Bleach Shinigami Age
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 Un capitaine à la treizième ?

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2 participants
AuteurMessage
Kaori Kaguya
| Jû-san Ban Tai Taisho |
♥ Smoke cloud ♥




Messages : 696
Date d'inscription : 28/05/2010
Localisation : Sereitei

Feuille de personnage
Niveau: 16
Rang: E
Expérience:
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MessageSujet: Un capitaine à la treizième ?   Un capitaine à la treizième ? Icon_minitimeVen 28 Mai - 22:02

Un capitaine à la treizième ? Sanstitre3pj

» Vous Même «

Prénom :
Personne

Age :
18

Expérience RP :
Une certaine expérience, mais cela suffira-t-il ?

Un avis sur Bleach Shinigami Age :
Concept de l'univers parallèle intéressant.

Comment vous avez connu ce Forum :
En vagabondant parmi les top sites.


» Votre Personnage «

Nom :
Kaguya

Prénom :
Kaori

Age :
Centenaire sans aucun problème

Sexe :
Féminin

Race : Shinigami
Rang / Grade désiré : Jû-san Ban Tai Taisho / Fleur noire
Code:
[color=#8E3557][font=Trebuchet MS]Jû-san Ban Tai Taisho || Fleur noire
[/color][/font]


Un capitaine à la treizième ? Sanstitre3pj


Description Physique :

    Un canon de beauté... Un terme bien prétentieux. C'est pourtant celui qu'on lui donna du temps de sa vie mortelle et celui qui persista dans sa vie d'ange de l'enfer. Si l'on ne connaissait pas la personnalité intrigante de Kaori, on aurait sans trop de peine pu dire qu'elle n'était rien de plus qu'une de ces filles que la nature avait gâtée, et qui en jouait pour parvenir à ses fins. En effet, du haut de son mètre soixante-dix, elle ne fait pas partie des femmes les plus petites de la Soul Society et se situe même légèrement au dessus de la courbe de normale, un atout qu'elle sait mettre à profit lorsqu'il s'agit de tenir tête à un homme. Le visage pâle et radieux, combiné à son jeune âge qui avoisine largement la vingtaine d'années, lui confère un air mutin qui à lui seul, résume presque toute la psychologie de la jeune femme. Puisque nous en somme à la description du visage, restons-y et poussons un peu plus loin l'analyse. Son nez droit et fier, qu'on aurait cru tout droit inspiré d'une célèbre reine d'Egypte, contribuait à dessiner les courbes fines et appliquées qui rendaient son visage si innocent. Ses lèvres, qui sans conteste savaient mêler avec brio finesse et sensualité se divisaient en deux caractères bien distincts : sa lèvre supérieure, la plus fine, représentait la rigueur et la sévérité, tandis que son autre, son exacte opposée, plus pulpeuse, représentait la chaleur et la fougue dont savait, à l'occasion, faire preuve Kaori. Passons maintenant à l'essentiel de la beauté de notre protagoniste. Ses yeux en amande, légèrement surlignés d'un fin mascara noir, qui s'affairait à mettre en évidence le bleu tout aussi intense que mystique de ses iris. La plupart des quelques rares privilégiés qui avaient eu l'occasion d'assister à ce spectacle « magnifique » selon eux, ne s'en étaient toujours pas remis d'ailleurs, tant ils avaient pu « observer la profondeur de l'océan et la clarté d'un soleil radieux » en eux.

    Mais essayons tant bien que mal de nous décrocher un instant de ce regard perçant qui ne semble pas vouloir vous rendre la liberté. Cependant, pour ne pas rompre trop brutalement le charmé déjà opéré j'en suis sûre, portons d'abord notre regard sur sa chevelure. Une ondulation fine et lisse qui dans l'obscurité ne semble pas trouver de point de chute. Il n'est pas cependant totalement impossible d'en deviner les formes exactes, encore faut-il avoir la chance de pouvoir observer Kaori sous le zénith naissant du soleil levant. On assiste alors à un tout autre spectacle, et non des moins intéressants, lorsque les raies du soleil reflètent une chevelure à la fois fine et abondante, d'un noir ténébreux et aux reflets cuivrés, trouvant son point de chute au niveau des omoplates de la jeune femme. Mais ne nous arrêtons pas en si bon chemin et poursuivons ce délicieux périple de sensualité à l'état pur. Si Kaori, on l'aura bien compris, sait charmer et parfois même soumettre un individu de part la seule volonté de son regard mutin et innocent, il ne s'agit pas là du seul élément qui l'encre dans les canons de son temps (si tant est qu'il subsiste une quelconque notion de la mode à la Soul Society). Si à première vue c'est la douceur du teint de sa peau qui confère toute sa volupté à Kaori, c'est sans conteste la courbure de ses formes qui fait tout le reste. Une poitrine généreuse sans trop être extravagante, des hanches dessinées à l'encre de chine et un fessier tout aussi aguicheur, voilà les ingrédients que la belle réunit afin de donner lieu à une explosion de saveurs.

