Bleach Shinigami Age
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 Drunken Shinigami | Oni No Deisui [Uc]

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Oni No Deisui
San Ban Tai Fukutaisho / War Machine
Oni No Deisui


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MessageSujet: Drunken Shinigami | Oni No Deisui [Uc]   Drunken Shinigami | Oni No Deisui [Uc] Icon_minitimeMar 9 Mar - 15:25

» Vous Même «

Prénom : Pas si utile x)
Age : 18 ans
Expérience RP : 6 ans je crois, ce n'est pas une science exacte ^^
Un avis sur Bleach Shinigami Age : J'aime le design, le concept, les membres sont vraiment délires x)
Comment vous avez connu ce Forum :
Il était l'histoire d'un petit roleplayeur s'ennuyant, il parcourut la toile et PAF, sa fait des chocapic x)

» Votre Personnage «

Nom : Oni

Prénom : No Deisu

Bien sûr, ceci n'est pas son identité originel. Il paraitrait qu'il l'oublia dans les méandres du saké. D'ou son surnom, Oni No Deisui, le démon ivre. Mais soyons généreux, son prénom est Mugen, enfin était, du temps de son "humanité".

Age :

250 ans et toutes ses dents.

Sexe :

Masculin

Race :

Shinigami, il en a la fonction et le rang, mais son attitude est... Inhabituelle ?

Rang / Grade désiré :

Malgré tout ce qu'on peut en dire, il effectue son travail avec une efficacité effroyable. Il a une conscience professionnelle très peu remarquable au premier abords, le jeune homme, en tant que lieutenant de la troisième division, est apprécié de tout ses subordonnées, parce qu'il est quelqu'un d'agréable. Et il ferait tout pour les beaux yeux de son capitaine.

| San Ban Tai Fukutaisho | Saké Boy

Description Physique :

  • Il y'a des choses invisible que l'on ne peut voir, ni sentir. Comme un iceberg, il n'y a que la partie immergée de visible. On rit souvent de lui, en voyant sa démarche titubante, on rit souvent de lui, en voyant son aspect néglige, cette attitude nonchalante à tout prendre par dessus la jambes. Oni est quelqu'un sachant très bien cacher son jeu, car son passé, n'est pas aussi rose que l'on pourrait penser, il a décidé de faire marche arrière, de tout recommencer, un erratum ? Sans doute.

    Notre shinigami est quelqu'un d'assez grand, quoi qu'aucunement impressionnant, et il cultive cette impression de faiblesses, la surprise est un merveilleux atout. Une carrure assez fine, des muscles allongées, qui n'ont l'air de rien, réservé exclusivement pour une endurance impressionnante. Sous ses aspect de statue d'argile, il n'en est pas moins un homme de fer, le terrain est son plus grand plaisir, après un bon verre de saké. Et cela ce voit, sa peau, prenant des teintes dorées, semble être l'acabit de celui qui pratique au grand air, et non pas dans une salle, enfermé. Vous l'aurez compris, nous voici devant les prémices de sa silhouette, tel un sculpteur, la pierre fût choisit, la forme elle aussi.

    Approchons nous, commençons maintenant à dépeindre ce qui fait sa particularité. Ce qui fait de lui un être unique, comme tout à chacun, son patrimoine génétique. Un visage ovale, aux traits agressifs, une mâchoire pointue, passant le doux de l'arrondie ovale, en un acerbe triangle. Un nez fin, que l'on définira d'aquilin, pointue a l'extrême, trône au milieu de son visage, tandis que sa bouche, dont les lèvres vermeils paraisse douces comme celle d'un enfant, son encadrées d'une barbe de quelques jours. Plus haut, de grands yeux en amande vous observe avec moquerie, les fenêtres de l'âme -comme on aime à appeler de tels attributs, du jeune homme sont pétillants, débordant de vie, et pourtant... Ils peuvent passer de la candeur du bambin à la cruauté du chasseur, en un claquement de doigt. Son iris a une teinte particulière, qui semble impossible sans avoir de lentille, rougeâtre. Celle-ci à plutôt une couleur que l'on pourrait décrire comme « terre de Sienne ». Au dessus de ceux-ci, deux sourcils assez épais, d'ébène, se froncent plutôt régulièrement de surprise. Encadré par des cheveux tout aussi foncé que ses sourcils, toujours ébouriffés, jamais coiffés,seulement deux petits bout d'oreilles dont l'une percée d'une petite boules verte, voici donc le visage de notre protagoniste. Il porte cinq tatouages. Deux sortes de bandes au niveau des poignets et une seule au mollets. Un dernièr, dans le dos, est un assemblage de kanji, descendant presque jusqu'en haut de ses fesses, dont je tairais la signification pour le moment.

