:: Je peux pioncer Tranquille ♪ [PV : Kojima Kensei] [FIN]

- Tu t’attendais sérieusement à un capitaine ? Et qu’est ce que tu aurais fait si c’était le cas… Akira… Renko…

Kensei loin d’être arrogant, et hésitant, souriait agréablement. Non ironiquement. Il n’était pas de ces hommes à se trouver dédaigneux, ou à proférer des menaces, qui s’avéreraient ignorés par un homme comme l’ex-lieutenant de la onzième division qu’il eût bien connu. Toujours suspendu en l’air, il soupira juste après la profonde réflexion rapide, et porta un regard assez laxiste vers le ciel dégagé, qui offrait le luxe au soleil de briller de toute sa clarté. Lui n’en était pas vraiment affecté, puisqu’avec cette peau matte rarissime, il arrivait très bien à gérer cette température étouffante. L’extrême opposé de cette saison était toute une autre paire de manches… Une toute autre histoire qui s’éloignait considérablement de l’objectif qu’on avait fixé au protagoniste.

Sans complexes apparents, l’actuel lieutenant de la cinquième division se posa tout en douceur sur la dalle du gratte-ciel où il avait bien sentit une énergie spirituelle familière. Ses sens ne lui avaient pas fait véritablement défaut. Le rencontrer ici était une aubaine, et comme quoi, le destin était vraiment ludique. Malgré sa moue paresseuse et désapprobatrice, Kensei était heureux de le voir en forme. Il roula ses pupilles d’un vert émeraude vers la lame dégainée, et pencha sa tête vers son épaule gauche. Son ardeur au combat n’avait pas vraiment changé. Un sacré morceau, qui relevait de la grande productivité de la onzième division. Même en étant exilé, il représentait aux yeux de son ancien homologue, la vertu guerrière de son ancienne armée. C’était néanmoins ce caractère, et cette excessive recherche de pouvoirs qui l’amenèrent au statut pur et simple d’émigré. Ces pensées mélancoliques firent frissonner Kensei, qui assista malheureusement à l’exécution de son capitaine. Une bien triste histoire. Dire qu’il était très brillant, et respecté. Aujourd’hui, il ne faisait plus parti que d’un simple passé sinistre, et les archives de la bibliothèque du seireitei n’évoquait que très peu son nom. Après toutes ses années passées dans ce monde, loin de l’uniformité shinigamienne, si l’on peut dire ainsi, il était plus qu’évident qu’il se fichait de sa situation actuelle. A le voir ainsi, Kensei l’enviait un peu. L’indépendance n’était pas si mal finalement, tant qu’on respectait le sens de l’éthique de cette vie terrienne. Encore faudrait t-il que le gotei 13, et les hollows n’aient pas l’œil sur vous. D’ici là, on pouvait vaquer à plusieurs occupations autonomes, plus intéressantes les unes que les autres. D’ailleurs, une question à propos de ce sujet auquel il pensait trottait dans sa tête. Qu’est ce qu’il faisait dans ce monde, qui pouvait s’avérer, à la fois ennuyant et très captivant… ? Ces occupations étaient-elles plus intéressantes que celles de la Soul society ? Lui ne connaissait pas grand-chose de ce monde. L’émerveillement était à chaque fois à l’ordre du jour dans ses états d’âmes, quand il était assigné à une mission particulière à Karakura. Chose qui était rare, vu ses petites maladresses. En y reconsidérant bien l’affaire, lui n’avait pas d’autres choix que de se chercher dans ce vaste monde. La question serait donc d’une idiotie assez indéniable et très incommodante…

