Bleach Shinigami Age
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 Absalon Ehlinger

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Absalon Ehlinger
Cuarta Espada - L'Oubli
Absalon Ehlinger


Messages : 686
Date d'inscription : 13/03/2010
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MessageSujet: Absalon Ehlinger   Absalon Ehlinger Icon_minitimeDim 14 Mar - 15:12

» Vous Même «

Prénom : Alexandre
Age : 18
Expérience RP :
Un avis sur Bleach Shinigami Age : Un design sympathique, un scénario prometteur si correctement développé et surtout pas de personnages du manga !
Comment vous avez connu ce Forum : Top Sites

» Votre Personnage «

Nom : Elhinger.
Prénom : Absalon.
Age : Un peu plus de huit cents ans.
Sexe : Masculin.

Race : Arrancar.
Rang / Grade désiré : Espada.
Voie: Oubli

Description Physique :

Si Absalon ne possède ni la carrure massive d’un de ces colosses imposants, ni le calme serein des puissants ni même les regards enflammés des bêtes sauvages, il n’en paraît pas pour autant fragile ou faible. Son visage émacié, celui d’un homme ayant tout vu et tout vécu, sa bouche souvent boudeuse et son absence significative d’yeux ; tout ces traits lui confèrent une aura de puissance contenue et maîtrisée. Il n’aime pas être emmerdé et tout son corps le revendique.
Son attitude fait par ailleurs penser à ces vieux corsaires grincheux qui passent la plupart de leur temps à râler mais qui n’en restent pas moins sympathiques. Ce qu’est Absalon au final, un faux vieillard bougon et solitaire qui sait néanmoins se montrer attachant lorsque l’envie lui en prend. Sa dégaine de vieux con, qui fait sa fierté, est tout de même rehaussée par quelques touches d’humour prêtant à sourire si l’on en comprend le sens réel. Il fume la pipe de prime, manière pour lui de témoigner de son grand âge. Il n’est pas rare de le croiser le calumet coincé entre les dents en train de tirer une bouffée un air réjoui et rêveur sur le visage. L’autre façon qu’il a de se faire remarquer s’incarne dans ce chapeau de paille qu’il porte sur le crâne quasi constamment. Une telle coiffe parfaitement incongrue dans un monde sans soleil trouve sa signification dans une plaisanterie que lui seul comprend.


«La lumière me pique les yeux, d’où le chapeau.»

De par cette réponse d’humour noir, il souligne ironiquement son absence d’organes visuels. Ce « détail » (comme il l’aime à l’appeler) est par ailleurs la chose la plus frappante chez lui, le chapeau et la pipe en paraissant presque anodins à coté. Ses orbites sont effectivement recouverts par les restes de son masque d’Hollow le privant par la même occasion de regard. Les yeux sont ce qui confèrent le plus d’humanité à un visage, en n’en possédant pas, l’Espada acquiert une étrangeté bizarre et extérieure, une présence singulière et dérangeante. Plus inquiétant encore, ce regard invisible, cette humanité disparue en même temps que la vue, tous ces manques ne rendent pas ses traits moins expressifs. Sa bouche a pris le relais des yeux dans l’expression de ses humeurs. Ses lèvres souvent pincées sur une moue irritée, peuvent parfois se modeler dans la création d’un sourire et mimer la joie et le rire. Son visage est la preuve effective qu’il est possible de vivre loin des frontières de l’humanité.

Mais en dépit de cette monstruosité latente, du fait qu’il soit un guerrier avant tout également, ses gestes ne traduisent aucun bellicisme. Les deux sabres portés à sa hanche gauche, dont l’un semble particulièrement redoutable, ne suffisent pas à faire disparaître cette apparente illusion de pacifisme. Le fait qu’il puisse tout de même se déplacer rapidement et aisément sans avoir l’usage de la vue n’a en revanche rien de franchement rassurant.