    Son style vestimentaire est plutôt étrange. Carrément bizarre même, pour quelqu'un de son statut. C'est aussi à cause de cela qu'on le remet souvent en doute, qu'on le sous estime bien trop souvent. Une longue veste rouge, trop grande pour lui, un t-shirt vraiment trop large pour sa taille de « guèpe », de couleur ocre, ou blanche, un short, toujours de cette taille qui le fait paraître pour un nain dans du taille cinquante, d'une teinte sombre, bien souvent du noir, dont les coutures sont rouges. Il porte au pied des Getas de bonne factures, dont les lames sont d'une hauteur avoisinant les cinq centimètres. Il porte aussi une sorte de fourreau, en travers du torse, vert et jaune, ou repose son Zanpakuto. A sa ceinture -faite d'un cuir épais, pendent deux bouteilles de saké ( ses bouteilles ressemblent à deux boules dont celle du dessus est plus petite, avec un bouchon classique).

    Description Psychologique :

    « C'est qui l'empaffé qu'a finit le saké ?! »

  •  « Le San Ban Tai Fukutaisho ? Franchement, il est pas sérieux lui... Pfff, toujours à boire, à rire, a draguer même quand les filles ne veulent pas de lui, la déconne, il en connait un rayon, mais pour ce qui est du travail, je n'en sais rien. A vrais dire, je ne l'ai jamais vu bosser, cela doit être un signe, non ? Ce que je sais de lui, c'est que c'est un rêveur, il aime faire la sieste après avoir bu un coup, et il vrais de dire qu'il est d'une compagnie agréable. Il est pas du genre à discuter trente ans pour de petites broutilles, mais bon, s'il n'est pas pointilleux avec les autres, il ne doit pas l'être avec lui même je pense. En tout cas, aucun de ses compagnons ne s'est jamais plaints de lui, a pars peut-être de son alcoolisme et de sa tendance à être un peu lourd dans ses moments là, sa doit aussi être un signe non ? »

    Vous l'aurez compris, le jeune homme est quelqu'un de très controversé. Voyons ce que pensent de lui certains de ses subordonnés, bien qu'ils ne les considèrent ainsi qu'au prise avec des ennemis.

     « Oni ? Il est super cool ! Il nous laisse faire ce que l'on veut, tant que cela ne dérange pas trop l'ordre de la division, et n'entache pas nos missions. Il est quelqu'un qui prône le prise d'initiative, et il n'est pas trop contraignant... La seule chose qui me chagrine, c'est qu'il est considéré comme un faible alcoolique, pas capable de s'occuper de lui, ne travaillant pas... Alors qu'ils ont tous faux ! Je n'ai jamais vu autant bosseur que lui ! Le truc, c'est qu'il a une rapidité de compréhension et d'analyse incroyable, et travaille super vite ! »

    « Peu de gens le savent, peu l'admettent aussi. Mais il est fort. Il donne l'impression d'un homme candide, mielleux et nonchalant, mais au fond de lui, c'est un monstre. Je ne l'ai vu qu'une seule fois au combat, je ne l'ai vu qu'une seule fois, mais je m'en souviendrais toujours. Je l'avais toujours vu comme un type fuyant, peu digne de confiance, mais ce jour là, j'ai compris pourquoi il avait eut se poste. J'ai vu la mort incarné, j'ai vu une promesse de destruction dans ses yeux... Une leur sombre, alors que ses mouvements étaient trop rapide pour moi, et qu'il terrassait nos adversaire un à un. Ce jour là, j'ai connu la peur. »

    Il y a des choses à préciser. Qu'il ne montre que très peu, ou que l'on ne veut pas raconter. Malgré son naturel compatissant et sympathique, c'est un homme qui est emplit de haine à l'égard des Hollows, et de la plupart des créature vivantes, il refoule tellement de pulsion meurtrière, que lorsqu'il relâche la tension qu'il s'impose, il en devient le pire de monstres, effroyable, impitoyable, impressionnant. Et puis, il joue l'imbécile heureux, malgré une vive intelligence, afin de cacher les blessures qu'il n'a su réparer, celle de son âme, qu'il colmate à coup de saké... Il boit pour oublier, tout oublier... Les déceptions, la peur, les remords, tout ce qu'il connu en tant qu'être humain en fin de compte.