Ses bras étaient maintenant croisés contre sa poitrine imposante. La douce brise de ce monde vint atténuer la situation qui devenait de plus en plus pesante, palpable. D’un air vide, il fixait toujours la lame de son interlocuteur, qui reflétait les prunelles mélancoliques de ses yeux. Etait son ancien ami qui voulait forcement croiser le fer avec lui ? Un grand fossé les avait séparés, mais il ne s’imaginait pas qu’elle était de cette immense envergure. La situation pouvait très vite virer vers un affrontement sanguinaire. Tout comme Akira, Kensei ne faisait pas de demi-mesure quand sa vie était en danger. Là, celle-ci était susceptible de frôler la mort. Cette chose qu’il n’eût jamais connu, étant directement né dans une famille noble du seireitei. Le cours des choses dépendait finalement de son supposé opposant. Les hostilités, il ne les ouvrirait pour rien au monde. Il n’avait aucune logique quand à cet acte d’ailleurs. S’il voulait simplement s’exprimer par la bagarre, il donnerait alors une bonne raison au lieutenant de se défendre. Et comme on le disait si bien dans le monde des humains : La meilleure défense, c’est bien l’attaque…

Soudainement, Kensei se mit à éternuer plusieurs fois de suite. Les fraicheurs actuelles au seireitei, et les manches de son kosode coupés avaient favorisé son état actuel. Bien que peu maladif, cela ne l’empêchai pas de se battre, et c’est d’un air assez lent, et pourvue d’efforts assez considérables, qu’il reprit sa position précédente, assez simplette. Plus paresseux que cet homme, vous mourriez. Toujours simple d’esprit, mais non naif, Ken’ se remit à sourire à son compagnon d’infortune. Généralement ce comportement avait l’art d’irriter ses adversaires, mais comprendrait t-il lui, ce sourire dénué d’hypocrisie ?

- Bon bon bon… Pour tout te dire, chuis pas là pour chercher les embrouilles. D’ailleurs, j’t’en ai jamais cherché, et j’vois pas pourquoi cela changerais… Je suis même ravi que tu te portes à merveille, et j’vais te laisser roupiller, mais bien avant… « AAAAHH…ATCHHOOUUUUMMM » Tu ne pourrais pas m 'dire chi tchu as chenti des hollows au réiatsu inhabitchuels, comme chelui que tu viens de purifier ? Ponctuait-il faiblement, et maladroitement en cherchant dans sa veste une sorte de mouchoir qu’il finit par trouver…

Dès lors, il se moucha bruyamment et grinça des dents, en poussant un petit juron sur son état. Devant un gars qu’il questionnait, et qui est plus, voulait sa peau… C’était bien sa veine…

Kensei l’avait tout aussi senti. Il aurait pu bouger, surtout qu’il s’agissait d’un élément de ces êtres abjects qui le répugnaient complètement, mais non... Il n’avait pas eu vraiment le choix à vrai dire. Seul à cet instant précis, le lieutenant l’aurait certainement découpé en rondelles, mais le problème -Qui n’en était pas vraiment un- c’est qu’il demeurait une présence non anodine à ses côtés. Toute aussi puissance et charismatique que lui. L’humilité de la cinquième division faisait mouche devant la hardiesse de la onzième, aussi laissa t-il à Akira, le grand loisir de s’amuser avec ce genre de moustiques. S’il usait bien d’une arrogance propre, c’était bien face aux hollows. Sur un point, il était bien d’accord avec son ancien frère d’arme, qu’il considérait toujours autant. La réciprocité dans ce cas ne subsistait malheureusement pas. Du moins, c’est ce qu’il croyait. Bien qu’Akira eût la gentillesse de ranger son zanpakutoh auparavant, et de s’asseoir à ses côtés, Kensei n’arrivait pas trop à la cerner. Il le faisait à moitié, puisqu’il le connaissait de part leur vielle amitié. Mis à part cela, le caractère changeant du vizard floutait l’image nette qu’il aurait pu avoir de lui. Pendant qu’il se débarrassait de son mouchoir complètement imbibé de déchets nasals, Kensei entendit le cri d’agonie du hollow que son compère purifiait derrière, à quelques mètres de la dalle de l’immeuble. Heureusement que certaines âmes se matérialisaient à la Soul Society. Sans quoi, il aurait envié les dénommés Quincy qui avaient la capacité d’annihiler complètement les hollows...

