- Roseo No Akaitachi - [Fini]

本 Vous Même 刀

Age : 17 ans
Expérience RP : 2 années
Un avis sur Bleach Shinigami Age : Un forum qui détient un gros potentiel.
Comment vous avez connu ce Forum : Mugen.


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白 Votre Personnage 刃

Nom : Akataishi [Lame Ocre]
Prénom : Roseo
Age : 222
Sexe : ♂

Race : Shinigami [Dieu de la Mort]
Rang / Grade désiré : Taisho [Capitaine - 16E]
Division désirée : Gobantai [5éme Division - Humilité]

Description Physique : Le visage peaufiné par le doigt adroit d'un sculpteur, le dénommé Roseo ne possède en sa figure aucune trace de guerre ou d'expérience, sa peau se délectant de toute rugosité on pourrait croire que cet homme n'a en rien connus la guerre, et pourtant c'est dans l'émeraude de ces yeux qu'on peux y voir les atrocités d'une vie. Le teint rongé par la solitide et la déception, il eut quand même gardé une trace d'espoir dans son regard. En lui, l'ambition peut se lire dans chacun de ses traits, son visage est d'une beauté particulière comme animé par l'orgueil. Avec ça, une mèche recouvre bien souvent son œil droit, lui donnant un air mystérieux et presque malheureux. De profil, il a des allures d’androgyne, de ses longs cheveux lui arrivant presque aux épaules, accompagnés de son air gracieux dans ses moments de réflexion et d’une unique boucle d’oreille à son oreille droite.
Concernant son habit, il porte l'habit traditionnel Shinigami :le Shihakushō [Vêtement de âmes mortes], il est composé d'un Shitagi blanc par dessus lequel est revêtu un Kosode et un Hakama noir. Un obi blanc permet de tenir le Hakama et les pieds sont chaussés de Tabi blanc et de Waraji. En plus de cet uniforme de base pour les soldats, en tant que capitaine il a le droit à des ornements supplémentaires qui permet de le distinguer : il est vêtue d'un haori blanc portant le symbole du Muguet de Mai, signe distinctif & du numéro Go (5) de sa division.

Description Psychologique : Une lame, un bouquin, voilà dans quoi s'illumine les yeux de Roseo. Noble par nature, méfiant & vicieux par expérience, Roseo est l'antagoniste pur malgré lui. Et à première vue, on ne retrouve que des émotions maussades en cet homme, qui peuvent se résumer en deux attributs divins : La colère de Satan, et l’envie de Léviathan. Mais il a conscience des vices qui règnent en lui, ne pouvant les rejeter. En effet, sa colère, du à son désir de vengeance le pousse trop souvent à abandonner la littérature pour s’engager dans des rixes. Il est pourtant difficile à croire qu’un homme comme cela, puisse vite s’emporter. Ce qu’il ne fera pas si son adversaire est impotent. Mais pour n’importe qui le connaissant, il n’y a rien de plus facile que de faire énerver le démon. Roseo est extrêmement envieux du savoir et d’accéder au « don de la déesse », que lui-même ne comprend que très peu. Pour ce qui est de ses vertus, il est dit que Roseo a très peu d’honneur, ainsi que de fierté et d’orgueil . Il n’aura aucune honte à servir quelqu’un, si celui-ci est valent. Aussi, fuir devant l’absolu ou l’attaquer à coup bas sont des options qui lui semblent tout à fait concevable. Tout simplement parce qu’il est malin, et cela beaucoup plus que bien d’autres. La répétition des insultes envers Roseo fit comprendre à ce dernier qu’il était un monstre. Et quand il eut enfin comprit la portée de ce mot, il en accepta le lourd fardeau et le porta sans honte. Son amour des livres prouve que Roseo n’est pas un être insensible, pouvant être comme tout homme envoûté par le charme féminin. Bien que ne donnant pas son amour facilement, ne voulant se détacher de sa quête… Il en est de même pour l’amitié. Ayant appris à être méfiant envers les faux amis, il ne confie sa confiance qu’à de rares personnes qu’il aura jugé comme digne de respect. Mais étant un être cherchant l’adversité, il se voit obligé de surpasser ses amis si parfaits, ce qui lui vaut la peine de perdre ses rares amis, quand il se voit obligé de se venger de sa propre faiblesse. A nouveau, aux premiers abords, on constate des choses qui ne sont qu’illusoires. On peut croire qu’il aime se battre, et s’entraîner. Mais ce n’est que l’envie d’être acclamé qui le pousse à se surpasser au combat. Quitte à laisser le corps d’un ami derrière lui. Son ambition démesurée lui ordonne d’ailleurs de tout faire pour arriver à ses fins. En tant que Bibliophile, il a lu bons nombres de livres, les respectant plus que sa propre vie. Mais son attention se porte principalement sur un poème épique nommé Loveless. En cet ouvrage, tout lui sembla plus logique et il accédait enfin à la vérité. Il en devenu passionné, ne jurant plus que pour cette pièce…

