Dirlo, bedo, Hollow (libre)

La porte chambre de Shiba s'ouvra à la volée et une vieille mégère entra en hurlant de se lever, Shiba quand à lui était enrouler dans sa couette et son oreille sur la tête pour étouffer les cris qu'il avait prédit hier. Il commençais à la connaître cette femme. Elle est comme la directrice de son premier orphelinat, il savait comment cela marchait. Mais il est vrai qu'il valait mieux pour lui d'aller à l'école, il avait déjà été en retard hier et le jour d'avant encore, aujourd'hui il faudrait arriver à l'heure ou au moins avec cinq minutes de retard.

Il ouvrit donc les yeux encore un peu fatigué. Il bailla un grand coup et traina les pied pour aller à la douche. Les douches collectives commençaient à sérieusement le saouler, cela mais aussi le fait que orphelinat soit uniquement pour garçon, la discutions la plus longue qu'il ai eu avec une femme à durée 7 minutes. Il se lava énergiquement, sortit de la douche et fit la suite logique, séchage, lavage de dent habillage ect...

Une fois au rez de chaussé, Shiba attrapa deux morceau de pains, et s'en alla en passant au dessus du portail. Il se prendrait une soufflante comme d'habitude, il commençait à s'y faire. Il avança tout doucement. Il était partit une demi heure plus tôt mais il marcherait assez lentement pour arriver tout juste à l'heure, pas tellement motivé et pas tellement réveillé. Il engouffra ces deux morceaux de pain et une fois le tout passé par la gorge, il put entreprendre la création de son «courage en barre ». Il se roula un join, qu'il fuma sur le trajet. Toujours lentement.

Il arriva finalement au bahut, avec deux minutes de retard. Il s'installa au fond de la salle et passa toute la mâtiné. C'est finalement vers deux heures de l'après midi que le directeur convoqua notre jeune lycéen dans son bureau. Après un savon, sur ces piètre résultat, et sur son comportement, il put retourner en cour. Enfin en cour.... on vas dire que le savon l'avait tellement ennuyer qu'il voulait sécher le reste des cours. Ce qu'il fit finalement, il s'en alla sans prendre ces affaires (qui était encore en cour ^^). Il se retrouva finalement dans le même endroit que d'habitude, une petite coline aux abord de la ville. Un endroit tranquille ou il pouvait fumer un deuxième join. Il était allongé dans l'herbe et attendait..... quoi ? Rien de spécial. Une drôle d'odeur se fit sentir, des hollows, trois apparemment, mais ils étaient encore assez loin.

(hj : Mon perso ne connait pas ces pouvoirs, je laisse libre choix, a celui ou celle qui viendra rp avec moi, quand aux actions prochaines des Hollows.)

Huit heures du matin, comme à son habitude, Aiko se levait lentement, avala un petit déjeuner rapide et fila sous la douche. Il n'habitait qu'à un centaine de mètre de la bibliothèque et avait bien une heure d'avance sur ses horaires de travail habituel. Il n'aimait pas être en retard, ce n'était pas convenable. Ainsi, à 8h30 tapante, Aiko était douché, habillé, restauré et prêt à partir. L'appartement était rangé, bien qu'un peu bordélique à certains endroits, mais dans l'ensemble c'était convenable. La porte se ferma, la clé tourna dans la serrure et le bruit familier du loquet se fit entendre, affirmant que l'appartement était maintenant verrouillé. Evidemment, il ne fallut pas plus de quelques minutes au jeune homme pour arriver à son lieu de travail préféré qu'était la Bibliothèque de Karakura. Comme d'habitude il n'y avait pas beaucoup de monde si tôt le matin, et il n'y aurait peut-être pas plus de monde dans la journée. C'était plutôt calme depuis quelques temps, mais c'était parfait pour Aiko, lui qui aimait le silence et les livres, le voilà comblé !
Comme à son habitude, Aiko arriva par la grande porte, sortit son trousseau et entendit, cette fois, le loquet de la porte qui l'avertit que c'était maintenant déverrouillé. En pénétrant dans la grande salle, l'odeur familière du bois, de la cire et du papier vint lui titiller les narines. Hélas, le masque de neutralité ne se fissura même pas sous cette avalanche de fragrance pourtant si familière et si empreint de nostalgie. Continuant sur sa lancée, le jeune homme parcouru rapidement les quelques rayons du rez-de-chaussée avant de se tourner vers le bureau de l'accueil. C'était un bureau en demi-ovale, collé contre le mur. On y accédait via un panneau coulissant sur le côté gauche et un autre sur le côté droit. Il y avait assez de place pour que deux personnes puissent s'y installer et deux ordinateurs de dernière générations étaient branchés afin de surveiller les allers et retours des livres, ainsi que les commandes, les livraisons et l'archivage complet ! Se plaçant derrière l'un des ordinateurs, Aiko l'alluma par simple pression sur le bouton POWER. Le vrombissement léger et les divers "bip" suivit de la petite musique du système d'exploitation (dont on taira le nom) annonça que l'ordinateur venait de se mettre en route. Comme chaque jour, Aiko vérifié les bons de commandes et les livraisons. Pour une fois, il y avait du nouveau : une demi-douzaine de cartons de romans et d'encyclopédie venaient d'arriver. Un peu de travail donc, et c'était tant mieux vu que la bibliothèque restait relativement calme jusqu'à 10heures environ.
Sautons rapidement les pénibles heures inintéressante de la matinée pour se diriger directement sur ce qui nous intéresse. Après avoir rangé les livres, terminer l'archivage et attendu patiemment, Aiko put voir arriver sa patronne, une vieille femme un peu aigri portant une paire de lunettes carré strict, et plusieurs jeunes personnes en quête d'un nouveau trésor littéraire ou bien d'informations pour compléter son travail. Vers les deux heures de l'après-midi, Aiko ressentit une présence. Comme la dernière fois... il y a de cela plusieurs années ... Même s'il n'avait pas forcément l'habitude de cela, le mot s'afficha dans son esprit tel un néon dans le noir : Hollow !