    C'est sous le voile mobile des larmes que se dénude mieux le vrai visage de l'homme. Le rire est un masque fragile.




Dernière édition par Oni No Deisui le Lun 15 Mar - 21:07, édité 5 fois
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Oni No Deisui
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MessageSujet: Re: Drunken Shinigami | Oni No Deisui [Uc]   Drunken Shinigami | Oni No Deisui [Uc] Icon_minitimeMar 9 Mar - 17:14

Histoire

Acte I : ~ Réminiscence d'une vie ~


Tout d'abords, planter le décor...

  • Zaigoo. Ville décadente. Population ? Salopards consanguins, déshérités maudits, ivrogne, drogués, tout le ramassis puant, dégradant et rejeté, de l'humanité. Quelle chance d'avenir dans ce monde, en naissant ici ? Aucunes.
    Taux de scolarisation. 0 %
    Taux d'alphabétisation. 10 %
    Taux de natalité. 2 %
    Taux de médicalisation. 1 %
    Taux de mortalité. 70 %
    Espérance de vie. 20 ans


    La criminalité est ici la plus forte du pays. A pars le « palais » central, tout y est insalubre, détruit ou bien, ce n'est qu'un ramassis de tôle froissée. Dans le monde actuel, on appellerais cela un Bidonville. Cependant, avec plus de quinze mille habitants, on peut rester sceptique devant une pareille dénomination. Parlons en un peu plus, de cette ville. Aucune école, même indépendante. Une décharge organisée, voilà ce que l'on aurait pu y penser au premier abords... Ils survivaient grâce à la culture de champs de pavot. Dans la merde, dans la crasses, il y avait cette putain de fleur, un poison, une drogue. Pour le plus grand plaisir des trafiquants, exploitants tout ceux qui avaient le malheur de « signer »... Il faut dire que les pauvres n'avaient jamais le choix, en faits, la mort ou une signature, sa se tiens.
    Entre les gangs, une administration corrompue et pourrie jusqu'à la moelle, une population terrifiée ou terrifiante, il y avait lui. Ce petit bout d'homme, qui naquit un deux juin. Mugen... Comme le rêve, l'illusion, comme si lui, avait la possibilité de tout changer, qu'il était un espoir... A moins que ce ne soit que mirage, justement.

    Puis, les protagonistes...

    Une famille dont on taira le nom. Finalement, il n'est pas si important que cela... Le nom de détritus, a quoi bon le retenir, me direz vous. Cette famille était composé de deux membres, Ryu, le père, travaillant dans les champs de pavots, et Katsuko, la mère, faisant le ménage dans le QG des trafiquants, et dans leurs chambres, accessoirement – bien que dans ses dernières, ce n'était plus tellement du ménage. Ils avaient respectivement trente trois et vingt six ans... Et déjà plusieurs enfants morts de maladie, enterré dans une fosse commune, derrière la maison, sans aucun respect, car ici, à Zaigoo, on n'avait pas les moyens de s'acheter de pierre tombales, ni l'autorisation d'enterrer sans taxes d'ailleurs... Extrêmement pauvres, ils avaient fais donc cela dans le plus grand secret, comme des clandestins. Malgré cela, ils restaient des personnes aimantes l'une envers l'autre, et heureuse. Qu'est-ce qui poussa leurs venus ici, personne ne le savait vraiment, quelques bribes avaient percées ça et là, mais rien de véritablement concret, qui permettrait d'affirmer qu'il s'agissait là de vérité et non d'affabulation. Certains disaient qu'ils venaient d'une famille d'assassin et de tueurs en tout genre, d'autre, que la mère avait été abusé par son père dès ses dix ans, et que pour se marier, ils durent partir, encore d'autre, qu'il venait d'une famille riche, et que pour se marier, la jeune femme avait du partir. Le père lui, n'était pas apprécié de la communauté, comme on pouvait le constater par les rumeurs qui circulaient à leurs sujets, le mettant toujours dans le mauvais rôle, celui du fautif.