Histoire : Premier acte, la situation du protagoniste est exposée, c'est rébarbatif.

Je suis né il y’a de cela 222 ans, dans une belle demeure, elle-même dans une belle ville, elle-même dans un beau pays, lui-même dans un beau monde. Je suis mort il y'a de cela 212 ans, dans une belle tombe, dans un beau cimetière situé dans la même belle ville. Je me suis réincarné en entité de particule spirituelle il y a de celà 211 ans, et devinez où ? Dans la famille la plus nôble des nôbles. En effet, il n’y a ni faim, ni soif, ni besoins pour le riche qui observe sa villa qui domine celles des autres. « Comment va le peuple ? » et « Nous voila bien rassasiés, mais ou en est le dessert ? » étaient de coutume et auraient choqué en leur absence.

Car je ne vivais pas la joie de ses parents. Pour ma part, je voulais aller encore plus loin mais dans la sagesse. Et mon besoin de culture n’était pas comblé par ce qu’on apprenait dans la noblesse.
Je me mit donc à sortir de paradis illusoire, pour voir le « peuple », mais à ma grande déception, ne découvris rien. Je me demandais alors où était le savoir. Ce que j’ai découvert en questionnant le Chef de Famille qui était déjà d’un certain âge. D’après celui-ci, le savoir se trouvait dans les livres. Et comme l’a dit un certain homme « Plutôt que les hommes, je préfère étudier les livres. », ce que j’ai répété fièrement à mes parents pour leur expliquer pourquoi je préférais me détacher de leurs préceptes.

Croyez bien que dans leur insuffisance, ils ne me comprirent pas. Je reçu donc sans broncher leurs moqueries. Mon mépris pour eux ne cessait d’augmenter alors que je quittais la pièce communale.
Je crois que c’est ce jour là, qu’une faim me prit au coeur. Evidemment, vous ne pouvez pas encore comprendre ce que cela représente. Et c’est juste après cet obstacle, qu’un esprit malin me poussa à me rendre aux faubourgs de la Forteresse Oubliée, mon lieu de "réincarnation". Là-bas, j'y appris les rudiments de la maîtrise du Reaitsu, concentré des boules d'énergies, voilà ce qu'était mon passe-temps, les modeler, voilà ce que les livres m'enseignait conjuguement avec les arts naturels Shinigami & nôbles, ainsi que de la philosophie.

Que le perturbateur arrive, comme le veut le Deuxième Acte.

J’avais alors 16 ans physiquement quand il est arrivé. Deux amis et moi étions alors rongé de l’intérieur par une faim persistante, une faim inconsidérable, mais elle était le plus petit de tous nos soucis. Nous convergions sans cesse sur nos points de vue sur la vie. Tout en leur parlant, je me prêtais à la lecture et avec beaucoup de plaisir, nous revenions encore et toujours au lieu de notre rencontre. Ils étaient mes seuls amis, mais aussi mes seuls rivaux. J’aspirais à les surpasser tout en continuant de les respecter. Mais je me faisais un plaisir de leur expliquer tout ce que j’avais appris, comme l’existence des ténèbres et de la lumière.