Avatar par Geofffffff

Description Psychologique :


Lunatique. C’est le premier trait de caractère qu’on évoque en parlant d’Absalon. Il n’est pas rare de le croiser joyeux pour le voir s’assombrir quelques minutes plus tard sans que rien n’est justifié un tel changement. En réalité ces sautes d’humeurs typiques des vieillards acariâtres peuvent être expliquées assez simplement. Un rien l’énerve. Un détail que personne ne remarque, un mot mal choisi, tout est bon pour l’agacer et lui pourrir le reste de sa journée. C’est une attitude difficile à supporter pour ceux qui le côtoient mais bon gré mal gré, on en vient à s’y habituer. Les plus patients parviennent même à ne plus y faire réellement attention, ou alors à peine plus qu’un bruit de fond irritant.

Toutefois être lunatique ne signifie pas céder à ses moindres caprices. Ainsi possède t’il un sens de l’honneur et des responsabilités plus qu’exacerbé, et sa mission unique (bien qu’il préférerait souffrir mille morts que de l’avouer) est de se dévouer pleinement à l’Espada. De ce fait il n’hésite pas à éliminer ceux qu’il juge comme un danger pour lui ou les intérêts du Hueco Mundo. Qu’on ne s’y trompe pas, il ne tue pas par plaisir ou cruauté mais bien par nécessité. Il n’aime pas se battre, encore moins ôter la vie, mais d’un naturel pragmatique, ses obligations passent largement avant le reste. Etant pourtant aussi très fier, il lui arrive dans des rares cas de perdre son sang froid et d’agir au ressenti direct et à l’impulsivité.

Autre caractéristique essentielle, Absalon parle beaucoup. Peu importe qu’il soit en colère, déprimé ou joyeux, sa verve bien que changeant de ton reste toujours aussi productive. On note d’ailleurs qu’il possède un panel assez développé d’insultes les plus imagées les unes que les autres. Mais parler beaucoup ne signifie pas s’égarer pour autant dans les méandres du batifolage. Notre bonhomme passe rarement par quatre chemins pour expliquer le fond de sa pensée, il peut d’ailleurs se montrer particulièrement brutal et direct s’il le juge nécessaire. Sans pour autant être constamment agressif, ses manières de vieux loup de mer peuvent surprendre les malheureux habitués à se faire pouponner.

Comme nous l’avons dit, Absalon est d’un pragmatisme à toute épreuve. Il ne cherche pas à voir plus loin dans les événements qui pourraient lui nuire, il élimine la source dès que celle-ci se présente. Il conçoit son existence comme une longue lutte pour la survie, et durant les combats, il n’y a aucun regret ni pitié à éprouver pour son adversaire. La volonté qui l’anime dans les combats à d’effrayante d’être aussi violente qu’inébranlable. Toutefois il n’est pas lâche pour autant. Son code de l’honneur lui impose de n’affronter que ceux qui possèdent une réelle envie de combattre, ainsi Absalon ne se permet pas d’attaquer les faibles ou les désarmés si rien ne l’y oblige.


Histoire :