     « Le problème, avec les histoires qui cours, c'est qu'elles détiennent toutes une part de vérité »

    Et Mugen, dans tout cela, me direz vous ? Et bien, il naquit comme cela, sans qu'aucun des deux parents n'espèrent vraiment le voir survivre, comme s'ils se pensaient maudits, à jamais, de pouvoir donner vie à une descendance qui perdurerait. Cependant, ils s'en occupaient bien, comme si malgré tout, les parents ne pouvaient s'empêcher de croire, d'avoir la foi en une puissance invisible, qui les contenteraient de ce vœu si simple... Croyance, c'était tout ce qui restait, lorsqu'on habitait ici.

    Croire que l'on pourrait enfin s'échapper de ce trou à rat.
    Et Mugen survécu a ses premiers hivers.

    Enfin, le personnage principal.

    Un regard dur. Semblable à tout ceux qui ont connu misère et déception. Le même que tout ceux qui n'attendant plus rien de la vie, qui savent que leurs sort est scellé. Et pourtant, il avait était entouré, chérie, aimé, plus que la plupart des enfants qui naissaient à cette époque partout ailleurs. Mais l'affection et la tendresse étaient-elles suffisantes pour effacer cette crasse, qui s'accroche aux ongles, à force de chercher rien qu'un objet utile pour améliorer son quotidien ? Est-ce suffisant pour effacer les horreurs que l'on voit à l'âge de dix ans, ces tortures, ces meurtres, cette « vulgarité » personnalisé chez l'homme, est-ce vraiment suffisant ? Il a dix ans seulement, et pourtant, il possède déjà la maturité d'un adulte... Grandir trop vite, un don ou une malédiction ? Se rendre compte que toutes les illusions dont ses parents le berçait chaque soir, n'était au finale, que mensonges. La déception est un sentiment bien cruel.


    « Vois tu le temps défiler ? »
    « Oui »
    « Comment le savoir, si ce n'est pas qu'une mascarade ? »

    On doute, par peur, par appréhension, mais nous doutons toujours. C'est ainsi, on ne peut rien y faire, ou presque. Croire, avoir foi ? Il faudrait déjà se faire confiance à nous même, savoir que l'on ne pourra jamais trahir, à jamais rester ainsi. Mais nous nous savons capable des pire atrocité, on se sait capable d'être sadique, violent, mesquin, horrible. Alors on doute, par nature. Comment savoir si ce temps que l'on nous décris si fatale existe belle et bien ? Regarde bien tes mains, regarde ton corps, il change, il évolue, il vieillit, tu n'y comprends pas grand chose, tu ne sais pas quoi faire contre cella... A toi, qui chercher une réponse ici, tu n'en trouvera pas, elle n'existe pas. Tu auras beau tout faire contre, chirurgie, soins, tu viellera, toujours. Finalement, nous somme bien prétentieux de nous trouver fort, nous sommes soumis à tellement de force qui nous surpasse, qui nous domine, que dire que l'on se rapproche d'un idéale, que l'on devient puissant, est une sorte d'hérésie hautaine, comme un cris de désespoir, car c'est une chose contre laquelle nous ne pouvons douter. Ce n'est qu'une musique, dans nos tête, une roue, un cycle insatiable, l'humain nait, vit et meurt... Une répétition de couleurs, de rythmes, de notes. Mais, au final, il coule, comme une cascade, d'une certaine manière inerte, ou plutôt, léthargique, car il ne fait qu'exister, rien d'autre.

    Parfois on vit, parfois on pleure, parfois on meurt. Ainsi va le destin. Et on ne peut rien contre lui. La roue du temps est impassible devant les jérémiades. Ainsi va la route. Et le jeune homme, à ses quinze, devint un de chien a la botte des dealers. Ses compétences et sa rage, faisant lui le chien d'attaque, qui gardait les réserves de pavot fraichement coupés.

    Dear Bad Dog...