Et alors que nous restions jusqu’au petit matin sur place à discuter, la faim que chacun de nous avait s’amplifia terriblement, comme si une créature endormie jusque là dans leurs esprits, voulait s’en sortir de force. Je me souviens de cela comme la plus grande des douleurs, suivi de la plus grande satisfaction. Un Zanpakuto & une école nous fut donnée à tous trois. L’un de mes amis reçut le don de maîtriser le temps qu'il faisait ainsi que la pression de l'air, tandis que pour nous deux qui restions, nous reçumes la maîtrise de l'art de l'illusion, dans mon cas, c'était plutôt l'illusion qui me maîtriser -Affaire à suivre. Nous étions alors devenus des héros, à notre vue. Ce statut était pour moi une aubaine, bien que ma colère pour ceux qui m’avaient accablés était infinie.

Puis un jour, les Hollow, créatures des ténèbres dont la seule existence se résume à chasser le cœur des autres, sont arrivées... Pour nous c’était même anodin. Mais cela nous a fait comprendre qu’il était temps de savoir se battre nous même. Et tout trois dégainâmes nos épées. Sans crainte des Hollow, nous passions alors notre temps à nous affronter. Nous étions d’ailleurs souvent à deux contre le plus fort d’entre nous.

Un jour, comme pour nous récompenser de notre vaillance, le directeur de l'école Shinigami nous convoqua l’un après l’autre dans son bureau. Et alors que je me hâtais d’y entrer, ayant toujours été admiratif envers le charisme du bourgmestre, je me pressais de le voir. Mais tout cela s’envola bien vite. Et alors que j’entrais dans le bureau vide de proviseur, mon regard se posa sans tarder sur un ouvrage blanc orné de caractères calligraphié, « Loveless » était le nom de ce livre, je me sentais comme envoûté et sans me soucier du magistrat, je le pris soigneusement dans mes mains, n’osant l’ouvrir. J’avais déjà compris à quel point j’allais dévorer ce livre de mes yeux passionnés, et sans attendre je m’en alla vers les quartiers. Je m’assis sur un muret sous le regard curieux des deux autres et commença alors à lire. Et soudain, tout me sembla claire. Toutes les questions comme « Pourquoi ces dons nous ont été offerts à nous ? » ou bien « Qu’allons nous devenir » trouvèrent des réponses en ce livre. Il comprit aussi que cette histoire qu’il lisait, était parallèle à celle du trio. Mais Roseo comprit que dans l’histoire, il n’y avait qu’un seul héros, et qu’en vue de la puissance de son ami, ce dernier serait sans doute cet homme. Il devint alors jaloux, et son ambition n’eut de cesse, tout en préservant son amitié avec les deux autres.

Il est temps de changer les bougies.

« Le prisonnier réussit à s’échapper mais gravement blessé,
Il n’eut la vie sauve que grâce à une femme appartenant au corps adverse.
Il vécut, retiré du monde avec l’être aimé,
Promesse de félicité éternelle.
Mais plus son bonheur grandissait,
Plus sa culpabilité de ne pas tenir sa promesse envers ses amis croissait. »

Que les protagonistes cherchent la solution, comme le veut le Troisième Acte.

Une dizaine d'années plus tard, tout trois affectés à des divisions respectives, nous ne nous voyions plus autant. Nous n’avions aucuns choix à faire sur notre futur. Notre division était déjà décidé par nos aptitudes propres. Il était inévitable pour mon ami et moi d’aller dans la section de Nécromancie, nos cœurs l’avaient déjà décidé malgré notre ami commun…

Je savais bien que mes conversations avec eux allaient me manquer, mais mon destin me disait de devenir le héros et non le disparu ou le capturé. Et je devais d’abord calmer ma colère, par l'entrainement. Devenir le plus fort, devenir le héros des trois. J’allais résoudre tout problème en la maîtrise du Kîdo. Je ne souhaitais pas réellement devenir maître des ténèbres mais mon cœur était rempli d’émotions malsaines et mon envie de puissance était devenue extrême. Lieutenant de la Nécromancie, je m’approchais alors de plus en plus du poste de capitaine au fur à mesure de maîtrise dans la matière. Une fois ce poste acquis, je serais sûr de ne plus être méprisé par le commun des immortels. Mais avant que je puisse accéder à ce poste, je sentis une présence bien familière flottant dans l'air, et alors que je me retournais un jour où le Zénith était, la silhouette d'une déesse se tenait derrière moi dans un étroit couloir. Megamihadaka, mon Zanpakuto.