Je suis une bête, du moins l’ai-je été durant un temps, temps suffisant toutefois pour m’ôter toute sensation d’appartenance à l’humanité.
Pourtant j’ai été humain il y a des éons, je m’en souviens encore bien que vaguement. Je sais que j’ai mené une vie confortable et heureuse, ma plus grande fierté à cette époque fut sans conteste ma fille. J’ai oublié son nom.
Mon existence a été arrachée par des envieux jaloux de ma prospérité commerciale. À défaut d’être mort sans douleur, au moins suis-je décédé riche ! Mais dans le monde spirituel, l’argent n’a pas de valeur contrairement à la tristesse et les regrets. Ces brigands m’ont pendu à un arbre et ma fille a assisté à l’odieux spectacle de mon dernier souffle. Je me rappelle de mes mains ligotées dans le dos, cette souffrance abominable de la chair brulée par le contact revêche de la ficelle. Je me remémore de cette peur au fond du ventre lorsque le nœud autour de mon cou se resserrait pour m’arracher mon ultime soupir. J’ai bien essayé de respirer malgré ce serpent de corde, j’ai bien tenté de survivre et m’agripper à l’existence. Je me suis agité sur moi-même dans des spasmes de dernier recours, j’ai essayé de mordre et de me défaire de mes entraves, mais tout cela n’a servi à rien. Le sang me montait à la tête, j’avais l’impression que mes yeux étaient tout prêts à sortir de mes orbites, ma langue passait entre mes dents et je ne parvenais plus à déglutir. Ce fut long et douloureux. Je suis mort la nuque brisée, le corps accroché à cette branche et j’entends encore les rires gras de mes bourreaux et les cris désespérés de mon unique enfant.
Comment pouvais-je aller là où vont les morts sans savoir ce qu’il adviendrait de ma petite ? Mes pleurs et mon angoisse m’ont enchainé sur Terre et je n’ai eu de cesse de chercher à retrouver les traces de ma fillette, tout en appréhendant le moment où je la reverrai. Qu’est ce que ces barbares en avaient fait ? Je m’imaginais dans ma peur de père angoissé des scénarios tous plus immondes les uns que les autres. Ma terreur grandissait de jour en jour, d’année en année mais je ne parvins jamais à la rejoindre, pour une raison horriblement simple.
J’avais perdu le chemin de mon domaine. Je ne parvenais plus à me remémorer quoi que ce soit de ma vie, mes souvenirs s’effilochaient et je ne pouvais rien y faire. Les traits même de ma fille, trésor de tous les trésors, ont d’ailleurs complètement disparu de mon esprit, seul l’éclat de ses yeux me revient encore en mémoire.


À force d’errer à travers le monde, j’ai attiré sur moi l’attention de créatures dont je n’aurai jamais soupçonné l’existence. Le jour de cette seconde mort avait pourtant commencé comme les autres. J’avais flotté au dessus du sol toute la nuit et je pensais continuer encore toute la matinée et ce dans un cycle sans fin pour l’éternité jusqu’à ce que je puisse trouver le repos. Je vagabondais, si je ne m’abuse, près des cotes du royaume d’Angleterre car je croyais reconnaître dans ces lieux les ruines de mon ancienne demeure. Je me promenais entre les arbres d’une vaste forêt d’où émergeaient ici et là des murs écroulés d’une vieille bâtisse. Soudain mon regard se perdit vers l’horizon et ce fut à ce moment là que je vis des points au loin qui se rapprochaient. J’avais croisé d’autres esprits en peine tout comme moi, et je pensais que cette masse qui approchait n’était qu’un groupe de spectres inoffensifs qui migraient vers un lieu qui m’était inconnu. Pourtant plus je les voyais proches, plus la peur s’installait en moi. Ils n’avaient rien d’humain, c’étaient des bêtes affreuses lancées à ma poursuite. Je fus si tétanisé par leur apparence que je ne bougea pas. La nuée avide fut sur moi l’instant d’après. J’eus beau me défendre, leurs mâchoires me déchiquetèrent sur place et je n’exista plus en tant qu’homme.