-"Je dois m'absenter, je reviens rapidement..."

Sans plus d'explication, Aiko quitta la bibliothèque, bouleversant ses petites habitudes, et fonça à travers la ville. Sans véhicule, il était difficile d'aller vite, mais par chance, la destination finale ne semblait pas trop éloigné de la bibliothèque. Plus il se rapprochait, plus la présence se faisait ressentir. C'était une petite colline, un endroit où Aiko se rendait parfois. Regardant à gauche et à droite, Aiko ne vit pas la pierre sur son chemin, pas plus que le garçon qui se trouvait en contre bas. Manque de bol le bibliothécaire heurta la pierre et, durant un court instant, son masque de neutralité se brisa pour montrer de la surprise... Avant que la gravité ne reprenne son cours. Aiko chuta brutalement et effectua un roulé-boulé non contrôlé qui finit sa route sur .... le lycéen qui avait la malchance de se trouver là...

-"Ah put** Saleté de caillasse... Désolé... machin, je t'avais pas vu..."

Oui bon niveau "premier contact" c'était pas le meilleur, mais en même temps c'était pas prévu !

Le temps était agréable et les trois hollow qu'avait sentit Shiba semblait s'éloigner. Shiba connaissait l'existence des âmes et des hollow même si lui ne les appelaient pas comme cela. Il pensait que c'était des démons très puissant. Ne connaissant pas ces pouvoirs vous pouvez aisément imaginer que Shiba ne courraient pas après ces démons pour les tuer surtout que si il baissait son énergie spirituelle ces démons ne s'intéressait pas à lui. C'était tant mieux pour lui et pour sa tranquillité qu'il ne voulait pas voir disparaître. Le join toujours entre ces doigt il tira une nouvelle taf et recracha la fumé le plus loin possible vers le haut. Puis il se remit dans sa position, allongé les bras et les jambes écarté, il était bien.

Oui car un bruit se dirigea vers lui, sa nonchalance et certainement aussi la petite dose de THC dans son esprit l'empêchait de se relever pour voir ce qu'il se passait. Dommage pour lui il reçu sur le coin du visage le corps de quelqu'un, qui apparemment était vivant. La personne s'excusa mais était ce vraiment des excuses ? Avec le raffut de ce mec qui semblait avoir une énergie spirituelle assez dévellopé les trois démons de tout à l'heure vont certainement revenir, et le fait que l'homme l'appelle « machin » fut en quelques sorte la goutte du nez qui fait déborder le mouchoir. Shiba se releva les yeux menaçant et dit :

J'accepte tes excuse ''Truc-san''. Par contre avec ton raffut tu à certainement alerté les tr....

Shiba n'eut pas le temps de finir sa phrase, trois cri de hollow se firent entendre. Shiba n'aimait pas ces cris il avait l'impression que quelques chose en lui répondait à ces cris. Comme si quelqu'un a l'intérieur de lui disait ''venez je vous attend'' sans que personne ne l'entende. Il ne savait pas pourquoi mais c'était comme cela. Shiba n'avait jamais combattu contre des hollow mais il se doutait bien que à main nu il n'aurait certainement aucune chance. Il regarda Truc-san, ces yeux redevinrent normaux et il dit en lui tendant la main.

Nous devons partir maintenant, les trois démons vont revenir et à moins que tu cache une arme sous tes vêtement je pense que nous devrions fuir.

Et il valait mieux le faire maintenant, les hollow se rapprochaient, et apparemment ils avaient faim, mais bon tout les hollow ont faim alors ce n'est pas cela qui changeait beaucoup.