Si vous vous demandiez pourquoi je n’ai pas décliné son identité avant, c’est que je désirais que vous compreniez que ma lame n’était à la base qu’un Zanpakuto comme les autres, tout comme moi je n'étais qu'un Shinigami parmi tant d'autres. Un Zanpakuto qui m'obligea à suivre ce cycle infernal, à cause duquel je fis du mal. J'étais bercé par le pouvoir de la lame, bercé par son don de charme dont je fus la première victime sans m'en rendre compte. Des mots doux, des mots bleus, et le tour est joué, j'étais le pantin qui tenais sa maîtresse dans la paume de sa main, le tyran de la Soul Society, le martyr Shinigami, qui tué, pour après se rendre compte de ces actes perfides. Un de mes amis avait tressaillis quand au charme de la lame, le plus fort de nous avait dû faire face à deux hommes, et c'est dans la mort qu'il trouva le repos. Quand à l'autre, le Zanpakuto en conclus de le laissé en vie, comme seul ordre de vagué, loin, très loin.

Mon compagnon tué, la scène publique me fis haïr par toute une division. Le régicide du quartier qui était présent à ce moment ne se souciait pas du cadavre mort de l'homme, seulement ces yeux étaient fixé sur les miens, et je ne doutais pas de la raison. On me déblatéra maintes moral sur l'honneur que j'aurais dû avoir, et même si je ne partageais pas leurs point de vue, ils réussirent à me convaincre que l'aspirance au pouvoir ne m'avait rien apporté de bon. Je fis exclus de la division, emportant avec moi le savoir de la nécromancie. Après tout, même si le destin semblait vouloir que je m’engage dans une sombre voie, je me devais d’ignorer mes origines et de devenir un être neutre, bien que rempli des ténèbres. Je me retirai donc, m’étant trompé d’ennemis…

Que le destin bloque chacun des protagonistes, comme le veut le quatrième acte.

Me voila maintenant bien plus vieux, ce texte est encore tout récent dans ses faits. Je n’ai pas changé de convictions, juste de comportements & de vêtements, revêtant à présent l'haori de Taisho de la 5éme division. Je préférais rester dans la neutralité. Après tout mon univers tourne autour de Loveless, et Loveless semble tourner autour de mon univers. Nous n’avons pas besoin d’un camp pour nous retrouver tout trois. Mais me voila seul, a nouveau abandonné, de ma famille, du peuple et même de mes amis. Je ne suis certes pas en besoin d’affection, mais je ne souhaite pas choisir entre Megamihadaka ou la Soul Society. Megamihadaka avait d'ailleurs quitté mes pensées, elle ne me tourmentait plus, et lors des nombreux combats que je faisait, je faisais en sorte de ne pas me connecté à elle, & donc par cela, de ne pas utilisé, ou très peu les pouvoirs de ma lame, me concentrant sur l'art de la nécromancie.

Je vais à mon tour partir, après ces quelques lignes. Puisses tu trouver ces notes sur ma vie.
Le don de la déesse est un mystère infini. Pour l’atteindre, nous prenons notre envol. Des rides se dessinent à la surface de l’eau. L’âme errante ne connaît aucun repos.
J’ai cependant cédé à la tentation. Si tu vas chez moi, mon ami, tu ne verras que le cadavre de mes parents. Je vais enfin prendre mon envol. Mais comme je te l’ai déjà répété :

« Mon ami, la destinée est cruelle.
Il n’existe ni rêve, ni honneur.
La flèche a quitté l’arc de la déesse.

Mon âme rongée par le désir de vengeance a vécu dans le tourment,
Mais s’éteindra avec mon salut et ton sommeil éternel.

La légende parlera de sacrifices,
A la fin du monde.
Le vent navigue sur la surface de l’eau.
Lentement, mais sûrement. »

Date de Naissance Humaine : 25 mai 1788
Date de Mort Humaine : 01 juin 1798
Date de Naissance Shinigami: 10 octobre 1798
Date de Promotion Lieutenant de la Nécromancie : 16 janvier 1920
Date de Promotion Lieutenant de la Cinquième Division : 30 mars 1956
Date de Promotion Capitaine de la Cinquième Division : 20 janvier 2010

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Bonjour. Tu es validé en tant que 3ème Siège. Est-ce que tu veux toujours être membre de la Cinquième Division ou bien souhaites-tu changer ?