    «Monstre. C'est ainsi que l'on m'a bien souvent qualifié... Mais ce n'est pas vrai. Je suis un homme, preuve en est, mon cœur bat. Bien que froid, engourdi par tellement de blessure, plongé de lui même dans le coma, pour ne pas souffrir, à en mourir... Mon cœur ne bat plus que pour une seule personne, elle. Ses cheveux, sa douceur, en elle, assez de chaleur pour réchauffer cette boîte dans laquelle c'est réfugiée mon âme. Je suis humain, plus que n'importe qui, j'ai tout ses travers, et même plus, mon histoire n'est faite que d'une succession d'erreurs... Je ne suis qu'une anagramme, un erratum, un pléonasme, lorsque l'on me traite de bête. Qui peut jouir d'assez de confiance pour dire qu'il à plus le droit à l'humanité que moi... Je suis un être fissuré, cassé, de l'intérieur, mon apparence extérieur est à l'image de mon esprit, brisé un nombre incalculable de fois, reconstruit, puis détruit... Fissure de l'âme sur ma peau, déséquilibre mentale, égale à ce manque enfantin, celui d'avoir une mère, un père, de vivre une vie « normal »... Oui, moi, je ne rêve que d'une chose, approcher de la banalité... C'est la que son image s'impose à moi, belle de mon cœur... Qui susurre a mon oreille que tout va bien, qu'elle m'apportera tout ce dont j'ai besoins... Je ne recommencerais pas, je ne veux pas n'être qu'un inconnu, un étranger, pour cette femme, ma femme. L'effet papillon, il suffit que je change un événement, et jamais je ne la reverrais.

    Puis un jour, j'ai mal, je souffre, je fuis. Peur de briser cette parfaite harmonie, peur de cassé ce lien entre nous, peur, je ne suis fais que de cela, sous mes faux aire d'insensible, j'ai peur... Je ne veux pas gâcher sa vie, je ne veux pas... Adrénaline, elle font sur moi, adrénaline, qui amplifie, le bon comme le mauvais... Nous sommes tous égaux devant les lois de la nature... Et je pars, pour ne pas lui faire de mal... Mais est-ce que je l'épargne vraiment ? Ne suis-je pas entrain de la dénaturé, de la faire changer ?

    Corps couvert de cicatrice, cœur saignant... Mais je ne pense pas à moi, il n'y'a qu'elle pour motiver ma vie... Si elle n'existait pas, j'aurai disparu, dans un nuage de poussière, comme le marbre qui aurait pris mon cœur au piège... Ce qui fut terre, retournera à la terre... Et lorsque je me présenterais devant le créateur, il me rejettera, péremptoire, me montrant la sortie, j'errerais alors encore entre la terre et le ciel, esprit hantant... Mais ne le suis-je pas déjà ? Mon ombre, s'étendant dans la nuit, à la lueur d'un lampadaire, sans visage... Sur un toit, la fraise de ma cigarette tâchant le ciel sombre d'une autre lueur, ardente et non argentée. Lumière artificiel. Et là, à la lune, astre céleste nocturne, je crie mon désespoir, dans un mugissement silencieux. Je lui pose toujours la même question, inlassablement... Pourquoi... Pourquoi m'avoir pourvu d'une vie ? Pourquoi me garder ici bas... Ma place n'est pas ici, elle n'est nul part, depuis que je suis partie, je ne vis plus, je survie... Et tout cela pourquoi ?..S'agiter, comme un poisson hors de l'eau, pourtant condamner à mourir si aucune main secourable ne viens le remettre dans son élément...

    Je descends de mon perchoir, glissant lentement dans la nuit sans lune, aujourd'hui encore... l'ais-je lassé de mes questionnement ? Peut-être n'est elle pas celle que je cherche... Mes yeux, éteint, se rallume d'une flamme violente, mes yeux, rouge, comme le sang... Ils ont raison, je ne suis pas humain, tout du moins, je ne le suis plus... Ce droit m'a été volé il y a bien longtemps, et mon cœur, je l'ai laissé là bas, près d'elle, pour qu'elle puisse sentir ma présence derrière chacun de ses pas...
    Non je ne suis pas fou, quoi que si, d'elle... Une larme silencieuse vient mourir sur le coin de ma lèvre, semblant sécher et se désintégrer, du sable... Dans ma bouche, je ne sens que du sable, sous mes doigts, de la cendre, sur mes yeux, un voile me cachant le monde.

    J'aimerais tant la retrouver. Mais elle est loin maintenant, la rousse qui m'avait rendu le sourire, et en quelques sorte, la vie... Elle était morte. Et mon âme avec...»