    Tout ça c'est bien joli, mais si l'on s'en tient à cette seule description, je suis persuadée que vous vous l'imaginez déjà complètement nue. Habillons là donc de ces vêtements que vous lui verrez porter si souvent. Il m'en est difficile de savoir par où commencer tant sa tenue est homogène et s'accorde parfaitement dans son ensemble. Commençons donc du haut pour terminer à la paire de sandale qui la chausse. Sa tenue est à quatre vingt-dix pour cent composée de cuir, aussi solide que du rock, résistant aux entailles d'une lame banale aux griffes des hollows les plus basiques. Autant dire qu'il n'y a pas que son cœur qui dispose d'une véritable carapace et qu'il ne sera pas aisé aux plus audacieux d'entre vous d'en percer les mystères. C'est donc un bustier zippé, de cuir de couleur cuivré, qui la couvre, agrémenté d'un collier de cuir noir, venant épouser les formes de son cou. Autour de ses biceps, on peut constater la présence d'épaisses bandelettes blanches. A ne pas s'y méprendre, ces bandelettes ne sont pas là que pour faire joli, elles ont deux fonctions utilitaires : la première est de donner à Kaori une force légèrement plus élevée que la normale en comprimant son bras, l'autre étant de pouvoir rapidement stopper une quelconque hémorragie. Enfin, une ceinture de cuir en lanière noire et à la boucle d'or vient maintenir son pantalon noir, large et ample et de shinigami. Pour terminer, on peut dénoter la présence d'une bandoulière, similaire à sa ceinture, qui vient maintenir son Zanpakutoh qu'elle porte dans le dos.



Description Psychologique :

    Si à première vue, elle peut paraitre fragile et inoffensive... Détrompez-vous ! Kaori, possède l'un des caractères les plus trempés de la Soul Society. Fière de nature, elle ne se laissera jamais marcher sur les pieds quand bien même ce fut par un officier. C'est également une personne intelligente qui réfléchit avant d'agir, calculant par avance la conséquence du moindre de ses actes. La jeune femme fait toujours en sorte de remplir son devoir convenablement et d'obéir aux ordres du mieux qu'elle le peut, peu importe le prix à payer. Si son regard laisser sous entendre une certaine malignité voir même provocation, ne vous y méprenez pas, son cœur est aussi froid que de la glace et bien malin sera celui qui réussira à le faire fondre. Elle reste sensible malgré tout (surtout lorsque le sujet concerne sa division), même si elle ne le laissera pas paraître... s'efforçant au mieux de dissimuler chacun de ces sentiments si rares au plus profond d'elle-même, ce qui en fait une menteuse hors-pair.

    Elle peut parfois, spontanément parler comme un homme, lancer des grossièretés à tout va et être violente... Voilà qui devrait casser le mythe de la femme parfaite pour bon nombre d'entre vous. Cependant, dans tous gestes qu'elle effectue, Kaori est entourée d'une aura de grâce et de délicatesse, restant toujours digne, qu'importe la situation.
    Elle n'est pas le genre de personne qui s'apitoie sur son sort. Son caractère vif lui empêche toutes pensées de ce genre et a une grande perception de l'amitié qui bien que pour elle, un bien futile. Même si c'est de façon brutale, elle sait vite remonter le moral aux troupes, choisissant avec grand soin les mots adéquats. Elle parle très rarement d’elle-même et s’inquiète toujours plus à propos des autres que de sa propre personne, son propre sort ne la préoccupant pas le moins du monde lorsque la vie de l'un de ses subordonnés est en jeux.

    Dans le cas contraire, Kaori ne supporte pas l'idée que quelqu'un puisse faire couler ne serait-ce qu'une goutte de son sang pour elle. Tout sacrifice à sa cause et son but.
    Un caractère vif et dynamique, elle peut se montrer taquine, ironique et parfois même, enfantine. Elle se montre réaliste et ne croie en rien à tous ces mythes placés autour de l'amour conjugal. Ce n’est en aucun cas une jeune fille naïve et candide mais elle reste assez rêveuse de temps à autres… Cependant, son fort tempérament et son entêtement sont toujours présents en elle pour la ramener à la raison et lui rappeler le but de ses actions.
    Si l'on devait définir en quelques mots la jeune Taisho, elle ne serait que le juste équilibre entre sentiments et devoir.


