je suis tellement heureux ! Je suis partis voir Kyôku Fubuki, même elle à difficilement réussi à masquer son envie. Je crois qu’elle en avait assez de s’exercer son des pantins de bois. Je lui est parlé de Bankai, elle m’a rit au nez. De même pour mes professeurs. « Tu le découvriras, n’en doute pas. Mais soit patient. » qu'ils m'ont déclarés. Je ne veux pas être patient ! Je veux devenir fort pour protéger mes amis et les innocents, c’est ce qu’elle m’a apprit ! Je dois faire honneur à ses leçons, que sa mémoire vive dans mes actes, règne dans mes idées.
J’ai reçu mon kimono, juste après t’avoir quitté, je voulais te l’annoncer ! Ce soir je rentre au Sereitei ! Mon capitaine me convoque dans son bureau, c’est étrange, je suis devenu un adulte. Je vais me battre, être payé ! Peut-être même affronter des hollow ! Ca m’enchante autant que ça me terrifie. Mais je dois devenir fort, je vais devenir fort ! Je ne sais pas quand je te rêverai. Tu vas me manquer… Je rêve, je m’attache à mon écriture.
¤ Chronique d’un shinigami. ;
1er jour.
C’est comme il y a très longtemps maintenant. Mon cœur saigne, et j’écris. Je t’ai renommé, tu as dut le remarquer. J’ai beaucoup grandis depuis notre dernière discussion. Et je ne suis plus venu te voir. Pourquoi ? Je suppose que j’avais tout ce qu’il me fallait dans ma division. Mais nous sommes en jour de deuil. Il faudrait que je t’explique tout ce qui est arrivé ces dernières années. Mais ce serait terriblement long, je vais tout abréger. Lorsque je suis sortis du bureau du capitaine, la dernière fois que j’eusse le plaisir de te donner vie, j’avais d’ors et déjà une mission. Mon supérieur voulait mesurer mon activité et mon efficacité dont il avait eut les mérites. Il m’a déporté sur terre et m’a ordonné de surveiller un quartier à haute fréquentation. Il avait raison, les hollow pullulaient ici, un vrai nid. J’ai cru mourir une bonne dizaine de fois. Toutefois Kyôku Fubuki et moi travaillions en tandem. Nos enchainements grandirent à mesure du temps. Notre résonnance était parfaite, les hollow devenait une ballade de santé. J’ai, par force du temps, atteins plusieurs déclinaisons de son pouvoir. Je peux maintenant m’en servir comme technique de déplacement, comme moyen de défense et j’ai réussi à décliner son attaque principale en une seconde. Je crois que les capacités de mon shikai n’ont plus de secret pour moi… Bref. Je suis revenu à la Soul Society longtemps après, mon capitaine semblait fier. Là, ce fut incroyable ! Il me défia, lui même et fut impressionné par mon entente avec mon zanpakuto. Il m’accorda le grade de 3éme siège ! Ce que je suis encore ! La suite est moins marrante, la routine s’est installée. Les missions d’officiers sont palpitantes, mais relativement rare.
Il a 3 jours, mon capitaine est partit seul dans une mission de sauvetage. Aujourd’hui, il est revenu… Sans un souffle de vie. Tout mes mentor meurent, je suis adulte maintenant, pourtant, ce sont bien mes larmes qui font couler ton encre, excuses-moi.
48éme jour.