C’est en se retournant vers Akira qu’il aperçut les restes du hollow qui se putréfiait. Spectacle qu’il aurait volontiers refusé de voir. Les hollows sans purification étaient tous les mêmes. Il n’y avait pas de cas exceptionnel, ou du moins, Kensei ferait tout simplement exprès de ne pas comprendre. Bien qu’ils aient beau lutter, les shinigamis savaient qu’ils ne finiraient jamais vraiment avec cette vague monstrueuse. Plus les humains se comportaient mal, plus leurs nombres augmentaient. C’était l’évidence même des choses. De ce point, ils ne pouvaient que se battre… perpétuellement, serment qu’avait prêté Kensei depuis le début de sa fonction. D’ailleurs, il en était certainement de même pour l’individu au dessus de lui. Homme à qui il prêta une oreille attentive, en arrêtant de rêvasser. Immédiatement, il décrivit une petite moue qui traduisait ses états d’âmes après la phrase d’Akira. Sa bouche était tordue vers un petit coin, tandis qu’il fronçait les sourcils en portant son regard un peu plus loin vers sa gauche, de gros points noirs en guises d’yeux, comme on les voyait dans ce que les humains appelaient « Mangas ». D’ailleurs, une grosse goutte d’eau apparut derrière sa nuque. La grosse gueule de ce mec n’en finissait jamais. Même si cela faisait un temps soit peu son charme, il oubliait bien vite que ses prétentions et son petit caractère hautain avaient causé sa perte au seireitei. A croire qu’il n’avait pas bien retenu la leçon. Son allure était cependant sérieuse, mais toujours est-il qu’il n’avait pas vraiment aidé Kensei. Etait-ce son but ? Lui s’en fichait complètement. Dans le même temps, il ne connaissait pas la mission assignée au lieutenant. Serait-il judicieux de le lui dire ? Le protagoniste ne risquait pas grand-chose finalement…

- Pour tout avouer dit t’il en baillant, main gauche devant sa bouche, Je suis à la recherche de quelques hollows qui se sont enfui des locaux de la douzième… Ils devaient être comme d’habitude, sujets à des expérimentations, un truc dans le genre… Ce doit être vraisemblablement le plus faible que tu as terrassé tout à l’heure… Pour ton cas, je ne pense pas que le capitaine commandant veuille te tuer… C’est lui qui m’a directement assigné cette mission ici, et il n’a rien à voir, avec les décisions que prend le conseil des 46…

Tout en prenant à son tour une mine sérieuse, il se mit à gratter son menton en regardant le sol. L’allusion était claire. Le capitaine commandant n’était pas responsable de la mort de son ex-capitaine. D’ailleurs, Kensei se demandait pourquoi l’avait-on affecté dans cette encoignure, alors qu’ils y avaient plus aptes que lui à cette mission. Si on considérait les bourrins de la onzième qui étaient sans doute frais et dispos, lui ne comprenait pas ce choix. Cela devait être l’œuvre de sa nouvelle capitaine auprès du sotaicho. Depuis que la gamine avait prit fonction à la tête de la cinquième division, Kensei pouvait vaquer aux occupations d’un « vrai lieutenant ». Cette hypothèse était à vérifier, et c’était inévitable qu’il ne demande pas des comptes à son supérieur. Elle aurait pu au moins le prévenir…

Soudain, l’air devint plus dense, plus lourd. En écarquillant ses yeux vers le sol, il sentit plus d’une présence près d’eux. Ce n’est que lorsqu’il porta regard autour de lui qu’il constata une multitude de hollows, et parmi eux, la distinction du réiatsu de ceux que Kensei traquait depuis plus d’un jour, par une couleur violette, assez dégoutante. D’une taille plus imposante que les hollows ordinaires qui s’étaient appropriés le coin, ils étaient au nombre de six. Une mission déjà classée depuis bien longtemps. Un petit sourire de ravissement se forma sur l’expression de Kensei. L’air décontracté, il mit ses deux mains derrière sa tête qu’il avait déjà redressée, et sifflota en regardant Akira. Le vizard avait du les attirer par sa propre pression spirituelle très lourde…