    « Simple faits d'hiver »

    Cette nouvelle, ne passeras sans doute jamais dans le journal. C'est étrange, la vie d'un homme se termine, et pourtant, rien ne bouge, personne ne pleure. Une âme quitte ce monde, incognito.
    Société pourrie ou les hommes n'ont de valeurs que par leurs statuts. Maudite société ou les hommes ne sont que tas de chaire rampantes. Des déchets, ils n'étaient ni plus, ni moins que cela, voilà ce que pensait le jeune homme, alors qu'il approchait de son vingtième printemps. Il était devenu efficace, monté dans la « hiérarchie » de ses salauds qui abusaient de sa mère, et avait tué son père à la tâche... Meurtrier, monstre, voilà de quel sobriquets on l'affublait à présent... Il était vrais qu'il était devenu un expert dans l'art d'éliminer les gêneurs en tout genre, même si cela n'était rien d'autre qu'un enfant jouant au milieu d'un champs, ou un vieillard qui s'écroulait dans sa boue... Il n'avait plus de pitié, c'était tuer ou être tué, c'était sa vie contre la leurs. Aucun scrupule ? Je ne dirais pas cela... Pour l'instant, il était plus occupé par sa survie que par quelconques questions de morale, sa vie ne tenait qu'à un fil, celui de sa lame.

    Un pub. Une chose comme cela existait vraiment, oui. La bonne humeur, l'alcool, les femmes, la danse, tout ces petites choses faisaient oublier le pain quotidien, pain rassis, si l'on devait regarder ici la situation de tout ses travailleurs. Musique entrainante, traditionnelle, danseuses, le plancher craque a chacun des pas que font les hommes, accompagnant les femmes dans leurs volettements. L'air béats, ils ne savent pas, qu'ils vont tous mourir. Et pourtant, c'est bien ce qui va se produire. Alors, lorsque les portes se bloquent et que les hommes se rendent compte que le feu venait de prendre sur une poutre... Les flammes léchaient le bâtiment, ils allaient tous mourir.

    Plus loin, cinq silhouette, l'une d'entre elle est familière. On s'approche, c'est belle est bien notre jeune homme... Entouré de quatre autres homme de mains du cartel dirigeant la ville. Il regarde le feu... Il regarde le bâtiment, autant de vie humaine, pour une simple histoire d'intimidation... C'était du gâchis. Jusqu'à ce qu'il vit un enfant... Un petit gamin, d'a peine dix ans, essayant de sortir, que son père protégea d'une buche ardente qui allait tomber du toit... Horrible, cette scène, remonta en lui une foule de sentiments qu'il avait jusqu'à alors, refoulé... Il se précipita vers le bâtima en flamme... Défonça une vitre en sautant. Des bouts de verres se plantèrent dans ses bras, et ses jambes... Il avait mal, mais ne portait plus d'importance a ce genre de considération... Il ne pouvait pas laisser le petit garçon mourir, cela était impossible... Il ne l'aurait pas supporté.

    Il esquiva d'une roulade une poutre qui s'écroulait. Prenant l'enfant dans ses bras, il entreprit de faire le chemin dans le sens inverse. Seulement, il y avait bien trop de flammes. Il n'allait jamais réussir à sauver le pauvre gosse, qui n'avait rien demandé à personne. Et pourtant, une force qu'il ne connaissait pas le poussa en avant... Comme un souffle de vent, une petite tape dans le dos, quelque chose d'insignifiant mais qui lui signifia « Tu peux y arriver ». Quelqu'un ayant confiance en lui ? Cela n'existait pas avant.

    Il sauta dans les flammes, protégeant son fardeau entre ses bras et son torse. Il défonça la porte, alors que les flammes commençaient déjà a prendre sur ses avant-bras et son dos. Il déposa l'enfant plus loin alors qu'il essayait d'éteindre le feu. Des habitants commencèrent a se regrouper, aidant celui que Mugen avait sauvé... Alors qu'il perdait conscience.

    Puis bientôt, ce fût la mort.

    Acte II : L'homme au Saké


    Rokonguai.