Lorsque je revins à moi, le ciel était noir d’encre et une lune bizarre brillait en donnant un aspect étrange à ce qui m’entourait. J’ai cru rêver pendant quelques minutes avant de comprendre avec horreur que le paysage autour de moi était bel et bien réel. Du sable blanc, à perte de vue, des collines désolées dans le lointain et plantés de manière totalement anarchiques un peu partout, ces arbres squelettiques et morts qui n’avaient rien de terrestre. Etait-ce l’Enfer promis à ceux qui avaient péché ? Je le crus au début, car je savais au fond de moi n’avoir jamais été un homme honnête, pourtant cette désolation ne correspondait pas à l’image que je me faisais du bagne infernal de mon vivant. Je voulus me relever lorsqu’une douleur intense irradia de tous mes membres. Ce fut alors que je pris conscience des changements qu’avaient opéré ces créatures sur mon corps. J’étais l’un d’eux !
Je ne me reconnaissais pas et cette confusion identitaire m’a amené si près des lisières de la folie qu’aujourd’hui encore j’en garde des traces. Quelle autre réaction pourrait-on éprouver en atterrissant dans un corps difforme qui ne vous appartient pas ? Mes mains ressemblaient à des pinces cruelles faites pour déchiqueter, mes jambes paraissaient sortir d’une gravure représentant quelque divinité païenne, et mon visage était recouvert d’un masque d’os qui le recouvrait tout entier. Je me sentais prisonnier à l’intérieur de moi-même, comme enfermé dans une armure de plomb. Et il y avait ce trou au milieu de ma poitrine. Enorme, gigantesque et qui me traversait de part en part. Je n’avais plus de cœur, je n’avais plus d’âme, je n’étais qu’une monstruosité sans nom !
J’ignore combien de minutes, heures, jours ou années je suis resté assis là à découvrir le nouvel être que j’étais. Mes anciennes croyances ont toutefois pesé lourdement sur moi durant cette transition entre l’état d’homme et de bête. Je m’imaginais démon, quelque créature du diable mis à son service, et je pensais que mon existence était une forme d’aberration divine. Ces convictions que je sais inutiles désormais, m’ont à l’époque paralysé plus de temps qu’il ne fallut à mon corps pour s’adapter à sa nouvelle forme. Je savais me mouvoir vite et bien, me déplacer discrètement et me défendre si cela s’avérait nécessaire, je me savais puissant mais cette nouvelle force m’effrayait trop pour que j’en fasse usage.


Néanmoins il vint une nuit (le soleil ne se levait jamais ici) où un événement me sortit de mon inertie. Un défilé de créatures aux formes sans pareil passa près de ma position, aucune ne se tourna vers moi et je les voyais déambuler puis s’éloigner à l’orée d’une dune. Au début j’eu peur de les approcher, malgré le fait qu’elles ne semblaient pas me voir, mais la curiosité l’emporta sur la crainte que m’inspiraient leurs apparences. Il me fallut tout de même trois journées entières pour me décider à les rejoindre, mais la procession n’ayant jamais cessé, j’eus tout le temps pour peser le pour et le contre de ma décision. Je décida donc de me joindre à eux, même si j’ignorais quelle était leur destination ni pourquoi ils marchaient si nombreux dans ce désert sans limite. Mieux valait être un monstre hideux qu’être abandonné seul à ses angoisses. Je devins moi-même un élément à part entière du groupe.
Personne ne parla durant tout le voyage et comme aucun trouble ne vient percer le calme de mon esprit en dehors du bruit des pieds nus marchant sur le sable, j’eus tout le loisir de les dévisager sans qu’aucun d’eux ne s’en formalise. Bien que laides, ces créatures (et mes semblables désormais) avaient également un air de tristesse au fond des yeux. Avais-je moi aussi l’air si désespéré ? Se représenter ces fauves comme des victimes de quelque malédiction, avait de quoi troubler même la plus endurcie des intolérances.




Nous avons marché longtemps à travers cet erg nocturne, et après des jours de périples éreintants, nous sommes parvenus à une béance dans le sol. Une grotte qui s’enfonçait vers des souterrains obscurs et inconnus. Je n’avais pas peur, j’avais appris durant le trajet à ne plus concevoir la crainte. Mon passé et mes quelques lambeaux d’humanité s’en étaient allés peu à peu pour laisser place à une raison centrée uniquement sur les sensations. Nous descendîmes en empruntant le tunnel, la traversée de la galerie fut presque aussi longue que le temps qu’il nous avait fallu pour l’atteindre. Enfin nous débouchâmes dans une forêt de pierres gigantesques. Des arbres immenses qui s’élevaient et servaient de piliers à une voute composée par des branches colossales.
Je n’avais plus rien de commun avec un homme et ce spectacle de gigantisme qui m’aurait étonné autrefois, n’éveilla pas une once d’admiration en moi. J’étais une bête, un Hollow et un chasseur d’âmes. Et j’avais faim. Soudain une clameur près de moi, suivit par des bruits de combats. Je vis l’un de mes voisins se ruer sur un autre Hollow pour le dévorer. D’autres cris retentirent et le calme de la forêt silencieuse fut brisé.
Je ne fus pas franchement surpris parce qui se passait, c’est comme si détenteur d’une mémoire commune, je connaissais par avance le dénouement. C’était manger ou être mangé. Je me plongea comme mes autres compagnons dans les dernières limites de la sauvagerie. Il ne s’agissait plus que de dévorer l’autre, le déchiqueter et se nourrir de sa chair. J’en tua beaucoup mais il en venait sans cesse sous mes coups et je me trouva rapidement submergé. Nous nous mangions tous les uns et les autres, aveugles et accaparés par notre faim. Puis la fusion commença. Nos corps se mêlèrent entre eux et nous formèrent une entité plus grande. Le bouillonnement gigantesque faillit m’emporter et me faire perdre toute individualité. Mais avais-je enduré toutes ces épreuves pour disparaître si bêtement ?
Même pas en rêve.