- Aki, moi j’m’occupe des autres… Toi tu prends…

Sans finir sa phrase, il désigna les monstres du doigt. Bien sur, il ne s’agissait pas de peur. Kensei avait plutôt la fainéantise de devoir se battre un peu plus sérieusement avec ce groupe baroque. Lui s’octroyait la tâche la plus facile. Aussi, fit t-il un shunpo près de plusieurs bêtes. Sans crier garde, il leur assenait à chacun, un coup de tanto rapide et précis, arme qu'il camouflait dans son kosode. Tandis qu’il réapparut vingt mètres plus loin derrière une quinzaine de hollows qui disparaissaient lentement, il porta un regard laxiste à Akira. Tout ce qu’il espérait c’était une petite participation de sa part…

Des poings par ci, quelques coups de son tanto par là. Voilà ce que faisait Kensei pour se défendre des hollows qui l’entourait. Il n’y avait rien de bien méchant. Le truc un peu plus défavorisant, c’était bien leur nombres. Même s’il savait qu’il gagnerait en puissance en délivrant son shikai, le lieutenant devinait aussi que le réiatsu utilisé ameuterait d’autres hollows. Ce qu’il craignait le plus, était l’apparition d’un menos grande. Gillian qui le forcerait à devenir on ne peut plus sérieux dans le combat qui suivrait. Déjà que d’une part, il n’était pas très enthousiasmé d’effectuer cette mission malgré sa haine inégalable contre ces monstres, ça promettait. Le seul truc positif, c’est qu’il n’avait pas entendu Akira broncher quand à sa requête. Le regard en biais qu’il lui lança, l’inquiétait. Le vizard n’avait même pas encore effectué le moindre mouvement. Sans doute qu’il se fichait complètement de l’aide qu’il pourrait apporter à son ancien frère d’arme. C’était bien sa jour. Lui qui avait pourtant tranché deux hollows, il n’y avait que quelques instants…

Pendant ses profondes réflexions, un essaim de hollows se dirigeait vers Kensei. De peur d’une fusion certaine, lui descendit dans une rue, entre un petit immeuble, et une maison basse d’un petit port de shunpo. Il regarda un poteau électrique, et s’excusait intérieurement de l’action qui allait suivre, auprès des humains. S’il fallait choisir entre un manque de matériel, et une vie sauve, c’est sur qu’ils comprendraient parfaitement le lieutenant de la cinquième. Il passa ses bras vigoureux autour du métal chauffé par la lueur du soleil, et se concentra grandement. Une sorte de réiatsu orangé enveloppa son corps, tandis que ses yeux se dilatèrent grandement. De gros nerfs apparurent sur ses bras, et grinçant des dents, Kensei tirait de toutes ses forces. Lentement, mais surement, il déracinait doucement le poteau du bitume compact, qui constituait le dallage de la rue de la ville. D’un seul, coup, on entendit un gros bruissement de destruction, tandis que le poteau sembla dangereusement s’incliner sur un côté. Maintenant déterré, il prit appui sur ses jambes, et se propulsa dans les airs, en ayant toujours la base dans les bras. Ce qu’il fit était très simple. En renversant complètement le poteau de bas en haut, son impulsion dans les airs lui permit de tirer d’un coup, le haut de l’immense objet accroché aux différents fils de connections. D’un clin d’œil, et d’un effort assez titanesque, il se retrouva avec sa masse dans les bras au beau milieu des hollows qui le traquèrent. Le temps qu’ils se rendent compte de la présence du lieutenant, lui commença à tournoyer sur lui-même avec e poteau en diagonales devant lui. Plus, la vitesse se faisait importante, mieux se formait une violente bourrasque de vent autour de lui, agrémenté de quelques petits éclairs d’électricité qui s’échappait des fils encore accrochés à l’objet. La parade eût du bon, puisqu’elle anéantit tous les faibles hollows qui se trouvaient à quelques mètres de lui. Lorsqu’il retrouva son équilibre dans les trente seconde qui suivaient, Kensei, lâcha le poteau qui parti s’écraser dans une toute autre ruelle, et tomba sur un genou, en essayant de récupérer son souffle. Bien qu’il soit lieutenant, le fortin avait une endurance très capricieuse. Aussi écarquilla-t-il ses yeux, quand il sentit une plus grande pression spirituelle provenir d’Akira. Le bougre semblait avoir accepté. Souriant, il porta un regard à son masque de hollow à plusieurs motifs. Il avait entendu parler de la hollowmorphose, mais il n’en avait jamais vu de toute son existence. Son énergie était déformé, repoussante, mais il n’en demeura pas moins Akira, le lieutenant de la onzième division qu’eût connu Kensei lors de son grade à la cinquième. Restant toujours dans sa position, haut dans le ciel, il se mit à observer minutieusement chaque fait et gestes de son compagnon. Son esthétisme du combat ne ressemblait à rien à celle de son ancienne troupe, qui était plutôt barbare. Akira était classe, et c’était même à se demander s’il n’était pas ancien officier de la sixième division. Il n’y avait qu’eux pour avoir ce genre de style. Il se gratta la tête, et se redressa en contemplant les environs. Mis à part le dernier hollow, il n’y avait plus personne...