Un capitaine à la treizième ? Sanstitre3pj


Histoire :

    Petite fille, petit enfant seule et abandonnée un soir de pleine nuit, aucune famille, aucuns mots, seulement un bébé déposé dans un panier avec quelques traces de sangs sur son petit visage angélique. Un bébé seul devant la porte d’un orphelinat, c’était surement la décision la plus logique de la personne qui l’avait placé ici car l’enfant ne serait en aucun cas refusé dans un tel établissement. Durant cette nuit ils cherchèrent un nom pour la nouvelle venue, chacun exposa ses suggestions, mais une seule resta vraiment, « Kaori ». La dernière personne qui sera accepté dans cet établissement.

    Les saisons passèrent et le petit bébé grandit rapidement, entourée de ses frères et ses sœurs tous plus âgées qu’elle. Comme exclue du monde qu’on lui proposait, elle préférait vivre selon son bon vouloir, elle avait son propre monde, ses propres règles, impossible de savoir ou elle pouvait être ou se qu’elle pouvait bien penser. Les débuts furent rudes pour ses frères et sœurs mais au fil du temps ils s’y habituèrent, ne cherchant plus à comprendre pourquoi Kaori se levait à deux heures du matin pour aller on ne sait où. C’était une chose inquiétante mais lorsque la petite fille avait une idée dans la tête, il était presque impossible de la raisonner, de lui demander de rester, non, impossible… Elle ne voyait que se qu’elle voulait et le reste n’était qu’artifice.

    Les années de la petite fille se déroulèrent ainsi, allant au grès de ses envies, s’amusant d’un rien... Jusqu'au jour où la jeune innocente qu'elle était eu l'âge de prendre part à un monde bien plus cruel que ce à quoi elle s'attendait. Les joies de la majorité entraînaient avec elles bien des rigueurs, et dans le cas de la jeune fille, bien des peines. Et pour cause... c'est deux mois après son dix-huitième anniversaire que l'orphelinat où elle avait grandie s'embrasa.... ne laissant pour survivants que notre protagoniste. Qu'allait-elle devenir, seule.... ?

    La réponse ne tarda pas à arriver… Il ne lui fallut qu'une semaine de vagabondage, guidée par l'instinct de survie, le vol et l'hérance, pour qu'un homme à la corpulence affirmée ne se saisisse d'elle et la plonge dans un sommeil prolongé. Rien ne subsista de sa mémoire concernant ce moment, à celui où elle retrouva ses esprits, si tant est qu'elle les ai retrouvés un jour. Et pour cause, c'est dans un de ces bordels à opium que l'on trouvait à tous les coins de rues de l'époque que la jeune Kaori se retrouva enrôlée. Des senteurs nouvelles, fortes, ocres, encombrants chaque parcelle de sa trachée, mêlées à des maux de têtes et des vertiges, voilà là seule chose qu'elle reçu pour accueil et qui allait maintenant être son nouvel environnement pour une période indéterminée. A partir de ce moment, c'est avec son bonheur, toute trace de dignité humaine qui s'en alla.

    Des années durant, elle n'était plus que l'ombre d'elle-même, le regard dénué de toute expression, livide, assimilable à un cadavre en état de décomposition avancé. Ce n'était plus qu'une fille facile comme on les appelait dans le coin, dont les seuls moments d'activités physiques étaient consacrés à l'assouvissement des besoins primaires des clients les plus fidèles de la maison. Le reste du temps, elle restait allongée sur ce divan empreint de sa silhouette, dans un état semi-comateux, sonnant toutes les dix minutes une clochette lorsqu'elle avait besoin de sa dose. C'est d'ailleurs de cette substance que l'on appelait Opium et qui faisait fureur à l'époque, que notre protagoniste décéda. Une overdose... voilà ce qu'il avait fallut pour mettre un terme à vingt deux ans d'incertitude et de ténèbres.

    Tout aurait pu être terminé en de moi ce mars....

    Mais l'avenir, son avenir, en avait décidé autrement. Elle avait survécue ? Non.... ce n'était que le commencement de sa vie d'âme. Bien sûr, elle n'en n'eu pas conscience de suite, c'est en rencontrant un étrange personnage qui se disait être un... un... shinigami ? Oui c'était cela, il s'était présenté à elle comme étant un ange de l'enfer. Qu’est-ce que cela pouvait bien être ? A ce moment là, Kaori n’en n’avait pas encore la moindre idée et pourtant elle sentait déjà que quelque chose de spécial l’attendait dans ce qu’il avait présenté comme étant la Soul Society. Un monde uniquement peuplé d’âmes comme elle, des âmes qui ne demandaient qu’à pouvoir vivre, profitant pleinement de leur conscience.