    A vrais dire, ce fût des années ennuyeuses, que celle d'âme errante dans les quartiers à l'extérieur du palais. Enfin, elle furent d'un salut remarquable pour notre jeune homme. Lorsqu'il arriva dans la « ville » spirituelle, il était haineux, plein de colère, de regrets. Trahis, par tous, même la vie, il n'avait qu'un but, tout détruire, jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien autours de lui, de tout réduire en poussière, que le monde arrête de tourner, et que tous périssent dans le néant. Bien sombre caractère, étonnant lorsque l'on connait l'homme à présent, non ? Pour tout vous dire, ce fût une rencontre qui changea sa vie, quelque chose qu'il renia au tout début, puis devint important, sans qu'il ne s'en rende compte, le vieille homme, qu'il insultait de sénile et de vieillard, devint un modèle pour lui, mais comme toute chose, ce ne fût qu'après leurs séparations, qu'il se rendit compte de ce qu'il lui avait apporter, les changements qu'il avait provoquer en lui, et surtout, ce bon goût pour le saké de qualité.

    « Heeeey, c'qui qu'a finis ma bouteiiille ?! »

    Deux loubards dans un bar. Un troisième homme, notre « héros », qui est mécontent, très mécontent. Quand on se prends pour une terreur, on se croit toujours tout permis, on se croit toujours le plus fort, le plus malin... Plus on est haut et plus la chute est rude, surtout lorsque l'on se porte au nue, que l'on se met sur un piédestal, cela fait mal de ce faire redescendre de là par un ivrogne, non ? Revenons à l'instant présent. Les deux hommes se lèvent, un sourire sadique au lèvres, alors qu'Oni ls imite, d'une démarche titubante, empestant l'homme imbibé.

     « C'est nous, pourquoi, t'as un problème sale con ? »

    Il tourne légèrement la tête, ils n'étaient que deux. Ah, c'est racailles amateurs... Il avance lentement, chacun de ses pas ne semblant pas plus assuré que le précédent. Il arrive devant eux, leurs soufflant dans le visage son haleine qui semblait pouvoir enivrer le premier venu. Il dit simplement

    « Tant que tu m'en paye une deuxème, sa devrais aller. Et c'est MONSIEUR CON, s'iou'plait. »

    Un poing fonce vers lui, il titube, semble trébuche et se rattrape au comptoir, alors que le poing use au dessus de lui, et qu'il se jette sur son agresseur, les deux bras replié, les poings fermés, ses indexes repliés, percutant son buste et surtout son plexus solaire, lui coupant le souffle tout en l'envoyant valser, son corps désarticulé, enfonçant la porte du petit pub, l'expulsant... Le deuxième sortis un couteau, mais il n'arriva désespérément pas à le toucher, au dernier moment, l'homme en face de lui semblait trébucher, et évitait le bout de sa lame... Coup de chance ? Un poing s'encastra entre ses deux yeux, le coupant dans ses réflexions, tandis qu'il rebondissait contre le mur, atterrissant sur le sol. Un pied viens se poser sur sa gorge, tandis que le bout d'un couteau s'approche de son iris.

    « Alors, tu me la paye, cette bouteille l'ami ?! »

    Un shinigami qui passait par là le repéra, et l'invita à rejoindre l'académie, ou il pourrait se défouler, et surtout, argument convaincant, boire gratuitement. Il intégra donc ce graand bâtiment blanc, et travailla un peu pour intégrer une division, même s'il mit pas mal de temps, a cause de son comportement, qui changea du tout au tout, lorsqu'il croisa sa nouvelle capitaine. Etsuo Kid. Elle avait un je-ne-sais-trop-quoi de sauvage, de sensuel, de magnifique, de "muuuuy caliente!". Il fût alors capable de travailler d'arrache-pied , et devint assez rapidement le lieutenant de cette division, flemmard a ses heures, semblant nonchalant, mais ayant une efficacité suffisante à son poste. Sa politique, finir vite pour aller se détendre, c'était simple non ?



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MessageSujet: Re: Drunken Shinigami | Oni No Deisui [Uc]   Drunken Shinigami | Oni No Deisui [Uc] Icon_minitimeLun 15 Mar - 20:42

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Selfura Balthimore
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Selfura Balthimore


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MessageSujet: Re: Drunken Shinigami | Oni No Deisui [Uc]   Drunken Shinigami | Oni No Deisui [Uc] Icon_minitimeMar 16 Mar - 20:59

Yop !
Alors tout d'abord le staff te souhaite la bienvenue =)
Et puis tant que j'y suis, je t'annonce que tu es validé au grade que tu as demandé =)

Bon RP sur BSA Wink
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MessageSujet: Re: Drunken Shinigami | Oni No Deisui [Uc]   Drunken Shinigami | Oni No Deisui [Uc] Icon_minitime

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