Je reviens te voir. Les funérailles de notre ancien capitaine furent terribles, toute la Soul Society en est secouée. J’en tremble encore de chagrin parfois. Mais j’ai un autre secret à te confier… Le Bankai dont je t’avais parlé il y a quelques années. Je l’ai atteins. Je crois que le déclencheur de mes pouvoirs est la tristesse. Le malheur me rend plus fort, j’ai un esprit macabre. J’ai encore du mal à saisir toutes les subtilités de mon arme, je sais simplement qu’il est redoutable. Son pouvoir m’offre des possibilités infinies. J’hésite à me proposer pour remplacer mon capitaine. Je n’ai ni sa force, ni sa sagesse. Je suis égaré, je me confie à toi. Mais tu ne sauras jamais me conseiller. Je crois qu’il faut que je songe sérieux à m’entrainer. Lorsque je serais capable de manier mon bankaï, alors je tenterai ma chance pour les fonctions de dirigeant. Après tout, la 13éme division est ma famille, je les aime tous autant qu’ils sont. J’ai respecté les notions de ma maîtresse, écouté Kyokû Fubuki, inculqué les notions de mon capitaine. Peut-être qu’un jour je serais un grand shinigami. Pour le moment, j’ai un zanpakutô à tirer de sa rêverie. Souhaites moi bonne chance, elle va hurler.
352éme jour.
C’est dans une excitation non feinte que je te gribouille ces quelques mots ! Je vais prochainement passé le test pour les fonctions de capitaines. Je l’ai évoqué aux membres de ma division, tous se sont montrés surpris que j’ai atteins le Bankai, mais tous m’ont encouragés à le faire. Ca fait chaud au cœur de se sentir si épaulé. Je dois te remercier toi aussi ! Tu as été un compagnon remarquable depuis le début de pitoyable existence. J’atteindrai bientôt un nouvel objectif. Je pense qu’on ne se reverra plus jamais. Adieu, plume et parchemin, ton attention m’a fait chaud au cœur. Mais c’est maintenant à moi de prendre ma destinée en main !
¤ Chronique d’un capitaine ;
1er jour.
Par deux fois, je t’ai présenté mes adieux, par trois fois, je reviens à toi. La tristesse ne ronge pas mes veines cette nuit. Je suis un homme heureux, je protège les miens maintenant. L’honneur que je devais à mon amie, à mon capitaine est sauf. J’ai tenue leurs convictions, porté leurs étendards, il me faut maintenant avancer par moi même. Je dois tourner la page pour ne pas vivre avec des fantômes. Les générations à venir me prendront comme modèle pour certain. Il est temps que je vive pour moi, je dois me monter fort et fier. Retrouver le sourire et la sérénité. Ce que je fais là, mon ami, ce sont des adieux. Une partie de moi te dit à jamais. L’autre viendra se présenter quand elle aura reprit les rennes. Je dois me redécouvrir. Tant d’années ont passés, j’ai vu les membres de ma division s’échanger. Des morts, des retraites, des démissions. Des collègues capitaines disparurent aussi. C’est un cycle de la vie, ça me chagrine mais me conditionne. Tant que je serais là, le feu de la 13éme division brillera. Je dois vider libérer les esprits de mes être chers, et garder leur souvenir dans mon cœur. Tu y as une place, car tu es moi. Tu es tout ce que je n’arrive pas à dire aux autres, ma vie n’a pas été si catastrophique que ça dans l’ensemble. Une carrière militaire entraine forcément des morts. Je n’avais pas réalisé que ce serait autant douloureux. Mais je suis fort désormais. Kyukô Fubuki est ma compagne, notre résonnance est parfaite. Même si son caractère est parfois atroce, je l’aime aussi. Enfin, je vais m’arrêter ici. Adieu.
21éme jour.
C’est fait. Je te présente mon renouveau. J’ai trouvé ce qui était important pour moi : Les miens. C’est relativement proche de mes anciens idéaux, à ceci près que les anciens ne m’étaient pas propres. Je suis capitaine de division depuis plusieurs décennies, je veux le rester plusieurs centenaires. Je sais qu’avec la volonté, la force et la bravoure je peux y arriver. Mais j’aurai besoin d’amour, d’affection. La source sera l’ensemble des shinigami. Mes frères et mes sœurs. Je veux veiller sur eux, comme eux me permettront de vivre. Au fait, je ne me suis jamais présenté. Je suis Suzaku Hasekura, capitaine de la 13éme division du Gotei13.
Dernière édition par Suzaku Hasekura le Jeu 4 Mar - 2:09, édité 13 fois | |
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