Aiko n'écouta même pas le garçon lorsque celui-ci accepta ses excuses. Il avait remarqué que les Hollow s'en allait... enfin était en train de s'en aller. Comme l'avait ajouté le lycéen, le bruit qui avait suivi la chute ainsi que le reiatsu (comme l'appellait le shinigami qui n'en était pas un) de Aiko avait attiré les bestioles.

Nous devons partir maintenant, les trois démons vont revenir et à moins que tu cache une arme sous tes vêtement je pense que nous devrions fuir.

Sans le vouloir réellement, Aiko ne put s'empêcher de laisser un sourire franchir la barrière, en temps normal impénétrable, de neutralité qu'il s'imposait pour échapper à son alter égo démoniaque. Les monstres étaient encore loin, donc il avait un peu de temps. Levant son bras, Aiko remonta la manche de son sweat shirt et dévoila le bracelet au quatre cristaux, avant de le placer devant lui puis tendit le bras, pointant les hollow approchant.

-" Fuis si le coeur t'en dit, mais ces hollows ne s'arrêteront surement pas à moi maintenant qu'ils t'ont vu. Je peux me battre si je me concentre assez..."

De nouveau, Aiko lança tout son reiatsu (enfin bon, presque hein) dans ses cristaux. Il avait déjà vu la chaîne, il avait déjà senti son poids inexistant. Si son esprit ne s'en rappelait pas totalement, son corps par contre se souvenait parfaitement de ce qu'il avait ressenti ces moment là... les Hollow crièrent...Ce son grave et pourtant si strident qui remue l'âme et fait ressentir la peur à tous ceux qui l'entend. Mais pas Aiko... Lui l'avait déjà entendu plusieurs fois, il était habitué à entendre cette chose immonde. Petit à petit, il visualisa la chaîne à son poignet, ondulant tel un serpent qui cherchait sa proie.... Enfin ça c'était ce qui, à la base, était prévu, mais cela ne s'était pas du tout passé comme prévu. Pas de chaîne, pas de pouvoir .. rien...

-"Là ça va être problématique... Allez sors bordel..."

De nouveau, Aiko relança son énergie, visualisant la chaine, tentant de ressentir le froid de l'argent composant la chaîne. Rei avait déjà réussi à utiliser ce pouvoir, pourquoi lui ne pouvait-il pas faire de même pour protéger sa vie (et surtout pour répondre à ces questions qui le taraudaient). Il devait y avoir un moyen pour que ça fonctionne.. Petit à petit, Aiko sentit sur son bras quelque chose onduler comme un serpent. Il approchait du but, mais ce n'était pas encore tout à fait ça. Pourtant, il n'était jamais parvenu aussi loin avant, peut-être était-ce dû à la présence des Hollow, peut-être avait-il fallu un déclencheur qui n'était pas présent lors de ces entraînements. Mais c'était encore flou, la sensation n'était pas totalement présente, plus comme un léger voile qui se serait déposer sur sa peau. Malheureusement, le temps vint à manquer lorsque les trois créatures de l'autre monde attaquèrent. De nouveau, ils poussèrent leur horrible cri strident, ils étaient vraiment très près... trop près. Aiko ouvrit les yeux et se jeta sur le côté juste avant que les crocs de l'un des trois se refermèrent à l'endroit précis où il se trouvait deux secondes plus tôt. De nouveau, un roulé-boulé (beaucoup plus contrôlé que le premier) et Aiko se releva pour faire face. L'un des monstres était une sorte de... ptérodactyle/canard, le deuxième ressemblait plutôt à une sorte de mouche, quand au troisième... il ne ressemblait à rien de connu, mais il avait des crocs et des griffes.

-"Eyh Machin ! Si tu peux les voir, tu sûrement posséder un pouvoir toi aussi, qu'est-ce que t'attend pour l'utiliser? "

Aucune excitation, aucune peur, aucun froncement de sourcil. Le calme parfait émanait de Aiko, il était bien forcé de se comporter ainsi sinon IL restait de ressurgir et ça pouvait mal se passer.. Gardant les Hollow dans son champ de vision afin d'éviter de se faire empaler, Aiko essayait encore de faire apparaître sa chaîne, ce qui n'était pas gagné.

-"Allez bon sang, apparaît !"

Tendant le bras devant lui, Aiko renvoya son reiatsu dans les cristaux. Pour la première fois, il réussit , seul, à utiliser la Kanekusari ! Cette chaîne d'argent fila du premier cristal vers le ptéro-canard, s'enroulant autour d'une patte. Mais pas pour très longtemps évidemment. Un simple battement d'aile de la part du Hollow suffit à rompre les liens de la chaine et à la faire disparaître.

-" C'est pas passé loin cette fois..."

Hélas, il semblerait que cette démonstration de pouvoir ait un poil énervé nos sympathique terreur des âmes... Saleté de Hollow !

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