C’est donc sous la permission de l’ancien shinigami, que Kensei se mit à marcher vers la dalle de l’immeuble où il était auparavant. Une fois pied au sol, il regarda insoucieusement les alentours, et décela une place qui semblait confortable, en plus d’une protection contre le soleil. Il s’étira grandement, en levant les bras au ciel, et retourna sa tête vers le face à face, suite au crissement d’une lame contre son étui. Allait t-il utiliser son zanpakutoh contre ce monstre ? Kensei n’en savait rien, et se mit à gratter sa tête, en allant s’asseoir. Son masque devrait suffire. A peine les fesses au sol, qu’il entendit la déferlante d’un rayon lumineux. Un cero qui ne pouvait que provenir de l’ex lieutenant. Et il avait effectivement visé juste puisque Monsieur se retrouvait devant lui quelques secondes après. Kensei sans expressions particulières, le regarda enlever son masque, puis parler. Akira semblait vraiment se complaire de cette ville. Tout en poussant un soupir, il regarda ailleurs, en l’écoutant attentivement. En imposant un certain silence entre eux, bien après la phrase de son ami, le lieutenant pensait à plusieurs choses. Sur le moment, il avait tellement de choses à dire, qu'il ne savait même pas par où commencer...

- Te dire quoi d’important ? Que le conseil des 46 guette la moindre erreur pour en finir avec toi ? Que certains shinigamis sont déçus de ton comportement purement égoïste qui t’a mit dans cet état ? Bien que je ne t’apprenne pas grand-chose, serais-tu prêt à entendre la leçon de morale que je t’infligerais ? Non, je ne pense même pas ! Même avec cette situation, tu ne changes pas… Et c’est vraiment dommage… Tu as encore empiré, et ce maudit masque semble t’avoir monté la tête…

Tout en ayant lui-même marre de son propre manque de tact à cet instant, Kensei se leva et réajusta son hakama. Il lança un dernier regard purement mélancolique à Akira, et marcha jusqu’à atteindre un autre rebord…

- Je t’épargne ma mauvaise compagnie. Fais attention à toi. La première fois, tu as eu droit à un exil. La prochaine sera tout simplement la bonne… Ne t'inquiètes pas. Je ne dirais rien de cette entrevue et de ta tanière lors de mon rapport...

Suite à cette phrase, et sans véritablement demander son reste, Kensei d'un coup de shunpo disparut des lieux. Visiblement, sa soif de puissance malgré son exil n'avait pas changé. N'ayant donc plus rien à faire sur terre, le lieutenant retourna chez les siens, c'est à dire à la soul society, faire son rapport qu'il enverrait à son capitaine, et à celui de la douzième.