    La nouvelle lueur… elle la trouva à l’académie des Shinigami après avoir passé une année complète de sa vie d’âme dans les quartiers pauvres et délabrés du Rukongai, périphérie du Seretei (ville et basement des shinigamis). Le temps qu’elle passa là bas, elle le consacra à étudier parmi de nombreux autres aspirants qui s’entrainaient à devenir de puissants guerriers pour protéger les âmes les plus faibles et les humains. A vrai dire, elle s’en moquait quelque peu. Les règles et tout le tralala ? Très peux pour elle. Mais elle était totalement omnibulée par toutes ces lueurs. Magnifique… Une ville rayonnante, elle était totalement sous le charme et elle n’eu d’autre choix que de devenir une étudiante à l’académie. Tout comme lorsqu'elle était enfant, elle était totalement « étourdit » ou plutôt absente, préférant se balader et visiter les lieux, ce fut surement ce qui lui causa de nombreux problèmes qualifiés de disciplinaires par les instructeurs, mais son potentiel tellement intéressant lui valu pas mal de louanges à son sujet. Bien qu’au fond, elle ne semblait pas porter un grand intérêt pour la quête que tout le monde semblait entreprendre. Protéger les autres, elle n’en avait que faire, mais elle avait la force pour accomplir cette mission. Elle apprit avec aisance tous les rudiments pour devenir une Shinigami et elle sortit de l’académie au bout de deux années complètes d’études acharnées, simplement diplômée, sans appréciation d'aucune sorte malgré des appréciations plus que convenables tout au long de son apprentissage. Elle avait appris un grand nombre de choses qui lui aurait parues bien farfelues si elle avait été encore humaine. Jamais elle n’aurait cru acquérir un pouvoir comme celui qui lui avait été donné lors de son arrivée à la Soul Society… Les shinigamis appelaient cela… le reiatsu ou comprenez par là l’énergie spirituelle.

    Affectée à la seconde division de protection, elle passa cinq longues années parmi les services secrets du Seretei, effectuant tout type de mission secrètement gardée dans les plus bas tiroirs du Gotei. Cinq longues années à faire corps avec son trancheur d’âme, cinq longues années à découvrir les noirceurs de ce monde qui finalement n’était pas si différent du monde réel. La routine commençait même à pointer le bout de son nez et bien plus rapidement que ce à quoi elle s’attendait, la monotonie de sa vie d’âme commençait à pointer le bout de son nez. Les odeurs même semblaient avoir changées, ainsi, le doux parfum des cerisiers en fleurs mêlé à celui de la brise légère qui caressait l'herbe fraîchement coupée, avait laissé place à celui des effluves alcoolisées des soirées arrosées et du poulet braisé. Sa carrière de shinigami au sein de la seconde division commençait à vivement l’irriter et son capitaine le remarqua bien vite. Ce fut là le principal motif de la mutation de notre jeune protagoniste au sein de la treizième division de protection de la Soul Society. C’est également dans cette noble division qu’elle découvrit de nouvelles valeurs et qu’elle se forgea son caractère actuel. Bien plus qu’un enseignement, c’est une certaine complicité que lui avait transmis son nouveau taisho. C'est également cet homme au cœur si généreux et à la philosophie appréciable qui lui donna pour la première fois de sa vie une réelle identité au travers du nom qu'elle n'avait jamais eu. Ainsi Kaori devenait Kaori Kaguya, Jû-san Ban Tai Shinigami.

    Dans cette division qu’elle avait appris à connaître et dont elle assimila avec le temps les valeurs, elle fit ses réelles armes et prouva à de maintes reprises sa valeur aussi bien au combat que sur le plan humain. Elle n’était forcément la shinigami de prédilection pour les confidences, mais son capitaine le savait, elle était appréciée et respectée, un doux nectar qu’il ne lui avait pas été permis de savourer depuis le Commencement. Après plus d’une centaine d’années de bons et loyaux services, la triste nouvelle arriva trop vite… L’homme qu’elle avait apprit à aimer, à respecter, s’en allait…. Officiellement, le motif de ce départ si soudain était une promotion. Mais à quelle genre de promotion un capitaine pouvait-il bien aspirer ? La réponse à cette question, elle n’en connut jamais la réponse. Elle était juste désemparée, livrée à elle-même, comme perdue sans cet homme qui lui avait tout apprit. Un sentiment qu’elle n’avait pas ressentit depuis longtemps… trop longtemps…
    Le lendemain du départ du Jû-san Ban Tai Taisho, Kaori, cette jeune femme au passé tourmenté et dont vous savez probablement tout à l’heure actuelle, reçu un message de l’un de ces êtres qui demeuraient encore aujourd’hui un mystère pour elle : les papillons de l’enfer, messagers des dieux. Elle était convoquée par le capitaine commandant en personne pour un motif qui demeure encore au moment même où vous lisez ce passage un véritable mystère…. Alors à votre avis… quel est donc son avenir ?

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MessageSujet: Re: Un capitaine à la treizième ?   Un capitaine à la treizième ? Icon_minitimeSam 29 Mai - 22:26

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