Je voulais vivre en étant moi-même et non un fragment de conscience éparpillé. Je pris le contrôle. Je devins la tête et eux formèrent mon corps et mon pouvoir. Mais naquit dans le même temps que ma création, une faim plus violente que toute celle que j’avais jamais ressenti auparavant. Toujours présente et jamais rassasiée, elle ne me laissait aucun répit. Ce fut cette faim qui me poussa à dévorer d’autres Hollows car j’étais terrorisé à l’idée de perdre mon identité si durement acquise. J’étais moins intéressé par la puissance que par la survie. Je ne voulais pas avoir à manger mes congénères pour continuer d’exister mais peu importait ce que je désirais, car mes actions étaient nécessaires. Je n’ai ainsi jamais cherché à faire souffrir ceux qui tombaient sous mes coups, préférant les achever rapidement pour mettre fin à leurs douleurs. Jamais je n’ai tenu également rigueur à ceux qui m’attaquaient car je savais qu’ils étaient les victimes des mêmes besoins que moi.
Tout ce que je voulais c’était me reposer. Ne plus avoir à courir sans cesse à la recherche d’une proie, ne plus perdre mon temps à cette course effrénée et vide de sens. Un jour alors que je me dissimulais au fond de montagnes isolées, un homme est venu. Il ne paraissait ni effrayé ni dérangé par moi. Il m’a proposé de mettre fin à mon calvaire si je daignais le rejoindre. J’ai accepté, sans savoir qui il était ni quels objectifs il poursuivait. Je ne voulais pas la puissance mais la paix. Je ne voulais plus avoir à fuir.
Le repos seul m’importait.




C'est ici que j’achève ce journal et si j’ai tenu à rédiger mon histoire c’est moins parce qu’elle le mérite que parce qu’elle s’efface progressivement de ma mémoire. Je veux qu’elle reste inscrite à un endroit que je pourrais retrouver lorsque mes derniers souvenirs se seront dissipés comme fumée face à un souffle d’air.
Je crois que je me souviens, elle s’appelait Isabelle. Mon Isa, ma chère petite, mon enfant.
Disparue.


Dernière édition par Absalon Ehlinger le Sam 20 Mar - 2:57, édité 18 fois
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MessageSujet: Re: Absalon Ehlinger   Absalon Ehlinger Icon_minitimeJeu 18 Mar - 17:02

J'ai fini, ce fut long et j'espère que le résultat vous conviendra.

(Si vous voyez des erreurs et/ou coquilles, merci de me le dire pour que je puisse les corriger, j'ai beau avoir relu plusieurs fois, il se peut que certaines m'aient échappé.)
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MessageSujet: Re: Absalon Ehlinger   Absalon Ehlinger Icon_minitimeSam 20 Mar - 12:41

Yop !

Alors tout d'abord bienvenue et ensuite je t'annonce que tu es validé en tant que cinquième Espada. Wink
Envoie moi le rang que tu veux que l'on t'attribut par mp =)

Bon RP sur BSA !
(n'hésite pas à te rendre dans les demandes de RP Wink )
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MessageSujet: Re: Absalon Ehlinger   Absalon Ehlinger Icon_minitime

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